Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 10
Temps de recherche: 0.0353s

liberté

- Attaché? dit le loup; vous ne courez donc pas où vous voulez?

Auteur: La Fontaine Jean de

Info: le loup et le chien

 

Commentaires: 0

perdu

A travers le désert courez comme les loups
Faites votre destin, âmes désordonnées
Et fuyez l'infini que vous portez en vous.

Auteur: Baudelaire Charles

Info:

[ poème ]

 

Commentaires: 0

phosphorer

Les cellules de votre cerveau consomment plus de sang lorsqu'elles travaillent dur, tout comme les cellules de vos muscles lorsque vous courez.

Auteur: Rahul Jandial

Info: Neurofitness : La vraie science de la performance de pointe d'un décrocheur de l'université devenu chirurgien du cerveau.

[ intellect concentré ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

zen

Aussi longtemps que vous courez, l’esprit égaré, parmi vos voisins, vous êtes voués à revenir dans le royaume de naissance-et-mort, quelle que soit la "quantité d’innombrables Kalpa" que vous aurez passé à vouloir maîtriser la Voie. Il vaut mieux retourner dans votre monastère et vous asseoir paisiblement, jambes croisées, dans la Salle de Méditation.

Auteur: Linji Línjì Yìxuán Lin-chi I-hsüan Lin-tsi

Info: Dans les "Dits de Rinzai"

[ économie karmique ] [ non-agir ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

humour

Lorsque Kinsey demanda à une étudiante lequel des organes humains était capable de la plus importante expansion, elle rougit. " Professeur Kinsey, vous n'avez pas le droit de me poser cette question ", s'offusqua-t-elle. Kinsey répondit : " Je pensais à l'oeil - à l'iris de l'oeil. Et vous, jeune demoiselle, vous courez droit à une grande déception.

Auteur: Hickman Tom

Info: Le bidule de Dieu

[ verge ]

 

Commentaires: 0

piège des grands mots

Si d’aventure, un homme se présente à vous, faisant étalage de mots, de phrases, dans la confusion de leur dualité vous voilà décontenancés et vous commencez à nourrir un doute. Ne sachant que faire, vous courez chez voisins et amis enquêtant dans toutes les directions. Vous voilà totalement perdus. Un homme de grand caractère ne gaspille pas son temps en discussions et propos oiseux, quant à l’hôte ou l’intrus, le vrai ou le faux, la substance et la richesse.

Auteur: Linji Línjì Yìxuán Lin-chi I-hsüan Lin-tsi

Info: Dans les "Dits de Rinzai"

[ vanité philosophique ] [ interprétations imaginaires ] [ blabla prétentieux ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

course aveugle

Attirer l'attention du Seuil est une très mauvaise idée. A l'intérieur du trou de ver, le temps est mélangé à l'une des dimensions spatiales ; de plus, par nécessité physique ou par conception, tout ce qui correspond à un mouvement du futur vers le passé est interdit. Traduit dans la géométrie actuelle du trou de ver, cela veut dire que quand le Seuil se matérialise autour de vous, il devient impossible de s'éloigner du centre. Vous avez un temps inconnu, peut-être dix-huit minutes, peut-être plus, peut-être moins, pour gagner la sécurité du Cœur dans ces conditions bizarres. De plus, la lumière est soumise aux mêmes effets ; elle ne peut se propager que vers l'intérieur. Tout ce qui est plus proche que vous du centre se trouve dans un futur invisible. 

Vous courez vers les ténèbres. 

Auteur: Egan Greg

Info: Axiomatique. Le coureur

[ science-fiction ] [ sens unique temporel ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

musique

Martha Argerich parle mieux que personne de Chopin. Martha Argerich nous restitue Chopin dans sa vérité : viril, dur, net, et d'autant plus profond : on abandonne les mièvreries, les effleurements maniérés du clavier, les effusions au miel, les tempi languides, les déhanchements outrés et autres chichis de chochottes aux pianistes pour coiffeurs sensibles, décorateurs de vitrines ou visagistes, on laisse les effets de rubato à la pédale aux pianistes pour pédales ! [...] Les qui veulent de la sucrerie et du larmoyant, du Chopin sanglotant et dégoulinant de mélasse, faites pas chier ! Vous nous laissez entre mélomanes avertis, et vous, vous courez vous scotcher devant votre télé : chance ! c'est Jacques Chancel ! Vous avez remarqué qu'au Grand Echiquier, il y a toujours, toujours, toujours un pianiste virtuose ou prétendu tel, en smoking blanc, larges revers de satin blanc pailleté, pattes d'ef et noeud pap géant qui massacre allègrement un nocturne ou un prélude de Chopin, le noie sous le sirop d'orgeat, le sucre candi, la guimauve, la chantilly, l'interprète, ce nocturne ou ce prélude, comme s'il s'agissait de l'arrangement d'un tube balnéaire de l'été ? Tout ce que vous aimez !

