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Europe

La domination blanche est si complète que même les Indiens d'Amérique veulent devenir cow-boys. C'est comme si les enfants juifs voulaient jouer aux nazis.

Auteur: Churchill Ward LeRoy

Info:

[ historique ] [ colonialisme ] [ nord-sud ]

 

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ennui

...Bien fait pour sa gueule, c'était un bolosse, un privilégié dans ton genre qui voulait jouer au cow-boys parce qu'il se faisait chier dans sa petite vie de merde...

Auteur: Erlih Charlotte

Info: 20 pieds sous terre

[ motivation ] [ bourgeois ] [ insulte ]

 

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propagande

La pub est inséparable de la dictature des marques. Le terme de "marque" est la traduction du mot américain "brand" venant de "brandon" qui désignait l'outil employé par les cow-boys pour marquer le bétail au fer rouge. Le mot "marque" désignait en français la trace (flétrissure) apposée sur l'épaule d'un condamné.

Auteur: Ariès Paul

Info: Démarque-toi !, Petit manuel anti-pub, p. 45

[ blessure ]

 

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enfants

Il ne faut jamais se moquer des petites filles qui jouent aux cow-boys, détestent la Reine des neiges et déchirent en cachette leurs vêtements roses en rêvant de conduire une voiture de police. "Plus le garçon est manqué, plus la fille est réussie" avait-elle lu un jour sur la couverture d'un magazine.

Auteur: Tackian Nicolas

Info: Toxique

[ genres ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

femmes-hommes

Quand j'étais flic, les femmes qui faisaient ce métier m'impressionnaient énormément. Nous, on jouait aux cow-boys, on roulait des mécaniques en se prenant pour des super-héros mais psychologiquement elles étaient les plus fortes. Elles n'avaient pas besoin de se noyer dans l'alcool, elles étaient très sereines dans leurs vies alors que les hommes étaient ravagés. La plupart étaient lucides et déterminées alors que les hommes partaient en morceaux. D'ailleurs, il n'y a pas, il n'y a jamais eu de femmes ripoux dans la police.

Auteur: Marchal Olivier

Info:

[ femmes-par-hommes ] [ incorruptible ]

 

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faussaire

[à propos des canaux de tchat IRC]
Q: Et qui se cache sous ses pseudos ?
R: Une prodigieuse diversité humaine. Des gens de tous âges. Qui travaillent dans tous les domaines : des scientifiques aux chanteurs, en passant par les écrivains, les cow-boys, les acteurs et les sportifs d'élite... On peut parler à n'importe qui sur Internet !
Q: Vraiment ?
R: Non. On parle presque toujours à des losers de treize ans, affolés par leurs hormones. Mais ils font semblant d'être des écrivains, des cow-boys, des scientifiques, des chanteurs, etc.

Auteur: Barry Dave

Info: Chroniques déjantées d'Internet... et autres cyberdélires

[ anonyme ] [ dissimulation ] [ dialogue-web ]

 

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colonialisme

Depuis l'expédition de Lewis et Clark vers la côté Pacifique au début XX° siècle, les récits décrivant l' "ouverture" des territoires de l'Ouest américain se sont multipliés. [...]
Cette période vit la destruction des cultures indiennes et la naissance de pratiquement tous les grands mythes de l'Ouest américain - des histoires de trappeurs, de négociants en fourrures, de pilotes de bateau à vapeur, de chercheurs d'or, de joueurs professionnels, de bandits armés, de Tuniques Bleues, de cow-boys, de catins, de missionnaires, de prudes institutrices et de pionniers. Les rares voix indiennes qui s'y faisaient entendre étaient la plupart du temps transcrites par une main blanche. L'Indien était la menace sombre hantant ces mythes.

