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homosexualité

Psappha aimait la Rose, et la louait sans cesse, et la comparait à la beauté des vierges.

Auteur: Philostrate l'Athénien dit l'Ancien

Info: en 249

[ lesbianisme ]

 

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femmes-par-femme

La vieille dame souriait comme une gamine lorsque sa petite-fille comparait un vin madérisé à une coquette dont on découvre le mauvais caractère après le mariage.

Auteur: Roux Laurine

Info: Sur l'épaule des géants, p. 100

[ métaphores-comparaisons-etc ] [ dévoilées ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

accoutumance

Mila comparait la tristesse à ces vieilles armoires dont on voudrait se défaire mais qui restent toujours à leur place, et dont finit par émaner une odeur typique qui imprègne la pièce. Avec le temps, on s'y habitue, et on finit par appartenir nous aussi à cette odeur.

Auteur: Carrisi Donato

Info: Le Chuchoteur

[ contagion ] [ chagrin ] [ spleen ]

 

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intégration

Mila comparait la tristesse à ces vieilles armoires dont on voudrait se défaire mais qui restent toujours à leur place, et dont finit par émaner une odeur typique qui imprègne la pièce. Avec le temps, on s'y habitue, et on finit par appartenir nous aussi à cette odeur.

Auteur: Carrisi Donato

Info: Le Chuchoteur

[ chagrin ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

homme-animal

Ainsi Schopenhauer raconte-t-il qu’aux alentours de 1854 il allait quotidiennement rendre visite à un jeune orang-outan exposé à la foire de Francfort et qu’il avait été profondément touché par la mélancolie de cette volonté, en marche vers la connaissance de cet ancêtre présumé de l’homme ; il comparait son regard à celui de Moïse devant la Terre promise.

Auteur: Fontenay Élisabeth de

Info: Le silence des bêtes. La philosophie à l'épreuve de l'animalité

[ complexe de supériorité ] [ zoo ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

forêt pluviale

Parfois Esteban était surpris dans ses voyages à travers le feuillage par quelque averse, et alors le jeune homme comparait, dans sa mémoire auditive, la différence qu’il y avait entre les pluies des Tropiques et les bruines monotones du vieux monde. Ici, une puissante et vaste rumeur, sur un temps maestoso, aussi prolongé qu’un prélude de symphonie, annonçait au loin l’avance d’une tornade, tandis que les vautours teigneux volant bas en cercles de plus en plus serrés abandonnaient le paysage.

Auteur: Carpentier Alejo

Info: Le Siècle des lumières

[ nature ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

impérialisme

Le 5 mai 1951, interrogé sur la différence existant entre les Allemands et les Japonais, le commandant en chef des forces alliées Douglas MacArthur répondit que si l'on comparait la culture anglo-saxonne à un homme de quarante-cinq ans, alors que la culture allemande avait à peu près le même âge tandis que la culture japonaise avait douze ans. Selon lui, les Allemands avaient sciemment commis une erreur pendant la guerre et ils devraient la corriger d'eux-mêmes à l'avenir, tandis que le Japon avait commis la même erreur, mais par ignorance. Une argumentation qui non seulement rendit MacArthur impopulaire au Japon, mais servit aussi à légitimer l'ingérence dans la politique japonaise.

Auteur: Tawada Yoko

Info: Journal des jours tremblants : Après Fukushima précédé de Trois leçons de poétique

[ bêtise ] [ Usa ] [ arrogance ]

 

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limitation

Qu'est-ce que la réalité ? La réalité est-elle plus complexe qu'il n'y paraît ? Oui ! a répondu Platon il y a plus de deux millénaires. Dans sa célèbre analogie de la caverne, il nous comparait à des gens ayant vécu toute leur vie enfermés dans une caverne, face à un mur vide, observant les ombres projetées par les objets qui passaient derrière eux, et finissant par croire à tort que ces ombres représentaient toute la réalité. Platon soutenait que ce que nous, les humains, appelons notre réalité quotidienne n'est, de la même manière, qu'une représentation limitée et déformée de la vraie réalité, et que nous devons nous libérer de nos entraves mentales pour commencer à la comprendre.

Auteur: Tegmark Max

Info:

[ illusion cognitive ] [ classiques et poncifs ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

écrivain-sur-écrivain

Je dois à Cioran l'orgueil d'être une métèque. J'avais dix-huit ans quand je le vis pour la première fois. Il me donna Les Confessions d'un mangeur d'opium anglais. Mais c'est d'un autre livre de Thomas de Quincey qu'il me parla : La Nonne militaire d'Espagne. Cette histoire échevelée d'une jeune Basque qui s'échappe d'un couvent et parcourt le monde en habit de garçon, trucidant de nombreux personnages sur son parcours, avait de quoi exalter l'imagination de celui qui aimait les héroïnes qui ne sont pas d'ici. À lire Cioran on se figure un misanthrope, qui se défend de toute intrusion, se retranche derrière ses syllogismes pour écarter les importuns. Or, Cioran était l'être le plus accueillant qu'il m'eût été donné de connaître. Il m'avait encouragé à écrire, alors que lui-même comparait le roman à une tragédie au rabais.

Auteur: Lê Linda

Info: Le complexe de Caliban, p 47

[ mentor paradoxal ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

fantoche

C’était un de ces hommes qui n’ont rien de vibrant ni d’élastique, qui sont composés de molécules inertes, qui ne résonnent au choc d’aucune idée, au contact d’aucun sentiment, qui ont des colères glacées, des haines mornes, des emportements sans émotion, qui prennent feu sans s’échauffer, dont la capacité de calorique est nulle, et qu’on dirait souvent faits de bois ; ils flambent par un bout et sont froids par l’autre. La ligne principale, la ligne diagonale du caractère de cet homme, c’était la ténacité. Il était fier d’être tenace, et se comparait à Napoléon. Ceci n’est qu’une illusion d’optique. Il y a nombre de gens qui en sont dupes et qui, à certaine distance, prennent la ténacité pour de la volonté, et une chandelle pour une étoile. Quand cet homme donc avait une fois ajusté ce qu’il appelait sa volonté à une chose absurde, il allait tête haute et à travers toute broussaille jusqu’au bout de la chose absurde. L'entêtement sans l'intelligence, c'est la sottise soudée au bout de la bêtise et lui servant de rallonge. Cela va loin. En général, quand une catastrophe privée ou publique s'est écroulée sur nous, si nous examinons, d'après les décombres qui en gisent à terre, de quelle façon elle s'est échafaudée, nous trouvons presque toujours qu'elle a été aveuglément construite par un homme médiocre et obstiné qui avait foi en lui et qui s'admirait. Il y a part le monde beaucoup de ces petites fatalités têtues qui se croient des providences.

Auteur: Hugo Victor

Info: Claude Gueux

[ fanfaron ] [ portrait ] [ acharnement ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson