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humour

C'était un pays où vivaient des souris. Elles vivaient comme vous et moi et tous les 4 ans elles élisaient un parlement. Ce jour-là on les aidait, on les transportait en bus aux bureaux de votes... Leur parlement était constitué de beaux et gras chats noirs. Ces chats étaient de bons gars... Bon, ils mettaient principalement en place des lois pour protéger leurs propres intérêts. Par exemple il y en avait une qui obligeait les souris à laisser une entrée arrondie, assez grande pour que les chats puissent y passer la patte. Une autre loi interdisait aux souris de courir trop vite, et ainsi de suite. Après un temps sous ce régime les souris décidèrent de réagir. Plutôt que d'élire des chats noirs elles votèrent en masse pour les chats blancs... Qui décidèrent que les souris devaient avoir des entrées carrées, ce qui était même pire. Résultat les souris votèrent à nouveau pour les chats noirs, sans que cela apporte de changements notables. Alors on essaya avec des chats moitié blanc moitié noirs... Son nom : La coalition. Mais cela n'allait pas mieux. On alla ensuite jusqu'à élire des chats tachetés. Des chats qui essayaient de parler comme des souris mais qui mangeaient comme des chats. Sans succès. Le problème était simple : ils étaient des chats. Un jour arriva de très loin une petite souris. Elle vint s'exprimer devant une grande assemblée de ses congénères. - Mes amis écoutez un humble compagnon qui à une idée à vous soumettre. Voilà : pourquoi continuons-nous à élire un gouvernement composé de chats. Pourquoi n'élisons-nous pas des souris, comme nous, au parlement ? Mais, s'écrièrent toutes les souris en coeur... C'est UN COMMUNISTE. La petite souris fut mise en prison. Tout ça pour vous dire, mes amis, que si on peut enfermer un homme on ne peut le faire avec une idée.

Auteur: Douglas Thomas Clement Tommy

Info:

[ politique ] [ discours ] [ libération ]

 

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cité imaginaire

A partir de là, après sept jours et sept nuits, l'homme arrive à Zobéïde, ville blanche, bien exposée à la lune, avec des rues qui tournent sur elles-mêmes comme des files d'une pelote. Voici ce qu'on raconte à propos de sa fondation : des hommes de diverses nations firent un rêve semblable, ils virent une femme courir en pleine nuit dans une ville inconnue, ils la virent de dos avec ses cheveux longs, et elle était nue. Ils rêvèrent qu'ils la suivaient. A la fin, chacun la perdit. Ayant rêvé, ils partirent à la recherche de la ville, ils ne la trouvèrent pas mais se retrouvèrent ensemble ; ils décidèrent de construire une ville comme dans leur rêve. Dans la disposition des rues chacun reconstitua l'itinéraire de sa poursuite : là où il avait perdu les traces de la fugitive, il ordonna l'espace et les murs autrement que dans le rêve, de telle sorte qu'elle ne puisse plus s'échapper. Ce qui donna la ville de Zobéïde où ils s'établirent dans l'attente qu'une nuit se répète la scène. Aucun d'entre eux, ni en rêve, ni à l'état de vaille, ne revit jamais la femme. Les rues de la ville étaient celles par lesquelles ils allaient au travail tous les jours, sans plus aucune relation avec la poursuite du rêve. Qui du reste était déjà oublié depuis longtemps. D'autres hommes arrivèrent d'autres pays, ayant fait un rêve semblable au leur, et ils reconnaissaient dans la ville de Zobéïde quelque chose des rues de leur rêve, et ils changeaient de place arcades et escaliers de manière à ce que cela ressemble mieux au chemin de la dame poursuivie et que là où elle avait disparu il ne reste plus d'issues par ou s'échapper. Les premiers arrivés ne comprenaient pas ce qui attirait ces gens à Zobéïde, dans cette ville sans grâce, cette souricière.

Auteur: Calvino Italo

Info: les villes invisibles

[ légende ] [ littérature ] [ femmes-hommes ]

 

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dialogue

- Hé, où allez-vous ? demanda-t-il ?
- Je rentre chez moi, dis-je sans me retourner. Je l'entendis courir derrière moi.
- Pourquoi ?
- Parce que tu es trop nul, mon petit gars. Va donc faire du violon, ça fera plaisir à tes parents. En plus, je ne supporte pas ton attitude. Et si moi je ne la supporte pas, je vois mal comment tu pourrais un jour t'imposer comme meneur dans une équipe. Bouger un peu ton cul de pleurnichard pour devenir un quarterback.
(...) Mais tu es un sale petit con et j'aimerais t'aider à comprendre pourquoi tu es comme ça.
Il respira un grand coup, tremblant, désemparé.
- Va te faire enculer, mon pote, dit-il d'une voix qui annonçait les larmes.
- C'est déjà fait. Je me suis fait enculer en acceptant de te rencontrer.
- Je n'ai rien à voir là-dedans, dit-il, contrôlant sa voix avec difficulté.
- C'est là que tu te trompes, Bernard, dis-je, prêt à porter le coup de grâce mais la mort dans l'âme tandis que ma voix se faisait plus froide et plus cinglante. J'ai rarement vu de gosse aussi mal dans sa peau de toute mon existence. Et je sais déjà une chose, à ton sujet, alors que je ne te connais que depuis cinq minutes. C'est que tu n'as aucun ami dans ce foutu monde. On doit se sentir seul pendant l'hiver, là-bas, à Phillips Exeter, non, Bernard ? Est-ce qu'ils te cherchent ? Je sais que tu es rejeté, mais est-ce qu'en plus tu leur sers de tête de Turc, Bernard ? Est-ce que ta vie là-bas ressemble à un cauchemar ? Est-ce qu'ils te molestent, Bernard ? Vois-tu, je connais bien les garçons et je sais comment ils traitent les inadaptés. Comment s'appelle ton copain, Bernard ? Dis-moi son nom.
Il se mit à pleurer, tenta de ravaler ses larmes, mais elles jaillirent de ses yeux comme le flot trop puissant par-dessus la digue.

Auteur: Conroy Pat

Info: Le Prince des Marées

[ violence ] [ éducation ] [ attaque ]

 

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différence sexuelle

Avec le développement autocratique de la science absolue, la question féministe ne se posa même plus. La vie se prolongea indéfiniment par le remplacement progressif des différentes parties du corps. Les hommes ne mouraient plus, un peu comme autrefois du reste, que s’ils le voulaient bien, et les maladies étaient désormais inconnues.

On avait développé, en effet, d’une façon particulière, ce sens très ancien que l’on appelait jadis l’instinct chez les animaux, l’instinct de la conservation physique chez l’homme et qui n’est autre chose qu’une vue intérieure que nous avons des différents phénomènes qui se passent dans notre corps, une prescience certaine des dangers que peuvent lui faire courir tels ou tels germes étrangers.

Lorsque cette vue intérieure fut développée au plus haut point, comme il convenait, les maladies les plus graves furent arrêtées dès leur début. Pour la première fois, lorsqu’il n’y eut plus de médecins, la médecine fut autre chose que du charlatanisme et l’on n’eut plus recours aux vagues indications d’un empirisme inconscient, comme on l’avait fait jadis.

Tout naturellement la question de reproduction de l’espèce devint également sans intérêt. Les femmes ne se distinguant plus des hommes par leurs travaux et leurs occupations, elles ne s’en distinguèrent même plus bientôt par le costume. Elles furent les androgynes primitifs décrits par les religions antiques.

C’est assez dire que l’idée même de la maternité leur devint absolument étrangère.

Au surplus, grâce à des mesures énergiques prises dès le moment de la naissance par les savants du Grand Laboratoire Central, tout ce qui faisait jadis la préoccupation principale et la joie de l’humanité, devint une chose définitivement inconnue et profondément méprisée par des êtres scientifiques qui ne pouvaient connaître par eux-mêmes ce dont on leur parlait et qui considéraient l’amour comme un souvenir historique, comme une déchéance animale intéressant uniquement l’histoire naturelle et ne relevant que des simples recherches anatomiques.

Auteur: Pawlowski Gaston de

Info: Voyage au pays de la quatrième dimension, Flatland éditeur, 2023, page 228-230

[ discours scientifique ] [ indifférenciation ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

barbarie

Il avance vers moi. C'est mon beau frère Hussein en tenue de travail, un vieux pantalon et un tee-shirt. Il arrive devant moi, il me dit : " Salut, ça va ? ", avec le sourire. Il a dans la bouche une herbe qu'il mâchonne en souriant toujours : " Je vais m'occuper de toi. " Ce sourire... Il dit qu'il va s'occuper de moi, je ne m'y attendais pas. Je souris un peu moi aussi, pour le remercier, n'osant pas dire un mot. " T'as un gros ventre, hein ? " Je baisse la tête, j'ai honte de le regarder. Je baisse encore plus la tête, mon front touche mes genoux. " Tu as une tâche, là. Tu as mis le henné exprès ?
- Non, j'ai mis le henné sur mes cheveux, j'ai pas fait exprès.
- Tu as fait exprès pour le cacher. "
Je regarde le linge que j'étais en train de rincer entre mes mains qui tremblent. C'est la dernière image fixe et lucide. Ce linge et mes deux mains qui tremblent. Les derniers mots que j'ai entendu de lui, c'est : " Tu as fait exprès, pour le cacher. "
Il ne disait plus rien, je gardais la tête baissée de honte, un peu soulagée qu'il ne me pose pas d'autres questions. Tout à coup, j'ai senti un liquide froid couler sur ma tête. Et aussitôt le feu était sur moi. J'ai compris le feu, et le film s'accélère, tout va très vite dans les images. Je commence à courir pieds nus dans le jardin, je tape mes mains sur mes cheveux, je crie, et je sens ma robe qui flotte derrière moi. Est-ce que le feu était aussi sur ma robe ? Je sens cet odeur de pétrole, et je cours, le bas de ma robe m'empêche de faire des grands pas. La terreur me guide, instinctivement, loin de la cour. Je cours vers le jardin puisqu'il n'y a pas d'autre issue. Mais je me souviens de presque rien ensuite. Je sais que je cours avec le feu et je hurle.

Auteur: Souad

Info: Brûlée vive

[ femmes-hommes ] [ Islam ]

 

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couple

Hedwige se blottit contre lui par honte d'être regardée de loin, afin qu'il ne remarque pas, de face, sa taille qui disparaît ou, de profil, son ventre convexe. Mais en la serrant contre lui, il devine ce que son regard n'aurait pas aperçu, il ferme les yeux et dit : 

- Cela commence à se voir, et sérieusement.

- Tant pis, répond Hedwige, prise par la fierté d'être belle et l'orgueil d'être mère.

- Tant mieux.

Hedwige clôt ses paupières, heureuse de sentir ses deux enfants l'un contre l'autre, car Pierre qui lui apparaissait si fort, si Zeus, si foudroyant dans les premiers temps, la vie commune en a fait son enfant.  "C'est un drôle de garçon" dit-elle avec attendrissement, presque avec compassion, le côté incompréhensible de leur compagnon, pour leur mystérieuse manie, car ils en ont tous une, que ce soit le jardinage, le devoir civique, la guérison des maladies, la guerre ou toute autre mission qu'ils croient avoir reçue ; comme ces vieux colonels en retraite qui, pour se donner l'illusion de l'activité, se portent à leur adresse des ordres de mobilisation imaginaires. Chaque mâle se construit ainsi une étrange architecture dont il fait hommage à un dieu, à un demi-dieu, à une folie. Tout autel, si bizarre soit-il, leur est bon pour se mettre l'âme en mouvement et se donner une raison de vivre. Hedwige ne cherchait pas à pénétrer les mobiles de Pierre ; c'était un homme : cette explication suffisait. Le rythme ardent de son mari, cette invariable manie de varier, ce besoin de prendre non une vue des choses mais une même chose sous tous les aspects en sautillant d'un point cardinal à un autre, comme nos paysagistes contemporains qui suivent le soleil en auto avec leurs toiles, cette avidité de tout regarder et de ne rien contempler, de tout faire et de ne rien parfaire, de courir d'occasion en circonstances et de conjoncture en occurrence, tout cela était fatigant, certes et inutile, mais c'était le revers de la médaille d'un époux à tout prendre gentil, tendre, exquis parfois, quoique dénué d'empire sur soi-même.

