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précognition

- Tu veux dire qu'avec ta théorie tu aurais une autre explication que l'instinct ?
- Ben oui, à cause de l'observation. L'instinct s'explique par l'observation. C'est très important la capacité d'observation. Les animaux ne pensent pas, ne raisonnent pas, et du coup ils ont une bien meilleure capacité d'observation que nous. Pas seulement par les yeux, ils bougent leurs oreilles, ils sentent les odeurs... en fait, ils détectent un tas de choses et savent reconnaître des signes bien plus facilement que nous.
- Des signes ? Mais comment veux-tu qu'il y ait des signes que Pauline arrive dans tout ce qu'observe Lili?
- Alors ça, je ne suis pas dans le cerveau de ta chatte. C'est elle qui se fabrique ses codes. Je te parle de l'observation par Lili de choses inhabituelles qui ne sont pas du tout produites par l'arrivée de ton amie mais qui pour Lili signifient qu'elle va arriver. Parce que ça vient du futur, tu comprends ?
- Heu, je ne suis pas bien sûre de te suivre...

Auteur: Guillemant Philippe

Info: La route du temps, théorie de la double causalité.

[ quantique ] [ animal domestique ]

 

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tutelle

Le gevulot fonctionne en générant un arbre composé de paires de codes publics/privés. Une paire apparaît dès que l'utilisateur enregistre un nouveau souvenir pour lequel il veut spécifier des droits d'accès, ladite paire étant également dépendante du nœud supérieur. Théoriquement, seul l'individu en question peut opérer à la racine de l'arbre.

Sauf que toutes les racines ont l'air d'être reliées à une autre paire, un genre de racine maître. Ceux qui la possèdent peuvent accéder à toutes les exomémoires de l'Oubliette et les réécrire à l'envi. Pour les citoyens en phase de Silence, cela veut dire que leur esprit est totalement accessible. C'est ce qui s'est passé pour Unruh. Les cryptarchs ont sans doute développé une sorte de système automatisé qui modifie tous les Silencieux.

Potentiellement, ils peuvent lire et modifier les souvenirs de tous les gens passés au moins une fois par le Silence. Comme cela représente trop de données à gérer pour un nombre réduit de comploteurs, je suppose qu'ils disposent de routines de gestion adaptées. Néanmoins, vu les changements restreints constatés chez Unruh, il serait logique de penser que leurs ressources de calcul sont limitées. En conclusion, l'Oubliette n'a rien d'une merveille d'oubli et de vie privée : c'est un panoptique.

Auteur: Rajaniemi Hannu

Info: Le voleur quantique. *qui permet de voir sans être vu

[ surveillance ] [ contrôle ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

confort

Une nouvelle génération d’actifs s’installe dans les bureaux : Millenials, Y, Z… remplacent progressivement les précédentes au bureau. Et pour cause : 50% des actifs auront moins de 30 ans en 2020, ils seront donc plus nombreux que les boomers au bureau. Leur nouvelle vision du travail implique une rupture avec les besoins et les exigences d’aujourd’hui. Les millenials seraient prêts à renoncer à 6 500 € de salaire annuel en moyenne pour travailler dans un meilleur environnement.

93% des jeunes actifs ne veulent plus d’un bureau classique. Il est donc nécessaire de joindre leurs attentes aux dynamiques de l’environnement de travail qu’ils cultivent : non hiérarchique, fluide, innovant, en mouvement, avec des interactions dynamiques au sein du groupe.

Il n’y a pas qu’un seul espace de travail idéal qui génère de la productivité : c’est un modèle en transformation qui s’adapte aux actions des individus dans l’entreprise. Mais d’autres facteurs exercent une pression sur cette mutation, comme l’augmentation du télétravail ou le recours aux travailleurs freelance. À l’heure où les tiers-lieux sont en plein essor, les millennials souhaitent évoluer dans un environnement motivant avec une émulation collective. Aujourd’hui, on veut travailler comme à la maison, sans être à la maison, avec un lieu de travail pensé en fonction des usages et avec les codes de l’hôtellerie.

Auteur: Paugam Nicolas

Info: https://www.forbes.fr/entrepreneurs/le-bureau-traditionnel-la-hantise-des-millennials/#

[ bien-être ] [ changement ] [ poste de travail ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

sécularisation

D'obédience pentecôtiste, Hillsong est une Église évangélique fondée en 1983 par le pasteur australien Brian Houston et sa femme Bobbie. Elle est aujourd'hui implantée dans le monde entier. L'influence de cette megachurch que certain·es comparent à un empire s'étend ainsi dans une vingtaine de pays. De Bali à Buenos Aires, en passant par Berlin, Oslo, Paris, Moscou ou encore Johannesburg, on y retrouve partout la même recette qui a fait le succès d'Hillsong: des shows spectaculaires où le rock chrétien occupe une place centrale. Depuis sa création, l'Église a en effet produit pas loin de soixante-trois albums, le second opus de son groupe Hillsong Young & Free lui valant même une nomination aux Grammy Awards.

