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justice

Les délinquants font moins de mal qu'un mauvais juge.

Auteur: Quevedo Francisco de

Info: Politica de Dios y Gioberno de Cristo, I, 9

[ expert ]

 

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justification simple pour retard au travail

Serai un peu en retard parce que j'ai vu le nouveau petit ami de ma mère dans une émission ou on recherche des délinquants il faut que je l'avertisse (la police aussi d'ailleurs).

Auteur: Internet

Info:

 

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souffrance

J'ai fait observer ailleurs que le substrat physiologique de l'émotion et de la sensation douloureuse peut être dissocié par des médicaments comme le Valium, qui suppriment l'aspect affectif de la douleur mais laissent intacte la sensation de douleur elle-même. On pourrait dire alors qu'on "ressent" de la douleur, mais qu'on s'en moque.

Auteur: Ciavaldini André

Info: Prise en charge des délinquants sexuels

[ médicament ] [ distanciation ]

 

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vocabulaire

Un apache est un indien du sud des Etats Unis. Un journaliste, en 1902, a utilisé ce nom de tribu indienne pour désigner les jeunes délinquants de Paris et de sa banlieue. Le mot a été repris par tous. Il est longtemps resté en usage jusqu'à ce qu'il soir remplacé. Plus tard, on a dit "blousons noirs" ou "racaille".

Auteur: Jacquet Frédérique

Info: Jeanne de la Zone

[ relatif ] [ racisme ] [ canaille ] [ fripouille ] [ vaurien ]

 

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question

Les statistiques montrent que la nature de la criminalité anglaise revient à ses habitudes les plus anciennes. Dans un pays où tant de gens aspirent au statut et à la richesse, les petites contrariétés peuvent susciter des comportements violents disproportionnés. Nous sommes frustrés parce que nous nous sentons impuissants, invisibles, inaudibles. Nous aspirons à la célébrité, mais elle n'est pas facile à obtenir, alors nous nous contentons de la notoriété. L'envie et l'amertume sont à l'origine d'une nouvelle race de délinquants, remplaçant les anciens motifs que sont la pauvreté et le besoin d'évasion. Mais comment résoudre des crimes qui n'ont plus de motifs traditionnels ?"

Auteur: Fowler Christopher

Info: Ten Second Staircase

[ criminalité ] [ motivation ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

tueur

Car comme le dit l'expert-psychiatre, le Dr Michel Dubec, qui a examiné plusieurs tueurs en série, à l'image d'un Guy Georges, les délinquants sexuels "ne peuvent pas avoir envie de se soigner puisqu'il trouve un équilibre dans une activité sexuelle, quelle qu'elle soit. Ils sont donc satisfaits. Ils ne peuvent avoir conscience d'un mal qu'ils font à autrui mais qui leur fait plaisir. On ne peut pas se considérer malade de quelque chose dont on ne souffre pas. Le problème est donc de mettre ces personnes en situation de frustration. Et ce préalable ne relève pas de la psychiatrie mais de la fonction judiciaire." ... [...]

Auteur: Bourgoin Stéphane

Info: Serial Killers: Enquête mondiale sur les tueurs en série

[ pervers ] [ thérapie ]

 

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éducation

L'exaltation de l'enfant-roi, mode actuelle s'il en est, rend impossible une action véritable sur les jeunes délinquants. Notons que cette croyance postmoderne est absolument sans précédent historique... Le nazisme hitlérien fut, historiquement, la première idéologie à exalter l'adolescence, à donner l'adolescence comme modèle de référence. Les jeunesses hitlériennes "Hitlerjugend" n'admiraient pas les adultes, elles s'auto célébraient. On comprend cette dérive. Le nazisme déteste la culture et magnifie l'instinct ; or l'instinct est adolescent. Les jeunesses hitlériennes apprenaient à détester l'ordre adulte... Le culte de la jeunesse reste au milieu de nous comme un héritage caché du nazisme. Et pas seulement sous la forme un peu ridicule d'un "jeunisme" de pub... La relation maître-élève existait depuis l'antiquité... L'idée que nous aurions plus à apprendre des jeunes qu'à leur enseigner pulvérise la relation éducative de base. Or cette relation est constitutive de la civilisation... L'idéologie de l'"enfant-roi" mine les fondements de la société... Les jeunes de la rue ont besoin d'adultes à imiter. Ils ont besoin de maîtres... Quand ils n'en trouvent pas les adolescents constituent, au mieux, des bandes de loubards (ceux-là au moins ont de la vitalité); au pire, des pseudo-bandes tout aussi infantiles, affaissées et déprimées des "Loft Story".

Auteur: Barreau Jean-Claude

Info: Bandes à part

[ enfant-roi ]

 

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hors-la-loi

A nos yeux, il est désormais hors de doute que les criminels, auxquels s’adresse la législation pénale, sont rongés par un sentiment de culpabilité inconscient fort puissant. Celui-ci n’est donc pas la conséquence du crime, mais bien au contraire son mobile. Ce n’est que lorsqu’il atteint un paroxysme que l’homme se livre à des actes criminels. Le crime est ressenti comme un soulagement affectif car il permet de rattacher le sentiment de culpabilité inconscient à quelque chose de réel et de concret. Il sert à trouver un accommodement avec le sentiment de culpabilité devenu insupportable. En d’autres termes, il fournit une gratification substitutive aux motions proscrites et il justifie et soulage à la fois le sentiment de culpabilité inconscient. Cette tension interne trouve pour ainsi dire en lui un piton où s’accrocher.

Les conclusions des recherches de Freud jettent les bases d’une interprétation psychologique nouvelle du châtiment, d’une théorie psychanalytique du droit criminel. Le châtiment sert à satisfaire le besoin de punition inconscient qui a poussé l’individu à commettre un acte interdit. Nous savons que ce sentiment de culpabilité préexistant plonge ses racines dans le complexe d’Œdipe. Compte tenu de la double fonction du châtiment, nous pouvons ajouter que celui-ci satisfait aussi le besoin de punition collectif par le biais d’une identification inconsciente de la société avec le criminel.

Auteur: Reik Theodor

Info: Dans "Le besoin d'avouer", traduit de l'américain par Sylvie Laroche et Massimo Giacometti, Payot, Paris, 1973, page 254

[ délinquants ] [ psychanalyse ] [ origine ] [ explication ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

médias

Je viens de visionner avec ma femme un reportage sur les délinquants français, principalement lyonnais, qui viennent en Suisse pour y commettre divers méfaits ; du casse de bijouterie au cambriolages, en passant par le vol de voitures de luxe. On est sur TV5 Monde, un dimanche après-midi bien tranquille. A la fin des quarante minutes de l'émission je constate que nous nous sommes presque fait endoctriner par ce qu'on pourrait appeler un "outil calibré pour nourrir la paranoïa du téléphage avachi". Ou, dit autrement, comment faire voter les gens à droite. Joli tour de passe-passe quand, après réflexion, il paraît très clair que les malfrats présentés devant la caméra, jeunes français de banlieues, peu structurés en quête d'argent facile, donc certainement dangereux lors d'un casse mais guère plus, ne sont un danger que pour 5 % des Suisses, les bien nantis. A aucun moment je n'ai eu le sentiment de pouvoir être leur cible un jour.
Ce qui est rageant c'est de voir combien les helvètes "ouvriers" se sentent menacés par un tel reportage. A une époque et dans un monde où les pires saloperies sont commises par des banquiers feignants qui, de leurs bureaux climatisés sucent les peuples via des intérêts amoraux, on continue tranquillement de manipuler les esprits, en désignant de fausses cibles... En nous faisant penser à autre chose....

Auteur: Mg

Info: 15 mai 2011

[ pouvoir ]

 

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repas

Au frigo, il trouva des pâtes froides avec des tomates, du basilic et des olives noires, qui diffusaient un parfum à réveiller un mort, et un deuxième plat d'anchois à l'oignon et au vinaigre : Montalbano avait l'habitude de se fier entièrement à la fantaisie culinaire et goûteusement populaire d'Adelina, la bonne qui une fois par jour venait s'occuper de lui. De ses deux fils irrémédiablement délinquants, l'un se trouvait en prison grâce au commissaire.
Donc, aujourd'hui encore, Adelina ne l'avait pas déçu ; chaque fois qu'il allait rouvrir le four ou le frigo, il éprouvait de nouveau la même trépidation intérieure que lorsque, enfant, au petit matin du 2 novembre, il cherchait la corbeille d'osier dans laquelle, durant la nuit, les morts avaient déposé leurs cadeaux.
Les seuls qui ne les oubliaient pas, les morts, et en gardaient même le souvenir tenace, c'étaient les mafieux, mais les cadeaux qu'ils expédiaient en souvenir d'eux n'avaient certes rien à voir avec les petits trains ou les fruits en pâte d'amande.
En somme, la surprise constituait le piment indispensable de la cuisine d'Adelina.
Il prit les plats, une bouteille de vin, le pain, alluma le téléviseur, s'assit à table.
Il aimait manger seul, jouir de chaque bouchée en silence ; parmi tous ses points
communs avec Livia, il y avait aussi celui-là, que quand elle mangeait, elle n'ouvrait pas la bouche pour parler.

Auteur: Camilleri Andrea

Info: Chien de faïence, Pocket, 2001

[ recette ] [ cuisine ]

 

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