Auteur: Brown Dee

Info: Enterre mon coeur à Wounded Knee, incipit de l'Introduction

[ Usa ]

 

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humour

Ça se passe au Texas du temps des cow-boys à grands chapeaux, à grandes bottes et à pistolets (c'est important). C'est un vendredi après-midi sous un soleil de plomb dans la rue principale d'un petit village lors d'un marché. L'histoire proprement dite :
Deux cow-boys se baladent dans la foule. John dit à Bob : tu vois le gars là-bas je l'aime pas.
Bob : Lequel ??? (y a à peu près 1000 personnes, bon j'exagère... disons 117)
John : ben celui avec un grand chapeau
Bob : ben tout le monde a des chapeaux !!
John : Mouais.. bon celui avec des grandes bottes
Bob : ben tout le monde a des grandes bottes
John : Mouais... bon celui avec 2 pistolets à la ceinture
Bob : mais... tout le monde a 2 pistolets à la ceinture
John : attend...
John sort ses 2 pistolets et tire sur toutes les personnes se trouvant sur la place. C'est un vrai massacre, les paisibles citoyens tombent les uns après les autres. Il n'en reste qu'un.
John : Tu vois le gars qui reste ??
Bob : ben ouais
John : et ben, tu vois ce gars j'l'aime pas !!

Auteur: Internet

Info:

[ absurde ]

 

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menace

Ce soir-là, à l'instant où Sugar estimait avoir assez marché pour la journée, trois hommes à cheval, crasseux et mal rasés, lui apparurent au détour d'un virage, serrant la bride à leurs montures pour s'arrêter à quelques pas de lui. Deux d'entre eux portaient des chapeaux de cow-boys et des salopettes tandis que le troisième était vêtu d'une redingote poussiéreuse et d'un pantalon noir. Un morceau de chemise blanche ensanglantée était noué autour de la cuisse du plus corpulent. Des fusils dépassaient de leurs selles et ils avaient à la ceinture des étuis garnis de revolvers. Aux yeux de Sugar, on aurait dite des êtres malencontreusement échappés du passé et qui cherchaient un moyen d'y retourner. Ce n'aurait pas été la première fois que quelqu'un se serait retrouvé prisonnier d 'une époque qui ne lui convenait pas. Fut un temps où il vivait avec une femme qui travaillait dans une chapellerie et qui avait pris la manie, en rentrant du travail, de s'habiller comme une princesse égyptienne. Pensant que cette habitude était le fruit de l'ennui, il s'en accommoda au début, mais lorsqu'elle se mit à prier les crocodiles et à évoquer la possibilité qu'il l'escorte jusqu'aux enfers, il jugea qu'il était urgent de se faire la malle.

Auteur: Pollock Donald Ray

Info: Une mort qui en vaut la peine

 

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Ajouté à la BD par miguel

responsabilité

Bernet a découvert et continue à découvrir avec des yeux de moins en moins ébahis la violence viciée, la lie d'une ville où sont venus s'échouer tous les inadaptés qu'il n'a jamais vus dans son Comminges natal, parce que, trop visibles, ils déguerpissent tôt des campagnes pour se fondre dans la faune de la ville : les prévenus retors, les délinquants d'à peine douze ans et déjà plus vicelards qu'un maquignon, les macs, les camés... Tous ces gens non recyclables. Bernet doute parfois, sent bien qu'il va y laisser des plumes et que, s'il doit un jour changer d'orientation, détourner la tête pour ne plus voir tout ça, il faut qu'il le fasse tout de suite, avant qu'il ne soit trop tard, avant qu'il ne soit lui-même devenu incapable de faire autre chose que ça, incapable d'avoir d'autres fréquentations que ces gens-là et des flics, fêlés comme il finira par l'être.
Le brigadier-chef Decrest ne relève pas quand il lui parle ainsi. Lorsqu'il lui pose une question, elle répond à côté. Que dire à un bon élément, sain et sympathique comme Bernet : 'Vous avez raison, foutez le camp avant qu'il ne soit trop tard, fuyez, retournez dans vos montagnes et faites facteur ou ouvrez un tabac-presse ?' Que deviendrait la Police nationale si tous ses éléments sensés en désertaient les rangs ? Que deviendrait-elle, elle, en tant que chef, si seuls les cow-boys restaient ?

Auteur: Séverac Benoît

Info: Le Chien arabe, p. 218

[ société ] [ conscience ]

 

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