Avec, d'après son site officiel, pas loin de 110.000 dollars (98.000 euros) de recettes en 2017 et une affluence de 130.000 personnes par semaine, le succès d'Hillsong ne semble pas se démentir. La raison de cette réussite: le magnétisme qu'elle opère sur les plus jeunes, puisque près de 70% de ses fidèles ont moins de 34 ans. Pour ramener ce public sur les bancs de l'église, Hillsong a mis en place une stratégie qui leur parle. Présente sur YouTube, elle est aussi sur Instagram, où elle reprend les codes graphiques des millennials. En France, l'Église, implantée dans les villes de Paris, Massy, Lyon et Marseille, communique sur ses soirées "Cœur et âme" ou ses aprèms "Ping-pong et Planchas". Les fidèles les plus fervent·es peuvent même se laisser tenter par le tote bag "†=♥" ou par des casquettes et bonnets siglés.

Auteur: Rey Adrienne

Info: https://www.slate.fr/story/175113/hillsong-eglise-evangelique-millennials?

[ adaptation ] [ entertainment ] [ temps modernes ] [ réinvention ] [ drague ] [ prosélytisme ] [ secte ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

simulacre

Je me souviens avoir entendu le grand poète espagnol Rafael Alberti à une lecture. J'étais très jeune et il me parut donc très vieux, avec ses cheveux blancs qui lui tombaient sur les épaules et son costume blanc. J'étais choquée aussi de le voir accompagné par une femme qui ne semblait pas beaucoup plus âgée que moi ; elle portait une jupe si courte qu'on pouvait voir sa culotte quand elle marchait, et des bottes blanches en plastique, des "go-go" comme on les appelait. Je me rappelle que l'un d'eux portait une cage à oiseaux, blanche, avec une colombe blanche à l'intérieur, mais à vrai dire, il est possible que j'aie inventé ce détail, au cours des années, peut-être pour accentuer en moi l'impression que j'avais eue, et qui subsiste : que c'était la lecture poétique la plus étrange à laquelle j'aie assisté. Alberti lisait ses poèmes en espagnol et son traducteur américain, Ben Bellit, les lisait en anglais. Ben était sobre, timide, d'allure assez conventionnelle ; il portait une veste en tweed et une cravate. Alberti donna à Ben un pistolet jouet, ce qu'on appelait un pistolet à pétard, un jouet qui pouvait faire beaucoup de bruit, et il a dit à Ben de se tirer dans la tête à chaque fois que lui, Alberti, lui ferait signe, et c'est exactement ce qui se passa : Alberti lisait en espagnol, s'arrêtait, regardait Ben, et Ben, non sans réticence, se tirait dans la tête. Mais quand Ben lisait des poèmes, Alberti tenait le pistolet, et de temps en temps il se tirait dans la tête avec un réel entrain. Il me semble que c'était une grande leçon de traduction.

Auteur: Ruefle Mary

Info: In "Madness, rack, and honey", éd. Wave Books, p. 235 - ma traduction

[ inculpation ] [ passeur ] [ mémoire ] [ codes vestimentaires ] [ spectacle littéraire ]

 
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tour d'horizon

A mesure qu'ils avancent dans leur oeuvre de prospection, les sémioticiens s'aperçoivent que tout est communication, la langue bien sûr, mais aussi les images, les sons, les objets, les gestes, et que tous ces phénomènes constituent des systèmes de signes qui doivent être étudiés en ramenant chaque message aux codes qui en régissent l'émission et la compréhension. Comprendre les systèmes de signes impose toutefois d'envisager les codes comme des structures, puis de recouvrir à des structures toujours plus vastes, dans un mouvement de régression vers la matrice originelle de toute communication possible, vers un prétendu Code des Codes qui devrait représenter la détermination "naturelle" précédant toute culture. Mais si la sémiotique s'engageait dans cette voie, elle ne pourrait qu'aboutir à la "source" de toute structure possible, forcément non structurée, à ce qu'Eco appelle la structure absente. Son livre, tout en refusant ce Code des Codes, essaie de montrer que tout acte communicatif est dominé par la présence massive de codes socialement et historiquement déterminés. La sémiotique découvre ainsi dans la dialectique entre code et message les rapports entre l'univers de signes et l'univers des idéologies, qui se reflètent dans les modes communicatifs préconstitués, et elle relie le monde des choses au monde de la culture, qui formalise les choses non pas pour les reconnaître comme elles sont mais afin de les transformer. Après avoir étudié dans L'oeuvre ouverte (1965) les structures des langages expérimentaux de l'art contemporain, sont traités ici l'ensemble des problèmes sémiotiques et ce livre constitue à la fois sa contribution à la recherche en cours avec une tentative de constituer le panorama le plus vaste et le plus complet possible sur les préalables constitutifs à toute sémiotique et sur l'état présent du structuralisme.

