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évitement

Isaac ne convoqua pas Bronsky: Un chauffeur l'aurait empêché de se concentrer. il prit un taxi, se refusant à discuter des fausses pénuries de sucre, de la criminalité ou du temps.

Auteur: Charyn Jérôme

Info: Marilyn la dingue

[ besoin de tranquillité ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

homosexualité

Les grecs jugeaient assez naturels des rapports d'amour avec les femmes, même s'ils abaissaient l'homme. Ils restaient obligatoires jusqu'à l'obtention du fils désiré. Il y avait des banquets d'hommes auxquels on convoquait des prostituées, et les hétaïres étaient là pour le bonheur du corps et de l'esprit. Toutefois, le type de sexualité en honneur à Athènes et le plus répandu à Sparte était les rapports homosexuels masculins: seul l'homme était digne de l'amour de l'homme, qu'il fut ou non consommé physiquement.

Auteur: French Marilyn

Info: La Fascination du Pouvoir

 

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étymologie

Jephté convoqua les hommes de Galaad et combattit Ephraïm. Les Galaadites s'emparèrent des gués du Jourdain menant à Ephraïm, et chaque fois qu'un survivant d'Ephraïm disait : "Laisse-moi passer", les hommes de Galaad lui demandaient : "Es-tu un Ephraïmite ?" S'il répondait : "Non", ils disaient : "D'accord, dis Shibboleth". S'il disait : "Sibboleth", parce qu'il ne pouvait pas prononcer le mot correctement, ils le saisissaient et le tuaient aux gués du Jourdain. Quarante mille personnes furent tuées à cette occasion.


Auteur: La Bible

Info: Juges 12:4-6. Cité par Edwidge Danticat in The Farming of Bones

[ aptitude phonatoire ] [ appartenance ] [ imprégnation linguistique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

musique

On dit que le "sauf-conduit" de Ioudina était la tolérance dont Staline faisait preuve à son égard. Il la considérait comme une iourodivaïa. Une légende dit que Staline, après avoir entendu à la radio Ioudina jouer un concerto de Mozart, ordonna qu'on lui apporte le disque avec cette interprétation. Personne n'osa dire au "Guide" que l'émission était en direct et qu'il n'existait pas d'enregistrement. On convoqua Ioudina en urgence au studio et la pianiste enregistra le concerto en une nuit de travail acharné (trois chefs se succédèrent à la tête de l'orchestre). Le disque qu'on apporta à Staline était tiré à un seul et unique exemplaire !

Auteur: Volkov Solomon

Info: Chostakovitch et Staline, L'artiste et le tsar

[ dictature ]

 

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séduction narrative

[...] la psychologie cognitive avait déjà pointé l'existence d'un effet Othello, ou la manipulation des croyances à l'aide des scénarios. Massimo Piatelli Palmarini, en convoquant plusieurs expériences, montre que les conclusions les plus saugrenues peuvent apparaître bien plus acceptables dès lors qu'elles sont scénarisées. La scénarisation augmente donc la probabilité subjective de leur survenance. L'essentiel écrit-il n'est pas que les auteurs du Protocole des sages de Sion aient vraiment réussi à convaincre tous leurs lecteurs, mais que cette sinistre fiction a permis de mettre en musique les thèmes antisémites qui parcouraient l'Europe d'alors. Celle-ci donnait un corps scénarisé à ce qui n'était avant que des motifs épars.

Auteur: Bronner Gérald

Info: Dans "La démocratie des crédules"

[ paresse cognitive ] [ faire gober ] [ efficacité actancielle ] [ embobinage ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

envahisseurs

L'invasion d'Akkad par une peuplade lointaine

A leur approche, l'humanité se cachait dans des cavernes. Une ville devant eux n'était pas une ville. Les champs devant eux

n'étaient pas des champs. Ils étaient six (sept) rois, tous frères, resplendissants, et six cents étaient leurs soldats...

Tiamat les avait allaités.

Leur mère, Bêlet-Ili, les avait rendus beaux. (...)

Ils approchent d'Akkad et Narâm-Sîn réagit

Je convoquai un éclaireur et lui donnai des instructions.

