Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 27
Temps de recherche: 0.0514s

passé

<MickBim> tain, le site copainsdavant.com ça me donne envie de déposer enculesdaujourdhui.com et connardsdedemain.com en prévision
<yavin-> comment ça marche trop ce genre de sites, tout ça pour retrouver des gens avec qui t'as sûrement plus rien à partager
<MickBim> yavin- : du foutre chaud pour certaines copines
<MickBim> le sous-titre de copains d'avant ça devrait trop être "plan cul de maintenant" n'empêche.

Auteur: Internet

Info:

[ dialogue-web ] [ vulgarité ] [ sexe ] [ réseaux sociaux ]

 

Commentaires: 0

divertissement

L’aliénation par le travail, en déliant les individus de leurs préoccupations personnelles, sauve ces derniers du vide et de la médiocrité contemplée, médiocrité qui acculerait beaucoup d’entre eux à la dépression et au suicide. Les tensions avec sa chef de service, Mme Rivalin, détournèrent Claire du projet envisagé pendant l’été de quitter son mari. Elle s’était glissée dans ses habitudes, ses sorties entre copines le samedi après-midi et son cours de stretching du vendredi soir.

Auteur: Patrice Jean

Info: Dans "L'homme surnuméraire", page 38

[ accommodations ] [ fuite ] [ labeur ]

 
Commentaires: 1
Ajouté à la BD par Coli Masson

femmes-hommes

<Korras> amitié chez les femmes: elle ne vient pas une nuit et dit à son petit ami qu'elle a passé la nuit avec une copine à elle. Le petit copain appelle dix de ses copines et pas une n'est au courant.
<Korras> amitié chez les hommes: même scénario. Le gars dit qu'il a passé la nuit chez un pote. Sa copine appelle dix de ses copains. 8 confirment qu'il était bien là et les 2 autres disent qu'il y est toujours.

Auteur: Internet

Info:

[ dialogue-web ]

 

Commentaires: 0

femmes-par-femmes

Quelquefois, faire un enfant de plus permettait de souffler un peu, grâce aux allocations de naissance qui renflouaient le compte bancaire.
Certaines ne manquaient pas de se plaindre, marmonnant qu'elles haïssaient la vie et plus encore les hommes qui les avaient poussées dans la misère.
Leur grande consolation était de se retrouver dessous la véranda de l'une ou l'autre.
Jacasser avec les copines, se plaquer des mèches, se teindre ou se défriser les cheveux, afin d'oublier durant quelques heures l'éblouissante cruauté du monde réel.

Auteur: Pineau Gisèle

Info: Cent vies et des poussières

 

Commentaires: 0

répartie

Un jour que j'étais chez elle, une de ses copines s'amène et se met à lui expliquer qu'elle faisait une grossesse nerveuse. Tu veux croire que tu es enceinte, elle lui dit. Complexe de culpabilité. L'opération, le paquet que ça va te coûter, c'est la punition que tu t'infliges. Alors la nana - je l'aimais bien celle-là - lève les yeux calmement et lui dit : bon, eh bien si c'est une grossesse nerveuse, je me ferai faire un avortement nerveux et je paierai en billets nerveux.

Auteur: Dick Philip K.

Info: Substance mort

[ femmes-par-hommes ]

 

Commentaires: 0

poivrot

Tu tires la chasse d’eau et tu contemples ton vomi comme un train au départ. Ton estomac est vide, tu ne vomiras sans doute plus aujourd’hui et tu décides de prendre cinq aspirines, lesquelles, ajoutées aux six que tu as prises hier soir, font un total de onze cachets en huit heures, ce qui, selon la notice, les médecins, les copines et les femmes du monde entier, est très mauvais pour la santé. Mais tu as pris cette habitude depuis si longtemps que tu n’oses pas t’arrêter maintenant, et tu frissonnes à l’idée de ce que seraient tes gueules de bois sans aspirine.