Auteur: Eco Umberto

Info: Résumé de "La structure absente". Traduction Uccio Esposito-Torrigiani, Le Mercure de France, 1984

[ holisme ] [ linguistique ] [ interactions ]

 
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médiatiquement convenable

Imaginez un jeune Isaac Newton voyageant dans le temps depuis l'Angleterre de 1670 pour enseigner aux étudiants de Harvard en 2017. Après ce saut temporel Newton a toujours la même personnalité obsessionnelle et paranoïaque, avec le syndrome d'Asperger, un mauvais bégaiement, des humeurs instables et des épisodes de manie psychotique et de dépression. Mais il est désormais soumis aux codes de conduite de Harvard qui interdisent tout "manque de respect pour la dignité d'autrui" ; toute violation lui vaudra des ennuis avec l'Inquisition de Harvard (le "Bureau pour l'équité, la diversité et l'inclusion"). Newton veut aussi publier Philosophiæ Naturalis Principia Mathematica, pour expliquer les lois du mouvement qui régissent l'univers. Mais son agent littéraire lui explique qu'il ne peut obtenir un contrat de publication décent tant qu'il n'a pas sa propre "plateforme d'auteur" avec au moins  20 000 followers sur Twitter - en lui reprochant d'avoir provoqué des réactions négatives pour avoir diffusé ses opinions excentriques sur l'alchimie de la Grèce antique, la cryptographie biblique, la monnaie fiduciaire, le mysticisme juif ou la manière de prédire la date exacte de l'Apocalypse.

Newton ne ferait pas long feu en tant qu'"intellectuel public" dans la culture américaine moderne. Tôt ou tard, il dirait des choses "offensantes" qui seraient rapportées à Harvard et reprises par les médias grand public sous forme de putaclicks (clickbait) pour l'indignation morale. Son excentricité et sa maladresse orageuse lui vaudront d'être rapidement expulsé du monde universitaire, des médias sociaux et de l'édition. Résultat ? D'un côté, il génèrerait du trafic sur Huffpost, Buzzfeed et Jezebel, et les gens disposeraient d'une nouvelle controverse à propos de laquelle ils pourraient développer des attitudes vertueuses sur Facebook. De l'autre nous n'aurions pas les lois du mouvement de Newton.

Auteur: Miller Geoffrey

Info:

[ comparaison diachronique ] [ moraline publique ]

 

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décadence

En deux décennies, la culture porno a fait remonter ses codes, ses comportements et banalisé son sadisme dans le grand-public. La totale liberté voulue par les "pouvoirs publics" pour l’industrie porno, conjuguée aux "progrès" technologiques, a aussi permis aux pratiques les plus délirantes de faire désormais partie du paysage mental "normal" des jeunes d’aujourd’hui, au moment où ils construisent leur modèle sexuel. L’âge du premier baiser est ainsi devenu celui de la première fellation, et des psychologues sont maintenant appelés à la rescousse dans des écoles pour des cas de fellations collectives. Les viols d’enfants par d’autres enfants font même leur apparition. Malgré tout, le porno reste "cool" dans nos sociétés occidentales "libérées", et tout politicien qui prétend vouloir en questionner les nuisances est dénoncé comme un puritain coincé ou un dangereux censeur par les medias pornocrates de la gauche libérale dominante. Cette culture porno s’inscrit désormais dans un phénomène d'obscénité généralisée qui touche d’autres supports que le sexe. On peut ainsi parler de pornographie pour la musique lorsqu’elle se résume, comme dans les rave party d’Ibiza ou d’ailleurs, à une simple pulsation dont la seule fonction est de permettre de "jouir en tas", selon la formule de Philippe Muray. De même, cette culture porno fait également écho à la montée en puissance de cette pornographie de la mort à laquelle on assiste dans nos sociétés où les cadavres, les décapitations et autres boucheries de masse sont montrés désormais en boucle sur tous les écrans possibles, ce qui conduit l’auteur de La Cité perverse à noter ingénument qu’il a dû "se passer quelque chose dans le monde", car ce qu’on cachait hier, le sexe et les cadavres, aujourd’hui "on les montre. Cela s’exhibe". On pourrait même conjecturer qu’il existe finalement une forme de continuité entre l’industrie porno, Daesh et ses snuff-movies.