Je lui donnai un stylet et une aiguille.

"Frappe-les du stylet ! Pique-les de l'aiguille !

Si le sang coule, ce sont des hommes comme nous.

Si le sang ne coule pas, ils sont de mauvais esprits, envoyés de la Mort, démons, démons malveillants, créatures d'Enlil."

L'éclaireur fit son rapport :

"Je les ai frappés du stylet ; je les ai piqués de l'aiguille et le sang a coulé."

Alors je convoquai les devins et leur donnai des instructions ;

je choisis sept agneaux, un agneau par roi barbare.

J'élevai de purs autels de roseaux, j'invoquai les grands dieux...


Auteur: Anonyme Sumer ancien

Info: In Legends of the Kings of Akkade de Joan Goodnick Westenholz, pp. 287 et 310-317.

 

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Ajouté à la BD par miguel

barbarie

Moulin finissait de dîner quand le général allemand le convoqua dans son bureau. Avant l’entrevue, un officier lui signifia clairement et en français ce qu’on attendait de lui. Les autorités d’occupation exigeaient qu’il signe un "protocole" qui relatait qu’au hameau de La Taye, des femmes et des enfants avaient été violés et tués par des soldats "nègres" en pleine retraite. Par ce biais, les officiers de la Wehrmacht essayaient de se dédouaner en faisan endosser aux tirailleurs sénégalais un massacre dû en réalité à leurs propres troupes. Moulin refusa net. (…) Aussitôt les coups commencèrent à s’abattre sur lui (…) Dès lors, il se mura dans le silence. Pendant des heures, il fut obligé de rester debout (…) On le conduisit ensuite sur les lieux pour qu’il "juge sur pièces". C’était une vision d’horreur qui s’offrait à ses yeux. Bientôt pour le confronter de plus près, un officier allemand l’obligea à se coucher sur un tronc humain qui avait été une femme (…) Finalement il se retrouva en cellule (…) Sur le sol de la cellule, il y avait du verre brisé (…) Un matin de juin un soldat allemand le découvrit couvert de sang, un plaie béante dans la gorge.(…)

Auteur: Péan Pierre

Info: Jean Moulin, l'ultime mystère

[ torture ] [ racisme ] [ ww2 ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

malentendu

Et ce fut ainsi, la légende en tout cas le rapporte, que Simon Balard, - si tu le veux bien lecteur, nous l'appellerons Simon, c'est notre frère - affranchi du limon de sa matière terrestre et du qu'en-dira-t-on, prit la parole. Et elle s'envola sa parole... Inspirée puis exhalée, elle s'envola en méloppées, fados et vociferi se mêlant, se tramant, se tissant, et s'enchaînant aux volutes de la fumée des narghilés jusqu'à former avec elles un tapis volant de Naïn sur lequel voguèrent les hôtes de N'Kongsamba-sur-la-Sorgue secoués de rire, et même Babeu, fumeuse passive et néanmoins sidérée. S'élevant en plain-chant dans le secret de l'opisthodome, elle convoqua les évènements passés qui, soustraits au boyau crevé desjours par où l'avenir s'enfuit en un feulement chuintré et la mémoire avec, soudain prirent valeur d'épopée. Et quelque épais, cher lecteur, qu'ait pu être le coaltar engluant nos cerveaux hallucinés, nul d'entre nous présent ce mémorable soir-là, n'oubliera l'admirable incipit par lequel Simon ouvrit son lamento .... Et au fur et à mesure que Simon pompait au narghilé le souffle inspiré qui magnifiait son odyssée, nous tous suffoquions d'un rire irrépressible, un rire qui nous tordait, nous summpliciait, Alcibiade comme Parsiphaé, Théodat comme Alcibiade et nous comme toi, cher lecteur, ainsi que Babeu, la brave, en larmes sous le regard aveugle de l'homérique conteur, qui lui, le pauvre, ne rigolait pas du tout...

Auteur: Lucas Claude

Info: Ti kreiz

[ acteur ] [ spectateur ] [ ridicule ] [ littérature ]

 

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