Auteur: Morand Paul

Info: l'homme pressé (1941, 350 p., Gallimard, p.218, 219)

[ famille ] [ délicatesse ] [ maternité ] [ spécificité masculine ] [ beauté ]

 

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chronos

Je crois que le temps est immobile et que je me meus en lui parfois lentement, parfois à une vitesse foudroyante.

Depuis que Lynx est mort, je ressens cela très nettement. Je suis assise à ma table et le temps s'arrête. Je ne puis le voir ni le sentir ni l'entendre, pourtant il m'entoure de tous côtés. Son immobilité et son silence sont effrayants. Je me dresse d'un bond, je sors de la maison en courant et cherche à lui échapper. Je m'occupe, les choses prennent le devant et j'oublie le temps. Et puis brusquement, il est à nouveau autour de moi. Je suis devant la maison en train de regarder les corneilles, et le voilà encore, immatériel et immobile, nous maintenant fermement ensemble, prés,  corneilles et moi. Je serai obligée de m'habituer à lui, à son indifférence, à son omniprésence. Il s'étend à l'infini comme une toile d'araignée géante. Des milliards de petits cocons sont pris dans ses fils, un lézard couché au soleil, une maison en flammes, un soldat mourant, tout ce qui est mort et tout ce qui vit. Le temps est grand et il y a toujours place en lui pour de nouveaux cocons. Un filet gris et sans pitié dans lequel chaque seconde de ma vie est accrochée. Peut-être me paraît-il si terrible parce qu'il conserve tout et ne laisse rien vraiment finir. 

Mais si le temps n'existe que dans ma tête, et que je suis le dernier être humain, il se terminera avec ma mort. Cette pensée me réjouit. Je pourrais être en mesure de tuer le temps. Le grand maillage se déchirera et tombera dans l'oubli, avec son triste contenu. Je devrais en être remerciée, mais personne après ma mort ne saura que j'ai tué le temps. En réalité, ces pensées n'ont aucun sens. Les choses arrivent et, comme des millions de personnes avant moi, je leur cherche un sens, car ma vanité ne me permet pas d'admettre que toute la signification d'un événement repose dans l'événement lui-même. Pas un scarabée que je piétine négligemment ne verra dans cet événement, triste pour lui, un lien mystérieux de portée universelle, Il s'est retrouvé sous mon pied au mauvais moment ; le confort dans la lumière, une brève douleur stridente et le néant. Nous sommes les seuls à être condamnés à courir après un sens qui ne peut exister.

Auteur: Haushofer Marlen

Info: The Wall

[ illusion ] [ rationalisme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

sens-de-la-vie

STS : L'esprit est comme un logiciel. Il a été mis à jour à chaque instant de votre vie. Il teste chaque signification faite contre toutes les autres définitions qu'il connaît déjà (biais de confirmation). Chaque nouvelle connexion pousse le sens plus loin dans le conscient profond. L'esprit pousse tout vers la mécanique.  Pendant 3,5 milliards d'années, notre mental a de plus en plus privilégié la mécanique. La plupart de cette programmation est basée sur la survie. La majorité de nos expériences ont consisté à courir. Nous étions de la nourriture. Une grande partie de ce codage a été implémenté dans l'ADN. Attendant les stimulis comme comme des gâchettes pour activer notre système nerveux.  Cette architecture se situe au-dessous de votre pensée consciente. Donc quand l'ombre se présente, c'est une opportunité d'effacer la programmation défectueuse. Mais le travail doit être fait. Aucun succès ici ne peut réparer une blessure interne.  Tel est le chemin.

