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éducation

J'adorais apprendre, c'est école que je détestais. J'avais pour habitude de courber les cours afin d'aller vraiment apprendre quelque chose.

Auteur: Jensen Eric

Info:

[ ennui ] [ pédagogie ]

 

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couple

Margareta était individualiste. Moi aussi. Mais autant je détestais l'individualisme solitaire, autant l'individualisme à deux me semblait plein de charme.

Auteur: Kassak Fred Pierre Humblot

Info: On n'enterre pas le dimanche

[ rencontre ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

famille

<scirDSL> Je détestais aller aux mariages. Tous les grands parents venaient me dire "Tu es le suivant". Ils ont arrêté quand j'ai commencé à faire la même chose aux enterrements.

Auteur: Internet

Info:

[ réparties ] [ dialogue-web ]

 

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indépendance

Je détestais que l'on me perce à jour ou que l'on croit pouvoir me percer à jour. Je détestais être examinée par lui. Malgré son si beau sourire, je ne voulais pas être comprise, je voulais qu'on me laisse tranquille.

Auteur: Colwin Laurie

Info: Accidents, Autrement 2000, p. 140

[ sensibilité ]

 

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haine

Je détestais le sport. Je détestais le sport et je détestais les gens qui en faisaient, et je détestais les gens qui en regardaient et je détestais les gens qui ne détestaient pas ceux qui en faisaient ou qui le regardaient.

Auteur: Green John

Info: Looking for Alaska

[ rage ]

 

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menstrues

Là, je vais rentrer dans le "femellique", mais quand j’ai eu mes règles, je détestais l’idée de mettre des serviettes hygiéniques. Je veux mettre des tampons, mais je ne sais pas comment faire et ma sœur n’en porte pas. Alors c’est mon père qui m’explique, qui prend la notice. Vous savez, en plus, dans les notices, on vous dit de mettre le pied sur la cuvette, ce qui est complètement absurde. C’est une position un peu cow-boy !

Auteur: Zlotowski Rebecca

Info: Entretien avec Lauren Bastide pour "La Poudre", 01.12.2016

[ mode d'emploi ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

guerre

Tous ces slogans stupides [pour s'engager dans les Marines]... "Vous pouvez servir votre pays et voir le monde. Découvrez de nouvelles cultures." Celui que je détestais le plus figurait sur l'affiche de propagande que j'avais dénichée dans la chambre de [mon fils] Jimmy peu après son départ. "Les Marines font de vous des hommes." Quelle ironie ! Comme si je n'avais été là que pour lui donner la vie, sachant qu'ils feraient de lui un homme. Comme si ceux qui ne rejoignaient pas leurs rangs n'étaient pas vraiment des hommes.

Auteur: Relindes Ellis Mary

Info: Wisconsin, p. 148-149

[ propagande ] [ mère ] [ colère ] [ hommes-par-femme ]

 

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susceptibilité

Cette pulsion de mort, je l'avais vue à l'oeuvre un million de fois, déjà. Elle germait dans les orgueils bafoués, déclenchait les bagarres de rue, attisait la colère des émeutiers ; elle rendait fou les maris jaloux, mettait des couteaux dans les mains des cigarières rivales, poussait le souteneur à cogner plus fort que nécessaire, par plaisir ; elle mouvait jusqu'aux marmots querelleurs et cruels, apprentis bourreaux se plaisant à tourmenter le petit, le moche ou l'esseulé. Je détestais leurs rires d'enfants dans ces moments-là. J'y entendais les adultes qu'ils seraient demain : futurs bagarreurs, futurs émeutiers, futurs époux jaloux...

Auteur: Albert Rafaël

Info: Les extraordinaires et fantastiques enquêtes de Sylvo Sylvain, Tome 1, Rue Farfadet

[ haine ] [ déclic ] [ sensibilité ] [ rancune ] [ rage ]

 

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rapports humains

Je ne sais pas pour vous mais, au début de ma vie, il n'y avait que deux sortes de personnes dans mon univers : celle que j'adorais et celles que je détestais. Mes meilleurs amis et mes pires ennemis. Ceux pour qui je suis prête à tout donner et ceux qui peuvent aller crever. Ensuite on grandit. Entre le noir et le blanc, on découvre le gris. On rencontre ceux qui ne sont pas vraiment des amis mais que l'on aime quand même un peu et ceux que l'on prend pour des proches et qui n'arrêtent pas de vous planter des couteaux dans le dos.

Auteur: Legardinier Gilles

Info: Demain j'arrête

[ grandir ] [ perdu ]

 

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frustration

Je détestais travailler. J'étais déprimée du temps que ça me prenait, du peu que je gagnais et de la facilité avec laquelle je le dépensais. Je regardais les femmes plus vieilles que moi, toute une vie à bosser comme ça, pour gagner des SMIC à peine améliorés et à cinquante balais se faire engueuler par le chef de rayon parce qu'on sort trop souvent pisser. Mois après mois, je comprenais dans le détail ce que ça voulait dire, une vie d'honnête travailleuse. Et je ne voyais pas d'échappatoire possible. Il fallait être contente d'avoir un job, déjà à l'époque. Je n'ai jamais été raisonnable, j'avais du mal à être contente.

Auteur: Despentes Virginie

Info: King Kong Théorie

[ insatisfaction ]

 

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