Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 21
Temps de recherche: 0.0438s

dernières paroles

On ne dit pas colidor, mais corridor!

Auteur: Arvers Félix

Info:

[ . ]

 

Commentaires: 0

flemme

On ne dit pas Mon corridor mais Mon corps se repose.

Auteur: Internet

Info:

[ humour ] [ jeu de mots ]

 

Commentaires: 0

introspection

Pour être hanté, nul besoin de chambre, nul besoin de maison, le cerveau regorge de corridors plus tortueux les uns que les autres.

Auteur: Dickinson Emily

Info:

[ angoisse ] [ inquiétude ]

 

Commentaires: 0

être humain

L'humain est un corridor étroit, il faut s'y engager pour espérer le rencontrer... L'humain est un corridor et tout humain pleure son ciel disparu. Un chien sait cela et c'est pour cela que son affection pour l'humain est infinie.

Auteur: Wajdi Mouawad

Info: Anima

[ animal ] [ interaction ] [ limitation ]

 

Commentaires: 0

mourants

Je m'appliquai, par pur amour de la matière et de ses éphémères porteurs, à l'élaboration de maladies qui étaient, par rapport à la mort, des passages et des corridors, des halls d'entrée, de fastueuses antichambres, des vestibules ; je poursuivis le but de faire du mourir, grâce à un corps opportunément à bout de souffle, un itinéraire interminable et sacré [...].

Auteur: Manganelli Giorgio

Info:

[ agonie prolongée ]

 
Commentaires: 3
Ajouté à la BD par miguel

obscurité

Des ombres torrentielles, rouges et visqueuses, se poursuivaient, haletant et glissant, dans les corridors infinis du ciel violet et zébré d'éclairs... phantasmes sans forme, dessins d'un kaléidoscope vampirique... forêt de chênes monstrueusement nourris dont les racines en forme de serpent se tordaient, aspiraient d'innommables sucs dans la terre grouillante de démons cannibales... tentacules en forme de tertres, nés d'un noyau souterrain de pourriture perverse... éclairs de folie sur des murs couverts de lierre malsain... galeries démoniaques éclairées par une végétation putride...

Auteur: Lovecraft Howard Phillips

Info: Le mythe de Cthulhu

[ tempête ]

 

Commentaires: 0

songe

Rêve. Trois statues de la mort. L'une, un squelette; l'autre, un corps de phtisique portant une grosse tête ridicule comme dans les foires; l'autre, une statue de marbre noir. Toutes trois sur un piédestal dans une chambre, tandis que dans l'ombre d'un corridor se débattent des formes confuses et qui font peur. L'une après l'autre, descendant de leur piédestal et cherchant à m'attraper et me prenant par les bras et me tiraillant à elles, se disputent ma personne comme des raccrocheuses de trottoir.

Auteur: Goncourt Edmond et Jules de

Info: mémoires nov. 1855

[ triade ]

 

Commentaires: 0

vacuité

Vous voyez que le vide est le soi-disant familier, or votre maison est infiniment familière, infiniment répétitive. Couloirs, corridors, pièces, sans cesse et encore. Un peu comme la maison de Dante après un bon nettoyage de printemps. C'est un lieu sans objet et sans vie; Cicéron a dit : "une pièce sans livres est comme un corps sans âme." Ajoutez donc l'âme à la liste. Un lieu sans vie, sans objet, sans âme. Sans dieu, également. L'abîme pré-divin de Milton ou dans l'univers nietzschéen post-divin.

Auteur: Danielewski Mark Z.

Info: La Maison des feuilles

[ routine ] [ viduité ] [ foyer ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

psychanalyse

J'ai trop été nourri de la lecture de Freud, qui d'ailleurs a été assassiné beaucoup plus par ses disciples que par ses détracteurs, pour le rejeter entièrement, comme on a tendance à le faire en cette fin du XXe siècle. Je n'en professe pas moins qu'il faut avoir un champ de vision d'une étroitesse de corridor et une insensibilité daltonienne aux couleurs de la vie pour se condamner à la portion congrue et à la morne pitance de la seule et unique sexualité comme source, thème et vecteur exclusifs des riches et innombrables passions humaines.

Auteur: Revel Jean-François

Info: Mémoires, Plon 1997 <p.159>

[ limitation ]

 

Commentaires: 0

odeur

J'aime réchauffer mes amis avec du bois de glycine, de rose ou de vieux lierre, et j'aime leur dire : "Regarde ce que fait la glycine, outre parfumer l'air, et la rose, outre fleurir !" C'est comme offrir à mes amis une eau de vie spéciale, un vin vieilli, un goût qu'ils ne connaissent et ne retrouveront pas. Et la chaleur qui sent la rose ou la glycine monte par les escaliers anciens, entre dans les pièces froides, parcourt le corridor sombre, effleure les murs, déplace les rideaux et passe bienveillante comme le dernier frétillement du génie de la lampe.

Auteur: Pendibene Mavi

Info: Un po' di sale nell'acqua tiepida

[ feu de bois ]

 

Commentaires: 0