Auteur: Internet

Info: In La frontière, le Système et le porno, sur entrefilets.com, nov.2016

[ web ] [ hardcore ]

 

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contact xénolinguistique

Si traduire est la façon la plus profonde de lire, se faire idée des potentialités d'une transposition exolinguistique - sans en avoir aucun exemple - nous met face à nous-mêmes, infimes émergences (vivantes?), membres d'une civilisation-espèce qui a su, après x milliards d'années d'évolution, générer des langages écrits, symboles-codages consensuels, transmissibles et transposables entre humains de générations différentes. Développement d'un univers-monde anthropique qui, à l'usage et à la réflexion, peut aussi ressembler à une fermeture. Mais oublions cette dernière phrase. 

Quels pourraient être les points d'accroches pour aborder une communication pas trop déséquilibrée, avec quelque inconnue entité civilisationnelle, au vu de nos difficultés en la matière pour ce qui est de nos propres performances quant au développement de codes-symboles interfaces susceptibles de nous permettre un réel échange avec nos coéquipiers terrestres, les animaux ? 

Ainsi - un cran plus loin au moins - pour ce qui concernerait une communication avec une vie extraterrestre, on a de la peine à imaginer la chose sans que les deux parties en contact soient chacunes très au courant de leurs mondes sources respectifs (priméités planétaires) - ceci en passant par quelque processus capable de faire passer l'information dans les deux sens - toutes choses faites en respectant un minimum d'égalité, de pondération au moins -, nécessaire semble-t'il pour un tel dialogue. 

Mais est-ce imaginable ? 

Ce point, celui du décalage évident entre deux civilisations-planètes-espèces, donne un aperçu de la coincidence extrême qui sera nécessaire avant d'imaginer raisonnablement les modalités d'un contact "équilibré" entre une civilisation primitive telle que la notre, et une autre. 

Posé ainsi le possible ressemble - pour un humain de 2022 déjà bien en difficulté pour communiquer avec ses semblables - à de l'impossible.

Et il n'est nullement question ici de technologie.


Auteur: Mg

Info: 1 octobre 2022

[ astrolinguistique ] [ exolinguistique ]

 
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transcodages

Jusqu'à la première moitié de ce siècle, le mot |code| (sauf rares exceptions comme quand Saussure parle de "code de la langue") était employé en trois sens précis : paléographique, institutionnel et corrélationnel. Et c'est d'ailleurs ainsi que le définissent les dictionnaires courants.
L'acception "paléographique" nous offre une trace pour comprendre les deux autres : le "codex" était le tronc de l'arbre d'où on extrayait les tablettes de bois sur lesquelles on écrivait, qui deviendra le livre. A la base des deux autres sens de |code| aussi, on retrouve un livre : un "codebook", par exemple un dictionnaire pour le code corrélationnel qui fait correspondre certains symboles à certains autres, et un livre comme recueil de lois ou de normes pour le code institutionnel. Il y a le code morse et le code de chevalerie.
L'acception "institutionnelle" donne lieu à de nombreuses équivoques : un code est-il un corps organique de lois fondamentales - comme les codes juridiques -, ou un ensemble de normes dont l'organicité n'est pas toujours explicitée - comme le code chevaleresque ? Le code pénal semble être un code corrélationnel : il ne dit pas explicitement qu'il est mal de tuer, mais il corrèle diverses formes de peines à diverses formes d'homicides ; le code civile, en revanche, est à la fois un ensemble de dispositions sur la façon dont il faut agir ("fais comme ceci") et de sanctions corrélées à la violation de la norme ("si tu ne fais pas comme ceci, tu encours telle sanction")
L'acception "corrélationnelle" semble plus précise et plus rigoureuse, et les agents secrets le savent pertinemment : rien n'est plus définissable qu'un code cryptographique. Et pourtant, une brève incursion dans l'univers de la cryptographie fera surgir une telle masse de problèmes que nous pourrons facilement remonter de l'acception cryptographique à toutes les autres.

Auteur: Eco Umberto

Info: Sémiotique et philosophie du langage, La famille des codes, pp 241 - 242, PUF, 1984, p. pp 241 - 242

[ transpositions ] [ langage ] [ législation ] [ lois ] [ réglements ] [ répertoires ]

 

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