Rainer Funk : Pas mécanique, c'est un programme transhumaniste... Nous sommes la lumière.

STS :  Oui, au bout du compte, de la lumière pliée et comprimée encore et encore dans la matière... quelle est cette lumière ? La conscience... qu'est-ce que la conscience ? Dans notre monde, nous sommes des arbres qui marchent. Notre fruit est notre sens.

Rainer Funk : STS, c'est conscient, tout ça ? 

Neimar Elma : Ce n'est pas un "logiciel" Grrr

STS :  Chaque culture donne un sens à l'esprit sur le plan de la technologie. D'autres arrivent en ligne (renaissance psychédélique, réalité augmentée par exemple) Oui, la superposition est comme un logiciel. Elle est programmable, et prend la forme de la signification dans laquelle elle est placée. La plupart des gens sont piégés dans une matrice de sens qui est projetée dans leur vie. Est-ce une évaluation complète.... non, c'est évidemment plus profond. Mais ne jetez pas l'expérience du bébé avec l'eau du bain. Si vous suivez le chemin, il vous ramènera chez vous.

Neimar Elma : STS, ce n'est pas un logiciel ! N'essayez même pas de l'étiqueter "comme ça" ! C'est l'existence fondamentale de l'humanité !

STS : Vous avez tout à fait raison.

Dee Busch : Neimar Elma, Il a dit que c'était COMME un logiciel. Et je pourrais argumenter fortement que le cœur est le noyau de l'existence : il y a eu beaucoup de recherches sur la façon dont le cœur contrôle l'esprit. (Non pertinent pour cette discussion, mais il est au "noyau de l'existence").

Auteur: Steven Twohig Sr

Info: Trouvé sur le fil FB de Nassim Haramein, 22 nov 2022

[ gnose ] [ discussion web ] [ désir de conclure ] [ pensée cybernétique ] [ cerveau reptilien ] [ évolution ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

après coup

J'ai manqué les deux dernière semaines parce que j'ai été enlevé par un groupe d'écureuils complètement cinglés qui m'ont kidnappé avant de m'enfermer dans une pièce sombre et froide. Heureusement il y a eu un tremblement de terre et j'ai pu m'échapper et courir vers une cabine téléphonique pour vous appeler. Mais par dommage, pile au même moment, il y eut une éclipse de soleil, et l'obscurité m'a fait me perdre de sorte que je suis tombé dans une grande caisse en bois qui a été mise immédiatement dans un bateau en partance pour les USA. Là-bas j'ai été arrêté comme illégal et mis en prison pour deux jours avant d'être extradé vers la France. J'allais arriver chez moi quand un camion fou m'a renversé, et j'ai eu les 2 jambes abîmées. L'ambulance qui me conduisait à l'hôpital a alors percuté un van et le choc m'a éjecté et propulsé dans la mer. La, heureusement, un groupe de dauphins a pu me sauver la vie et m'a ramené en Angleterre. Mais du coup je n'avais plus mes papiers. J'ai essayé de l'expliquer mais mon anglais est tellement mauvais qu'ils ont compris que je préparai une mission secrète pour déstabiliser leur gouvernement. Donc je me suis à nouveau retrouvé en prison. Heureusement j'y ai trouvé une cuillère en acier qui m'a permis de creuser un trou pour m'échapper. Après quatre jours de planque à Brighton, j'ai réussi à trouver un bateau et à me cacher dedans. Manque de pot, ce bateau a heurté un rocher et a coulé à mi-chemin dans la manche, ainsi ai-je du m'accrocher à un morceau de bois et attendre et me laisser dériver jusqu'au Havre. Deux jours ont passé et finalement j'ai vu la terre. Sur le rivage, j'étais sans connaissance. Je ne savais plus trop ou j'en étais. Un pêcheur m'a porté dans sa petite maison où, avec son épouse, ils m'ont nourri et redonné la santé. Je souffrais aussi d'un peu d'amnésie. Alors, après trois jours, ils m'ont amené à la police qui m'a arrêté - vous n'allez pas me croire - parce que je ressemble à un gangster célèbre. Bref il a fallu les convaincre que je n'étais pas la bonne personne. Ils m'ont laissé partir et j'ai pu rentrer à la maison. Mais, à cause de tous ces malheurs j'avais perdu mes clefs. Alors j'ai dû escalader le mur pour atteindre une fenêtre ouverte et suis tombé, me cassant un bras. Donc, si tout va bien, je serai là la semaine prochaine.

