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écriture

Le Moyen Age s'étend sur mille ans, puisque les historiens le font commencer avec la chute de l'Empire romain d'Occident en 476 et situent sa fin dans la seconde moitié du XVe siècle. S'il est vrai que la littérature française ne voit apparaître ses premiers monuments qu'à la fin du IXe siècle pour ne prendre son véritable essor qu'à la fin du IXe, ce sont tout de même quatre ou cinq siècles qui se trouvent englobés sous la dénomination commune de littérature du Moyen Age.

Auteur: Zink Michel

Info: Introduction a la littérature française du moyen-age

[ évolution ]

 

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spiritualité

Bhairava est la Conscience indifférenciée universelle et sans second dans son rapport avec le cosmos, sa manifestation, sa conservation et sa résorption.
Pour désigner la Réalité, le système Trika ainsi que les Agama plus anciens se servent de trois dénominations du Dieu suprême : Bhairava, Rudra et Siva qui situent clairement les trois niveaux de toute expérience possible. En Bhairava il n'existe pas encore de différenciation entre énergie et détenteur de l'énergie (sakti et Siva) tandis qu'en Rudra cette différence commence à poindre et qu'elle se dessine nettement en Siva.

Auteur: Silburn Lilian

Info: Le Vijnana Bhairava

[ unicité ] [ émergence ] [ triade ] [ hindouisme ]

 

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terminologie

La distinction guénonienne du salut et de la délivrance a son intérêt. Mais comment Guénon peut-il prétendre que chaque fois qu’il est question de salut, il s’agit exclusivement de ce que lui-même envisage sous ce terme ? C’est là un point que nous n’avons jamais compris. Guénon est-il le maître absolu des dénominations ? Le vocabulaire de tous les temps doit-il se soumettre à sa juridiction ? Des mots employés deux mille ans avant lui ne sauraient-ils avoir de sens que celui qu’il lui a plu de leur assigner ? Il n’y a chez lui aucun doute : dès lors qu’on parle de salut, il s’agit du maintien posthume dans l’état individuel.

Auteur: Borella Jean

Info: "Esotérisme guénonien et mystère chrétien", éditions l’Age d’Homme, Lausanne, 1997, page 225

[ critique ] [ définition privée ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

graphisme manuel

L'attention portée à l'exécution graphique est probablement aussi ancienne que l'écriture chinoise elle-même, ainsi qu'en témoignent les premières inscriptions sur bronze, dont la beauté ne saurait être le fruit du hasard. Si l'on en croit la tradition, le grand ministre qui présida à la première normalisation de l'écriture (vers 800 av. J.C.) traça de sa main les caractères chinois. De nos jours encore, ce n'est pas une affaire négligeable : lorsque, en 1966, on décida de changer la dénomination de l'Université de Pékin, c'est le président Mao Zedong qui calligraphia lui-même les caractères de la nouvelle appellation. Le souci de bien écrire est apparu d'abord comme une affaire d'Etat.

Auteur: Alleton Viviane

Info: L'écriture Chinoise. p. 89

[ idéogrammes ] [ fond-forme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

humour

Un cambrioleur s'introduit dans une maison qu'il croit vide. A l'intérieur il entend une voix qui lui dit :

- Tu devrait faire attention, Dieu et Jésus t'observent...

Le cambrioleur se retourne et voit une cage avec un perroquet à l'intérieur.

- Alors comme ça Dieu et Jésus me surveillent ?

- Oui, il te surveillent en ce moment même.

- Et toi comment t'appelles-tu

- Nazareth, répond le volatile.

- Mais quel idiot a pu te donner un nom pareil ?

- C'est le même idiot qui a baptisé le pitbull Dieu et le rottweiler Jésus


Auteur: Internet

Info:

[ athéisme ] [ symbole ] [ dérision ] [ dénominations ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

espérance

C'était là évidemment une de ces idées qu'on traite dédaigneusement de "romantique". Eh bien ! fort éloigné d'avoir honte de ces idées, j'affirme encore aujourd'hui que, ma vie durant, mes conceptions romantiques m'ont plus rapproché de la réalité que les rares idées non romantiques que je n'ai pu accepter qu'en me faisant violence. Quelle sottise que ces dénominations traditionnelles ! Veut-on leur reconnaître malgré tout droit de cité, je l'admets, mais je crois avoir remarqué à tout propos que le soi-disant réaliste occupe dans le monde une position tout aussi inaccessible qu'un retranchement de ciment et de béton, alors que le soi-disant romantique se présente comme un jardin public où la vérité trouve libre accès.

Auteur: Roth Joseph

Info: La crypte des Capucins

[ idéalisme ] [ ouverture ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

ordre martiniste

Eliphas Lévi mourut en 1875, l’année même où fut fondée la Société Théosophique ; en France, il se passa alors quelques années pendant lesquelles il ne fut plus guère question d’occultisme ; c’est vers 1887 que le Dr Gérard Encausse, sous le nom de Papus, reprit cette dénomination, en s’efforçant de grouper autour de lui tous ceux qui avaient des tendances analogues, et c’est surtout à partir du moment où il se sépara de la Société Théosophique, en 1890, qu’il prétendit en quelque sorte monopoliser le titre d’occultisme au profit de son école. Telle est la genèse de l’occultisme français ; on a dit parfois que cet occultisme n’était en somme que du "papusisme", et cela est vrai à plus d’un égard, car une bonne partie de ses théories ne sont effectivement que l’œuvre d’une fantaisie individuelle ; il en est même qui s’expliquent tout simplement par le désir d’opposer, à la fausse "tradition orientale" des théosophistes, une "tradition occidentale" non moins imaginaire.

Auteur: Guénon René

Info: Dans "L'erreur spirite", Editions traditionnelles, 1952, page 62

[ fondateur ] [ historique ] [ postulat ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

sémiotique

...en logique il est nécessaire de prêter une particulière attention aux mots qui désignent des signes. De tels termes sont genres, espèces, etc. Rien n'est genre, mais comme il y a des termes comme homme et arbre qui désignent une chose en la laissant plus ou moins indéterminée on peut donc parler de tout ce qui peut être désigné par une dénomination aussi générale que genre ou de classe. Ces vocables sont appelés "termes de seconde intention". La première intention est l'acte mental par lequel un objet est conçu. La seconde intention est l'acte mental par lequel la première conception devient réceptacle conçu qui fait référence à sa relation à son objet. Un terme de seconde intention ne se réfère pas tant au signe lui-même qu'il signifie quoi que ce soit de désigné par un signe d'une certaine description. Une terme de seconde intention ne signifie pas autant le signe lui-même qu'il signifie quoi qui puisse être dénoté par un signe d'une certaine description.

Auteur: Peirce Charles Sanders

Info: Chap. XI. On Logical Breadth and Depth. MS [R] 384; MS [W] 233. 1873

[ emblème ] [ ontologie linguistique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

bordel

Ce qui voulait dire que s'en était fini des dérives dans les nuits fébriles de Bangkok, de toutes ces fois où je rentrais saoul pendu à ton cou, vacillant titubant parmi les lumières de couleur qui font de tout homme un immortel provisoire, de ces nuits où je commençais à m'habituer aux poses provocantes des voyous protecteurs de bars; aux obscénités con-cul-pissantes des filles de bars à gogo, les filles les moins vêtues au monde, qui se contorsionnent lascives au rythme de la musique et qui, parfois, quand elles ôtent sournoisement leur dernière frusque, lèvent haut la jambe pour frapper du pied un mobile fait de coquillages accroché au plafond bas; à la solitude des filles au coeur brisé, qui vernissent de gaieté feinte leur esseulement d'oiseau loin du nid; aux débits de boissons aux serveuses aux seins nus et aux débits de boissons qui ont un miroir pour plancher et des serveuses en minijupe sans sous-vêtement et aux bordels en tout genre qui pullulent, autant d'endroits où la morale est raide morte, mais c'est dans ces putains d'établissements qu'on voyait une barquette d'offrande aux bonzes dont l'arbuste artificiel était fleuri de billets de banque de dénominations diverses que les papillons de la nuit iraient offrir à quelque monastère, celui de leur village natal probablement. Telle était la beauté triste de la vie. Peut-être avait-elle toutes sortes d'autres beautés cachées, mais toutes tristes.

Auteur: Saneh Sangsuk

Info: L'Ombre blanche : Portrait de l'artiste en jeune vaurien, p. 317

[ littérature ]

 

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anecdote

Un habitant de Mimizan, adepte de la chocolatine, a tranché à sa façon ce débat qui agite la France. Il a été condamné mardi à quatre mois de prison ferme. Ils étaient dans les Landes. Les deux jeunes venaient du Nord. Ils ont dit "pain au chocolat". Le ‘défenseur’ de la chocolatine leur a défoncé la mâchoire, enfoncé le crâne et déplacé les dents, en juillet 2020. C’est l’histoire hallucinante qui a été jugé mardi au tribunal de Mont-de-Marsan . L’homme âgé de 20 ans est autant à cheval sur les mots qu’il a le coup de poing facile. Déjà en détention pour d’autres violences, il a écopé de quatre mois de prison ferme supplémentaires.

"Je suis bête. Je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça. Avec l’effet de groupe, l’alcool et le cannabis, ça m’a entraîné", tente-t-il d’expliquer à la barre du tribunal. S’il ne sait pas, en tout cas, il est prêt à utiliser les motifs les plus futiles pour enchaîner les coups… Quelques heures plus tard, il était jugé pour une autre affaire de violences, également parti d’une question de vocabulaire. Cette fois, ses victimes ont eu le malheur de dire que "ça sentait la beuh" en passant à côté de lui. L’homme n’a pas supporté parce qu’il fumait du "shit" et non pas de "la beuh". Cette fois, il a pris six mois ferme de plus .Il n’y a plus qu’à espérer qu’à sa sortie de prison, il ne vienne jamais en Charente pour savoir si on dit "poche" ou "sac en plastique", "since" ou "serpillière".

Auteur: Internet

Info:

[ intolérance sémantique ] [ dénominations ] [ susceptibilité ] [ mot déclencheur ]

 

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Ajouté à la BD par miguel