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femmes-hommes

Beaucoup moins de femmes se coucheraient si elles pouvaient obtenir verticalement les compliments qu'elles obtiennent allongées.

Auteur: Malraux André

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[ pensées-misogynes ]

 

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élan

Si on ne faisait les choses qu'après y avoir mûrement réfléchi, on ne coucherait jamais avec personne.

Auteur: Bradbury Ray

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relatif

Il y a bien des gens qui coucheraient volontiers avec la femme d'un ami, mais refuseraient avec dégoût de fumer dans sa pipe.

Auteur: Courteline Georges

Info:

 

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virus invisible

Mon père m'a conté comment un de ses camarades mourut du choléra par persuasion. Il avait parié qu'il coucherait dans les draps d'un cholérique ; il le fit, prit le choléra, et mourut presque sur l'heure. Or ses camarades, dont mon père était, avaient bien pris soin de purifier tout, ne conservant que des apparences. Ces apparences suffirent à tuer le malheureux. Il se trompait en ceci qu'il croyait que le courage guérit de la peur. Nous n'avons directement aucune action sur ces mouvements intérieurs du ventre, si sensibles dans les moindres peurs. Et mon exemple est bon en ceci que le microbe visait justement là.

Auteur: Alain

Info: Les idées et les âges, Les Passions et la Sagesse, la Pléiade, nrf Gallimard 1960 p.81

[ bravache ] [ contagion ]

 

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femmes-hommes

Je ne coucherai pas avec cette femme parce que je suis marié, ou parce qu'elle l'est, mais personne ne peut exiger que je la chasse de ma pensée. Elle me préoccupe. Elle tient de la place en moi. Femme, si tu te mets en travers de mes rêveries, malheur à nous! Laisse-les plutôt vivre de leurs petits riens, puis mourir. J'ai plus de disposition à être saint que coureur de femmes. Ma vie, le sérieux de mon âme, mes ambitions, mes idées, tout me rapproche du saint; mais je sens bien qu'il faudrait un miracle pour que je le devienne. Je suis à la merci d'une grue, et cela me fait peur.

Auteur: Renard Jules

Info: Journal, 1897 p.304.

[ hommes-par-hommes ] [ faible ] [ impulsif ]

 

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contemplation

Assis sur le sable, le dos appuyé au tronc d'un casuarina, j'allumai une cigarette et ferrmai les yeux. Dans une heure le soleil se coucherait, mais comme cela devenait habituel dans ma vie, je n'éprouvais aucune impatience et n'avais aucune expectative. Ou plutôt je n'avais presque rien : et presque sans le presque ! Tout ce qui m'intéressait à ce moment-là, c'était le plaisir de voir arriver le crépuscule, ce cadeau de l'instant fabuleux où le soleil s'approche de la mer argentée du golfe et dessine un sillage de feu à sa surface. Au mois de mars, avec la plage pratiquement déserte, la promesse de cette vision m'apportait une sorte de sérénité, un état proche de l'équilibre qui me réconfortait et me permettait de croire encore à l'existence palpable d'un petit bonheur, fait à la mesure de mes maigres ambitions.

Auteur: Fuentes Leonardo Padura

Info: L'homme qui aimait les chiens

[ couchant ]

 

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couchant

Assis sur le sable, le dos appuyé au tronc d'un casuarina, j'allumai une cigarette et ferrmai les yeux. Dans une heure le soleil se coucherait, mais comme cela devenait habituel dans ma vie, je n'éprouvais aucune impatience et n'avais aucune expectative. Ou plutôt je n'avais presque rien : et presque sans le presque ! Tout ce qui m'intéressait à ce moment-là, c'était le plaisir de voir arriver le crépuscule, ce cadeau de l'instant fabuleux où le soleil s'approche de la mer argentée du golfe et dessine un sillage de feu à sa surface. Au mois de mars, avec la plage pratiquement déserte, la promesse de cette vision m'apportait une sorte de sérénité, un état proche de l'équilibre qui me réconfortait et me permettait de croire encore à l'existence palpable d'un petit bonheur, fait à la mesure de mes maigres ambitions.

Auteur: Padura Léonardo

Info: L'homme qui aimait les chiens

[ attente ] [ sérénité ]

 

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Ajouté à la BD par miguel