Auteur: Internet

Info:

[ enfumage ] [ provocation ]

 

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femmes-hommes

7 choses que les hommes ne comprennent pas sur l’orgasme féminin.
Et pour lesquelles ils seraient en réalité un peu jaloux… Voici dix énigmes que les hommes tentent de percer sur l’orgasme féminin !
Pour certains hommes, l'orgasme féminin est inexplicable... voire incompréhensible et bardé de secrets. On a listé pour vous toutes les croyances qu'avaient les hommes sur l'orgasme féminin.

Les femmes peuvent jouir plusieurs fois à la suite.
Les hommes, eux, ne parviennent pas à recommencer tout de suite après avoir fait l’amour. Ils ont beau se rendre dans la salle de bain pour appliquer de l’eau sur leur pénis, voire lui faire un discours d’encouragement, rien n'y fait, parce que c'est physiologique, tout simplement ! Les femmes, de leur côté peuvent avoir plusieurs orgasmes à la suite. Et avouons-le : pour ça, ils ont de quoi être jaloux.

Les femmes ont la pêche après avoir eu un orgasme.
Comme si elles avaient bu une boisson énergisante, les femmes peuvent courir un marathon après être montée au septième ciel. La fin de l'orgasme masculin, lui, est plutôt vécu comme une tisane "Nuit calme". Plus question de tergiverser, généralement, l’homme a envie d’une seule chose : se mettre au lit.

L’orgasme féminin est un long voyage.
Si vous demandez à un homme comment il atteint l'orgasme, il vous répondra très souvent qu’il monte, monte, monte... Puis retombe. L’orgasme de la femme ressemble plus aux étapes d’un récit : une introduction, trois climats, un prologue et une intrigue secondaire. Un véritable roman...

Sur le buffet de l'orgasme, les femmes ont le choix.
L'orgasme féminin paraît être un voyage magnifique, sinueux et compliqué. Si le sexe se résumait à un dîner dans un petit restaurant, les hommes ne pourrait commander que du soda. C’est tout. Pas le choix entre du Coca, du Pepsi ou un Dr Pepper. Mais les femmes, elles, pourraient déguster un tas de boissons gazeuses. Ce serait, certes, toujours du soda, mais chaque boisson serait un peu différente.

Les femmes n'ont pas besoin d'être pénétrées pour avoir un orgasme.
Une idée qui, aux yeux des hommes, peut paraître étonnante. Tous les orgasmes masculins impliquent que le pénis pénètre dans quelque chose. Les femmes, elles, peuvent jouir lorsqu’on leur caresse les tétons, le clitoris et bien sûr lors de la pénétration. Mais ce ne doit pas être automatique, car le fait d'explorer d’autres orgasmes permet de mieux découvrir son corps.

L'orgasme des femmes dure plus longtemps.
C’est comme comparer un sprint et un marathon : cela n’a rien à voir. Si les hommes ont juste le temps de dire "ouf" lors de leur orgasme, les femmes, elles, passent un long moment à faire durer le leur. Pour leur plus grand plaisir !

Auteur: Internet

Info: sur marieclaire.fr

[ sexualité ] [ comparaison ]

 

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