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interpeler

Si vous criez "Bougre de con!" dans la rue, tout le monde se retourne.

Auteur: Anonyme

Info: Brèves de comptoir

[ crier ]

 

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dernières paroles

Lorsqu'on lui dit: - Criez: Vive la nation!... elle osa répliquer, en pleine révolution, - Fi! L'horreur!

Auteur: Lamballe princesse de

Info: Elle se fit massacrer juste après avoir séjourné en prison. Sa tête fut portée au bout d'une pique, ses longs cheveux blonds, encore bouclés, flottant au vent

[ . ]

 

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curiosité

Si vous criez pendant 8 ans, 7 mois et 6 jours, vous produirez assez d'énergie de son pour chauffer une tasse de café.

Auteur: Internet

Info:

[ étonnant ]

 

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provocation

Le risque d'être frappé par la foudre augmente si, debout sous un arbre, le poing levé vers le ciel, vous criez: "J'emmerde l'orage!"

Auteur: Brashares Ann

Info: Quatre filles et un jean, Tome 1 : Le premier été

[ superstition ]

 

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dernières paroles

Ne criez pas! j'ai promis pour vous... Adieu, Adieu, au revoir.... puis, posant sa tête sur le billot: - Entre tes mains Seigneur, je remets mon esprit.

Auteur: Stuart Mary

Info:

[ exécution ]

 

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avertissement

Vous êtes sur le point de commencer la lecture du nouveau roman d'Italo Calvino, Si par une nuit d'hiver un voyageur. Détendez-vous. Concentrez-vous. Chassez toute autre pensée. Laissez le monde qui vous entoure s'effacer. Le mieux est de fermer la porte ; la télévision est toujours allumée dans la pièce voisine. Dites tout de suite aux autres : "Non, je ne veux pas regarder la télé !" Elevez la voix - ils ne vous entendront pas autrement - "Je lis ! Je ne veux pas être dérangé !" Peut-être qu'ils ne vous ont pas entendu, avec tout ce vacarme ; parlez plus fort, criez : "Je commence à lire le nouveau roman d'Italo Calvino !" Ou si vous préférez, ne dites rien : espérez simplement qu'ils vous laissent tranquille.

Auteur: Calvino Italo

Info: Si par une nuit d'hiver un voyageur

[ préambule ] [ conseil de lecture ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

self-défense

La bombe lacrymo est déconseillée, même si tu la tiens à la main, il est facile pour un gars costaud et rapide que de te tordre le bras, te l'arracher et la retourner contre toi ? Munissez-vous plutôt d'un sifflet à roulettes, comme celui de la police par exemple, porté autour du cou, sans hésiter à souffler dedans en cas d'attaque ;-). Il existe aussi des petites alarmes portatives. Si vous êtes attaqué ne criez pas "au secours !" mais "au feu !" (les quidams inquiets ouvriront leur fenêtre pour voir si c'est chez eux que ça se passe...). Évidemment pas de talons hauts, des baskets, et pas d'attitude de peur, avoir l'air sur de soi, tranquille (très très important). Eviter d'avoir des choses de valeur, et toujours avoir un peu d'argent sur soi, au cas où...

Auteur: Internet

Info:

[ femmes ] [ autodéfense ] [ conseil ] [ astuces ]

 

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déclaration d'amour

O mon jardin d’eau fraîche et d’ombre
Ma danse d’être mon cœur sombre
Mon ciel des étoiles sans nombre
Ma barque au loin douce à ramer
Heureux celui qui devient sourd
Au chant s’il n’est de son amour
Aveugle au jour d’après son jour
Ses yeux sur toi seule fermés
Heureux celui qui meurt d’aimer
Heureux celui qui meurt d’aimer

D’aimer si fort ses lèvres closes
Qu’il n’ait besoin de nulle chose
Hormis le souvenir des roses
A jamais de toi parfumées
Celui qui meurt même à douleur
A qui sans toi le monde est leurre
Et n’en retient que tes couleurs
Il lui suffit qu’il t’ait nommée

Heureux celui qui meurt d’aimer
Heureux celui qui meurt d’aimer

Mon enfant dit-il ma chère âme
Le temps de te connaître ô femme
L’éternité n’est qu’une pâme
Au feu dont je suis consumé
Il a dit ô femme et qu’il taise
Le nom qui ressemble à la braise
A la bouche rouge à la fraise
A jamais dans ses dents formée

Heureux celui qui meurt d’aimer
Heureux celui qui meurt d’aimer

Il a dit ô femme et s’achève
Ainsi la vie, ainsi le rêve
Et soit sur la place de grève
Ou dans le lit accoutumé
Jeunes amants vous dont c’est l’âge
Entre la ronde et le voyage
Fou s’épargnant qui se croit sage
Criez à qui vous veut blâmer

Heureux celui qui meurt d’aimer
Heureux celui qui meurt d’aimer

Auteur: Aragon Louis

Info:

[ couple ] [ poème ]

 

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pouvoir

Niki, la compagne du sculpteur (Tinguely), me montra son atelier, avec une foison d'ébauches de ses "Nanas", des femmes plantureuses et colorées en grillage, papier mâché et polyester. Nippée dans une blouse blanche bâchée, avec des petites bottes rouges trouées, elle m'avoua, rieuse :
- Je suis un peu folle. Je suis comme mes œuvres, éphémère ! Ma peinture calme le chaos qui agite mon âme. C'est une façon de domestiquer les dragons qui m'assaillent dans mon travail.
Elle voyait que j'étais un peu perdu, comme une sorte de Huron au Palais-Royal. Elle me parla avec un brin de tendresse mais en vérité :
- Cher monsieur le ministre, vous n'avez guère de chance de vous en tirer...
- De m'en tirer ?
- Oui, car vous n'êtes ni juif, ni homosexuel, ni du milieu.
- De quel milieu ?
- Le milieu des artistes. Ce sont eux les véritables secrétaires d'État du ministre. Ce sont eux qui adoubent. Vous êtes un... provincial... aristo...
- On met quand même à mon actif le Puy du Fou, une œuvre reconnue dans le milieu des spectacles vivants...
Non, c'est la province. Ce qui vous manque, c'est une accointance parisienne de galeriste, une parenté avec un moderne, un Duchamp ou un Dubuffet...
- Je n'en connais pas. À part mon ancien voisin, Gaston Chaissac, qui a dessiné mon faire-part de baptême'.
- Quoi ? Chaissac ? Vraiment ? Mais c'est extraordinaire ! Un vrai fou. Comme nous. Pourquoi ne le criez-vous pas ? Ça changerait tout.

Auteur: Saint Phalle Niki de

Info: In Philippe de Villiers, Le moment est venu de dire ce que j'ai vu

[ parisianisme ] [ prestige mondain ] [ créateurs influents ] [ post-aristocratie ]

 

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Ajouté à la BD par miguel