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lucidité

Qui bien se voit orgueil abaisse.

Auteur: Scève Maurice

Info: Délie, objet de plus haute vertu, 1544

[ humilité ]

 

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alcool

Lorsque le vin entre, le secret sort.

Auteur: Talmud

Info: Eroulin, 65

[ délieur de langue ] [ désinhibant ]

 

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sagesse

Grâce à l’affection, l’homme se délie de la passion.

Auteur: Benjamin Walter

Info: Oeuvres, tome 1

[ enthousiasme raisonnable ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

randonnée

Il s'agit seulement de marcher ensemble et d'échanger des impressions comme si nous étions autour d'une bonne table dans une auberge du bord de route, le soir, quand la fatigue et le vin délient les langues.

Auteur: Le Breton David

Info:

[ délassement ]

 

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alexipharmaque

Sur la tête de l’antilope alerte croît un remède ! Elle a chassé le kshetriya* dans toutes les directions au moyen de la corne.
L’antilope a couru après toi de ses quatre sabots. Ô corne, délie le kshetriya qui est noué dans son cœur.
(La corne) qui étincelle là-bas comme un toit à quatre ailes et avec laquelle nous chasserons tout kshetriya de tes membres.

Auteur: Atharva-Véda

Info: III, 7 * mal héréditaire

[ licorne ] [ guérison métaphorique ] [ antidote ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

erreur

Si ton frère a péché, va et reprends-le entre toi et lui seul. S’il t’écoute, tu as gagné ton frère. Mais, s’il ne t’écoute pas, prends avec toi une ou deux autres personnes, afin que toute l’affaire se règle sur la déclaration de deux ou trois témoins. S’il refuse de les écouter, dis-le à l’Église ; et s’il refuse aussi d’écouter l’Église, qu’il soit pour toi comme un païen et un publicain. Je vous le dis en vérité, tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans le ciel.

Auteur: La Bible

Info: La Sainte Bible, traduction Louis Segond, Évangile de Matthieu, 18, 15-18

[ apprentissage ] [ mécréants ] [ limites ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

mort imminente

Les langues se délient oui. Au cours d'une conférence sur les EMI donnée devant une salle comble par le docteur Sam Parnia, spécialiste des soins intensifs, un homme uldéré se dresse soudain pour l'interrompre. Il est lui-même médecin depuis 40 ans et n'a jamais entendu pareil tissu d'âneries ! Jamais on ne lui fera croire ce genre de fariboles ! D'ailleurs poursuit-il, aucun des nombreux patients qu'il a contribué à ramener à la vie tout au long de sa carrière ne lui à raconté des histoires de vision hors du corps  et de tunnel de lumière.

Un autre homme se lève alors dans l'assistance et lui répond sur un ton posé : "docteur je suis un de vos patients, j'ai vécu ce genre d'expérience et vous êtes bien la dernière personne à qui j'en aurai parlé."

Auteur: Van Cauwelaert Didier

Info: Dictionnaire de l'impossible, p. 326. J'ai lu

[ détracteur ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

déclaration d'amour

Personne, personne ne nous désunit.
Sur la même terre, sous le même ciel sans fin
Ta chair et la mienne ne font qu’un
Dans la vie, dans la mort aussi
Et au-delà, au-delà, beaucoup plus loin.

Personne, non, ne peut nous partager
En deux : tous deux sommes unis,
Sommes un seul et même être, aussi
Longtemps que la lune ira rouler
Son visage entre le nord et le midi.

Os du même os, pensée de la même pensée,
De mes mains le sang toujours et encore
Passe en tes mains, tantôt brûlant, tantôt glacé.
En nous deux un seul loup affamé
Dans une cage enfermé
Mord,
De vie affamé.

Qui tenterait de dérober
Tes épaules aux miennes collées ?
Les mêmes blancs pigeons
Volettent au-dessus de la même forêt
Et sous la même hache, d’un coup, tomberont.

Si l’on pouvait de nouveau
Séparer la terre des eaux !
Mes yeux sont sous tes paupières à toi,
Ma poitrine pour toi respire, cueille pour toi,
L’ange de la mort lui-même ne nous déliera.

Ni le pâle, ni l’épouvantable ange de la mort…

Auteur: Stancu Zaharia

Info: Personne, personne..., traduction française d'Aurel George Boeșteanu

[ poème ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

histoire-mythes-et-légendes

Une histoire qui ressemble à celle d'Eden. .. Outa-Napishtim dit à Gilgamesh : il existe une plante comme l'épine, elle pousse au fond des eaux, son épine te piqueras les mains comme fait la rose. Si tes mains arrachent cette plante tu trouveras la vie éternelle.... ... Après avoir entendu ces paroles Gilgamesh ouvre le conduit qui rejoint les eaux profondes. Il attache de lourdes pierres à ses pieds et descend au fond des eaux où il voit la plante. Il prend la plante qui lui pique les mains, il délie les lourdes pierres de ses pieds. Il sort du fond de la mer. Sur le rivage Gilgamesh dit à Our-Shanabi le batelier: "Our-Shanabi, cette plante est une plante merveilleuse. L'homme avec elle peut retrouver la force et la vie, je vais l'emporter avec moi à Ourouk aux remparts. Je la partagerai avec les gens et leur en ferai manger. Son nom sera: le vieillard retrouvant sa jeunesse". Moi-même j'en mangerai à la fin de mes jours pour que ma jeunesse me revienne ... ... Gilgamesh voit un puits d'eau fraîche il descend pour se baigner. Un serpent sent l'odeur de la plante. Il se glisse, dérobe la plante et à l'instant perd sa vieille peau. Gilgamesh s'assoit et pleure...

Auteur: L'épopée de Gilgamesh

Info:

[ Genèse ]

 

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déclaration d'amour

Hé quoi ! Vous êtes étonnée
Qu'au bout de quatre-vingts hivers,
Ma Muse faible et surannée
Puisse encor fredonner des vers ?

Quelquefois un peu de verdure
Rit sous les glaçons de nos champs ;
Elle console la nature,
Mais elle sèche en peu de temps.

Un oiseau peut se faire entendre
Après la saison des beaux jours ;
Mais sa voix n'a plus rien de tendre,
Il ne chante plus ses amours.

Ainsi je touche encor ma lyre
Qui n'obéit plus à mes doigts ;
Ainsi j'essaie encor ma voix
Au moment même qu'elle expire.

"Je veux dans mes derniers adieux,
Disait Tibulle à son amante,
Attacher mes yeux sur tes yeux,
Te presser de ma main mourante."

Mais quand on sent qu'on va passer,
Quand l'âme fuit avec la vie,
A-t-on des yeux pour voir Délie,
Et des mains pour la caresser ?

Dans ce moment chacun oublie
Tout ce qu'il a fait en santé.
Quel mortel s'est jamais flatté
D'un rendez-vous à l'agonie ?

Délie elle-même, à son tour,
S'en va dans la nuit éternelle,
En oubliant qu'elle fut belle,
Et qu'elle a vécu pour l'amour.

Nous naissons, nous vivons, bergère,
Nous mourons sans savoir comment ;
Chacun est parti du néant :
Où va-t-il ?... Dieu le sait, ma chère.

Auteur: Voltaire

Info: A Mme Lullin

[ poème ]

 

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