Auteur: deWitt Patrick

Info: Ablutions

[ cercle vicieux ] [ alcool ] [ médicaments ] [ dépendance ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

vengeance

Trois fois par semaine je vais prendre ma femme dans le centre-ville en rentrant du boulot. Elle sort plus tôt que moi et elle en profite toujours pour voir ses copines ou faire des courses. Ma femme n'est jamais arrivée une seule fois à l'heure à ces rendez-vous. A chaque fois, elle me fait poireauter entre dix et quinze minutes. J'ai fait le calcul, depuis que nous sommes ensemble, j'ai attendu ma femme 16 224 minutes. Un soir je suis arrivé au rendez-vous pile à l'heure, comme à l'habitue, et comme c'était à prévoir, elle n'était pas là. Alors je suis parti. Je suis rentré onze jours, six heures et vingt-quatre minutes plus tard. On est quittes.

Auteur: Thomas David

Info: La Patience des buffles sous la pluie

[ humour ] [ retard ]

 

Commentaires: 0

gamines

Les seules à l’émouvoir un peu, ce sont les petites qui passent, en sortant du primaire, en bande de moineaux. Quand elle les voit sautiller comme ça, pattes maigres et torses plats, Maud se souvient de son enfance comme un paradis perdu. Le goût des BN à quatre heures, qu’elle commençait à manger par les coins, en regardant les dessins animés. L’odeur particulière de la gomme au fond de la trousse, celle des fraises Tagada. Les jeux dans la cour de récré, les amitiés exclusives, jalouses. Les vacances, si longues. Les cadeaux de Noël, mal cachés dans l’armoire, cent fois palpés d’un doigt léger, inquisiteur. Les tours de vélo sur le parking, entre copines, aux soirs d’été. Elle se souvient sans conviction, sans certitude.

Auteur: Roger Marie-Sabine

Info: Un simple viol

[ enfance ] [ nostalgie ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

nostalgie

J'aimerais voyager dans le temps pour revenir à la décennie pendant laquelle la drogue et moi étions copines et se défoncer servait à quelque chose. (... ) D'une minute à l'autre, comme dans un conte de fées, la réalité devient malléable. Ce génie est séduisant. Sans quoi je ne lui aurais pas consacré ma vie. Mais maintenant, je dirais plutôt que je suis comme possédée. Ça n'a plus de sens. Je le sais. Je m'ennuie aussi quand je me défonce. Je le fais quand même. La partie de moi qui veut se droguer est semblable à une région luttant pour prendre le pouvoir sur tout le pays. Elle ne lutte pas pour son autonomie, elle lutte pour l'indexation. C'est une instance dictatoriale. Mais c'est aussi mon pays. Et c'est ma guerre, de toute façon.

Auteur: Despentes Virginie

Info: Cher connard, pp 113-114

[ addiction ] [ routine maîtresse ] [ introspection ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

existence

Si tu veux essayer, va jusqu'au bout. Sinon, ne commence même pas. Ça pourra signifier perdre des copines, des épouses, des parents et peut-être même ton esprit. Ça pourra signifier ne pas manger pendant trois ou quatre jours. Te geler sur un banc dans un parc. Ça pourra signifier la prison. La dérision. Ce sera peut-être la moquerie... l'isolement. L'isolement est un cadeau. Toutes les autres configurations sont un test de ton endurance, de ta volonté de faire. Et tu le feras, malgré le rejet et les pires obstacles. Et ce sera mieux que tout ce que tu peux imaginer. Si tu veux essayer, vas-y à fond. Aucun autre sentiment n'est comparable. Tu seras seul avec les dieux, et les nuits seront enflammées. Tu chevaucheras la vie jusqu'au rire parfait. Voilà l'unique combat valable.

Auteur: Bukowski Charles

Info: Factotum

[ injonction ] [ sacrifice ] [ lutte ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel