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dormir

Dors, petite fille
Dors tranquille
Ou le croquemitaine viendra
Et te dévorera.

Auteur: Berceuse espagnole traditionnelle

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[ enfance ]

 

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rapports humains

Le fait de pouvoir se cacher les uns des autres nous est donnée de manière compatissante parce que les hommes sont les bêtes sauvages, ils se dévoreraient les uns les autres simplement pour garder cette protection.

Auteur: Henry Ward Beecher

Info:

[ grégaires ]

 

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lecture

Les phrases lues tournent en moi des jours entiers, cherchant une tanière chaude où s'installer pour y faire des petits. Ce livre m'ensemence. Je ne le dévorerai pas, sans rien en garder, comme je l'ai fait de tant d'autres, autrefois.

Auteur: Aude Pseudo

Info: Cet imperceptible mouvement

[ citation s'appliquant à ce logiciel ]

 

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psychosomatique

Aucun homme ne peut dire ce qu'est la joie tant qu'il n'a pas connu la paix. Et, sans joie, il n'y a pas de vie. Nos maladies ce sont nos attachements. Qu'ils soient habitudes, idéologies, idées, possessions, dieux, cultes, religions, tout ce que vous voudrez. Si on s'accroche à la plus petite miette, on nourrît le germe qui nous dévorera.

Auteur: Miller Henry

Info: Le Colosse de Maroussi

[ nocebo ]

 

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éternité

Je m’en irai, je me dissoudrai dans l’amour des étoiles et des mondes et je retrouverai mes mortes parentés avant de revivre avec elles dans le pays impérissable.
Je m’en reviendrai avec ma musette pleine de larmes, de livres et de rêves à mon tour, je dévorerai l’Inconnu dans une ineffable et éternelle étreinte. Je m’en viendrai avec la souvenance des paysages et des peuples. Chanteront les mers, danseront les galaxies, tressailliront les fleuves.
Donner, se donner, nous sommes tous dans la main du grand Amant et les premiers balbutiements de notre adoration sont les premiers moments de notre dignité.
A Dieu je m’abandonne. Les oiseaux de juin descendent dans le verger.

Auteur: Grall Xavier

Info: Dans "L'inconnu me dévore"

[ adieux ]

 
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colonialisme

J'assiste avec tristesse au déclin de notre noble race. Nos pères étaient forts et leur pouvoir s'étendait sur tout le continent américain. Mais nous avons été réduits et brisés par la ruse et la rapacité de la race à peau blanche. Nous sommes maintenant obligés de solliciter, comme une aumône, le droit de vivre sur notre propre terre, de cultiver nos propres terres, de boire nos propres sources. Il y a de nombreux hivers, nos sages ancêtres ont prédit qu'un grand monstre aux yeux blancs viendrait de l'Est, et qu'eu fur et à mesure qu'il avancerait il dévorerait la terre. Ce monstre, c'est la race blanche, et la prédiction est proche de son accomplissement.

Auteur: Chef O'no'sa

Info: sagesse amérindienne

[ usa ]

 

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âge de fer

Le houtouktou de Narabanchi me raconta ceci quand je lui fis une visite à son monastère au commencement de 1921 :

— Quand le Roi du Monde apparut devant les lamas, favorisés de Dieu, dans notre monastère, il y a trente ans, il fit une prophétie relative aux siècles qui devaient suivre. La voici :

"De plus en plus les hommes oublieront leurs âmes et s’occuperont de leurs corps. La plus grande corruption régnera sur la terre. Les hommes deviendront semblables à des animaux féroces, assoiffés du sang de leurs frères. Le Croissant s’effacera et ses adeptes tomberont dans la mendicité et dans la guerre perpétuelle. Ses conquérants seront frappés par le soleil mais ne monteront pas deux fois ; il leur arrivera le plus grand des malheurs, qui s’achèvera en insultes aux yeux des autres peuples. Les couronnes des rois, grands et petits, tomberont : un, deux, trois quatre, cinq, six, sept, huit… Il y aura une guerre terrible entre tous les peuples. Les océans rougiront… la terre et le fond des mers seront couverts d’ossements… des royaumes seront morcelés, des peuples entiers mourront… la faim, la maladie, des crimes inconnus des lois, que jamais encore le monde n’avait vus.

Alors viendront les ennemis de Dieu et de l’Esprit divin qui se trouvent dans l’homme. Ceux qui prennent la main d’un autre périront aussi. Les oubliés, les persécutés, se lèveront et retiendront l’attention du monde entier. Il y aura des brouillards et des tempêtes. Des montagnes dénudées se couvriront de forêts. La terre tremblera… Des millions d’hommes échangeront les chaînes de l’esclavage et les humiliations, pour la faim, la maladie et la mort. Les anciennes routes seront couvertes de foules allant d’un endroit à un autre. Les plus grandes, les plus belles cités périront par le feu… une, deux, trois… Le père se dressera contre le fils, le frère contre le frère, la mère contre la fille. Le vice, le crime, la destruction du corps et de l’âme suivront… Les familles seront dispersées… La fidélité et l’amour disparaîtront… De dix mille hommes, un seul survivra… il sera nu, fou, sans force et ne saura pas se bâtir une maison ni trouver sa nourriture…

Il hurlera comme le loup furieux, dévorera des cadavres, mordra sa propre chair et défiera Dieu au combat… Toute la terre se videra. Dieu s’en détournera. Sur elle se répandra seulement la nuit et la mort. Alors j’enverrai un peuple, maintenant inconnu, qui, d’une main forte, arrachera les mauvaises herbes de la folie et du vice, et conduira ceux qui restent fidèles à l’esprit de l’homme dans la bataille contre le mal. Ils fonderont une nouvelle vie sur la terre purifiée par la mort des nations. Dans la centième année, trois grands royaumes seulement apparaîtront qui vivront heureux pendant soixante et onze ans. Ensuite il y aura dix-huit ans de guerre et de destruction. Alors les peuples d’Agharti sortiront de leurs cavernes souterraines et apparaîtront sur la surface de la terre."

Auteur: Ossendowski Ferdynand

Info: Dans "Bêtes, hommes et dieux", traduit de l’anglais par Robert Renard, éditions Phébus, Paris, 1995, pages 306-307

[ manvantara ] [ cycles temporels ] [ kali yuga ] [ fin du monde ]

 

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