Auteur: Léger Jack-Alain

Info: Zanzaro circus : Windows du passé surgies de l'oubli

[ classique ] [ romantisme ]

 

Commentaires: 0

contrariété

N'ayez pas peur du mécontentement, mais nourrissez-le jusqu'à ce que l'étincelle devienne une flamme et que vous soyez perpétuellement mécontent de tout - de votre travail, de votre famille, de la traditionnelle course à l'argent, à la situation, au pouvoir - de sorte que vous vous mettiez vraiment à penser, à découvrir. Or, en vieillissant, vous vous rendrez compte qu'il est très difficile de maintenir cet esprit de mécontentement. Vous avez des enfants à nourrir, et les exigences de votre travail à prendre en compte, l'opinion de vos voisins, de la société qui se referme sur vous, et très vite vous commencez à perdre cette flamme ardente du mécontentement. Quand vous êtes mécontent, vous allumez la radio, vous allez voir un gourou, vous récitez la puja, vous vous inscrivez à un club, vous buvez, vous courez les femmes - tout est bon pour étouffer la flamme. Or, voyez-vous, sans cette flamme du mécontentement, vous n'aurez jamais l'initiative qui est le commencement de la créativité. Pour découvrir la vérité, vous devez être en révolte contre l'ordre établi. […]
La créativité ne consiste pas simplement à peindre des tableaux et à écrire des poèmes - ce qui est bien, mais reste minime en soi. L'important est d'être mécontent de fond en comble car ce mécontentement global est le début de l'initiative qui devient créative à mesure qu'elle mûrit ; et c'est la seule manière de découvrir ce qu'est la vérité, ce qu'est Dieu, car Dieu n'est autre que l'état créatif.

Auteur: Krishnamurti Jiddu

Info: Le sens du bonheur

[ irritation ] [ moteur ]

 

Commentaires: 0

jeux de mots

Excusez-moi, je suis un peu essoufflé ! Je viens de traverser une ville où tout le monde courait...Je ne peux pas vous dire laquelle... je l'ai traversée en courant. Lorsque j'y suis entré, je marchais normalement, mais quand j'ai vu que tout le monde courait... je me suis mis à courir comme tout le monde, sans raison !

A un moment je courais au coude à coude avec un monsieur...

Je lui dis : "Dites-moi... Pourquoi tous ces gens-là courent-ils comme des fous ? "

Il me dit : "Parce qu'ils le sont ! "

"Vous êtes dans une ville de fous ici... Vous n'êtes pas au courant ? "

"Si, si, des bruits ont couru ! "

"Ils courent toujours ! "

"Qu'est-ce qui fait courir tous ces fous ? "

"Tout ! Tout ! Il y en a qui courent au plus pressé. D'autres qui courent après les honneurs... Celui-ci court pour la gloire... Celui-là court à sa perte ! "

"Mais pourquoi courent-ils si vite ? "

"Pour gagner du temps !

"Comme le temps c'est de l'argent, plus ils courent vite, plus ils en gagnent ! "

"Mais où courent-ils ? "

"À la banque ! Le temps de déposer l'argent qu'ils ont gagné sur un compte courant... et ils repartent toujours courant, en gagner d'autre ! "

"Et le reste du temps ? "

"Ils courent faire leurs courses au marché ! "

"Pourquoi font-ils leurs courses en courant ? "

Il me dit : "Je vous l'ai dit... parce qu'ils sont fous ! "

"Ils pourraient tout aussi bien faire leur marché en marchant...tout en restant fous !"

"On voit bien que vous ne les connaissez pas ! D'abord le fou n'aime pas la marche... "

"Pourquoi ? "

"Parce qu'il la rate ! "

"Pourtant, j'en vois un qui marche !? "

" Oui, c'est un contestataire ! Il en avait assez de courir comme un fou. Alors il a organisé une marche de protestation ! "

"Il n'a pas l'air d'être suivi ? "

"Si, mais comme tous ceux qui le suivent courent, il est dépassé ! "

"Et vous, peut-on savoir ce que vous faites dans cette ville ? "

"Oui ! Moi j'expédie les affaires courantes.

Parce que même ici, les affaires ne marchent pas ! "

"Et où courez-vous là ? "

"Je cours à la banque ! "

"Ah !... Pour y déposer votre argent ? "

"Non ! Pour le retirer ! Moi je ne suis pas fou ! "

"Mais si vous n'êtes pas fou, pourquoi restez-vous dans une ville où tout le monde l'est ?

"Parce que j'y gagne un argent fou !... C'est moi le banquier !




Auteur: Devos Raymond

Info: Où courent-ils

[ sketch ] [ humour ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel