Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 12
Temps de recherche: 0.0412s

sagesse

Les hommes vivent d’espoir, Spock. Et les Vulcains ?

Ils vivent de déductions logiques, docteur. Et ce depuis des millénaires.

Auteur: Weinstein Howard

Info: Le Pacte de la couronne

[ extraterrestres ] [ science-fiction ]

 

Commentaires: 0

psy traumatisme

C’est à peine s’il savait où il allait. L’orgueil, l’espoir, le désir, comme des herbes foulées au fond de son cœur, laissaient monter des vapeurs d’un encens affolant devant son regard intérieur. Il descendit la pente à grandes enjambées parmi l’émanation soudaine et chaotique de ces vapeurs d’orgueil blessé, d’espoir déchu, de désir en déroute. Elles s’écoulaient en montant devant ses yeux angoissés, en fumées denses et affolantes et disparaissaient au-dessus de lui jusqu'à ce qu'en fin l'atmosphère redevînt limpide et froide.

Auteur: Joyce James

Info: Portrait de l'artiste en jeune homme

[ bouleversement intérieur ] [ ego blessé ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

philosophes

Malheur à celui qui, parvenu à un certain moment de l’essentiel, n’a point fait halte ! L’histoire montre que les penseurs qui gravirent jusqu’à la limite l’échelle des questions, qui posèrent le pied sur le dernier échelon, sur celui de l’absurde, n’ont légué à la postérité qu’un exemple de stérilité, tandis que leurs confrères, arrêtés à mi-chemin, ont fécondé le cours de l’esprit ; ils ont servi leurs semblables, ils leur ont transmis quelque idole bien façonnée, quelques superstitions polies, quelques erreurs camouflées en principes, et un système d’espoirs.

Auteur: Cioran Emil Michel

Info: Dans "Précis de décomposition" in Œuvres, éditions Gallimard, 1995, page 652

[ illusionnistes ] [ réconfort ] [ succès ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

pessimisme

Il n’y a pas une once d’espoir là-dedans. C’est le récit le plus sombre et le plus féroce que j’ai jamais écrit. Beaucoup de poules mouillées diront peut-être que c’est bien trop sauvage pour être réaliste, mais à mon sens la nouvelle la plus réaliste de toute ma carrière. C’est le genre de chose que j’aime écrire : pas de véritable scénario, de héros ou d’héroïne, pas de moment culminant dans le récit au sens où on l’entend habituellement ; tous les personnages sont de parfaites canailles et tout le monde trahit tout le monde.

Auteur: Howard Robert E.

Info: Concernant sa nouvelle "Le Seigneur de Samarcande"

[ écriture ]

 
Commentaires: 1
Ajouté à la BD par miguel

absurdité

On a beaucoup critiqué dans le roman de Flaubert [Bouvard et Pécuchet] ces transitions qui font sauter les personnages comme au hasard, d’une science à l’autre et d’une épreuve à l’autre. D’un échec érudit au suivant. On trouve en général ces liens arbitraires, immotivés. Enfin, on n’aime pas, et c’est bien normal, que quelqu’un raconte noir sur blanc l’absence de raisons pour lesquelles on va de ratage en ratage tout naturellement jusqu’au bout de sa vie… S’il n’y a pas de raisons c’est qu’il n’y a pas de solutions non plus pour éviter ces ratages, il n’y a donc pas d’espoir et ça fait mauvais effet. L’une des causes du malaise général envers le dernier livre de Flaubert vient probablement de là. On voit bien qu’il s’agit d’une entreprise inouïe dans la littérature, une énorme exception, mais on ne sait pas trop par où l’aborder.

Auteur: Muray Philippe

Info: Dans "Le 19e siècle à travers les âges", page 486

[ impopulaire ] [ étrangeté ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

voyage

Il faudrait maintenant que je te parle de Rome ; c’est difficile. Cela a été, pour moi aussi, grandiose et l’accomplissement d’un souhait longtemps caressé, tu le sais. Un peu rapetissé, comme le sont ces accomplissements quand on les a attendus trop longtemps, mais quand même un sommet de la vie. Alors que je m’associais complètement à la Rome antique, sans être perturbé (j’aurais pu adorer, à côté du forum de Nerva, le fragment du temple de Minerve dégradé et mutilé), il ne m’a pas été possible de jouir librement de la deuxième Rome, sa tendance m’a perturbé, j’ai été incapable de me détacher en pensée de ma misère et de toutes les autres choses que je connais, je n’ai pas bien supporté le mensonge de la rédemption de l’humanité qui lève la tête en direction du ciel.

Pour moi, la troisième Rome, la Rome italienne, est pleine d’espoirs et sympathique

Auteur: Freud Sigmund

Info: Lettre à Wilhelm Fliess du 19 septembre 1901, trad. Françoise Kahn et François Robert, éditions P.U.F., Paris, 2006

[ impressions ] [ superposition de strates ] [ bilan mitigé ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

félicité capitaliste

[Le bonheur] est devenu la marchandise fétiche d’une industrie mondiale dégageant, grâce à l’offre et à la demande croissantes d’emodities (marchandises émotionnelles), toujours plus de milliards. Ces marchandises n’offrent pas seulement des moments de joie, de tranquillité, d’évasion, d’espoir, de réconfort, etc. Elles contribuent surtout à faire de la poursuite du bonheur un style de vie, une manière d’être et de faire, une mentalité à part entière et, en définitive, un modèle d’individualité qui est en train de faire des citoyens des sociétés néolibérales de véritables "psytoyens".
Le psytoyen (psytizen) est une subjectivité individualiste et consumériste. Les citoyens des sociétés néolibérales qui montrent une telle subjectivité sont fondamentalement des clients pour qui la poursuite du bonheur est devenue une seconde nature, et qui considèrent que leur valeur dépend de leur capacité à s’optimiser en permanence. […] ce modèle d’individualité n’entre pas seulement en totale résonance avec les exigences du marché, qui impliquent "auto-management" émotionnel, authenticité et permanente amélioration de soi – autant d’attitudes dictées par l’économie capitaliste. Il confère aussi à ces axiomes une pleine légitimité en les reformulant et en les reproduisant au moyen d’une phraséologie psychologique et émotionnelle.

Auteur: Illouz Eva

Info: Happycratie, p. 154

[ Programmation Neuro Linguistique ] [ PNL ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

trouble mental

Entre autres, il songea qu’avant ses crises d’épilepsie, il y avait toujours eu un moment (dans le cas où la crise ne le surprenait pas à l’improviste) où son cerveau semblait s’enflammer au sein des ténèbres et de la tristesse, et où toutes ses forces vitales se tendaient soudain avec impétuosité. Pendant ces instants, rapides comme l’éclair, la sensation de la vie et l’auto-conscience semblaient se décupler. L’esprit et le cœur s’éclairaient intensément ; toutes les émotions, tous les doutes, toutes les inquiétudes semblaient soudain s’apaiser pour faire place à un repos sublime, harmonieux, rempli de joie et d’espoir. Mais ces instants, ces éclairs, ne constituaient qu’un préliminaire conduisant à cette seconde finale (jamais plus d’une seconde) qui déclenchait la crise. Cette seconde était, évidemment, insoutenable.

En y pensant par la suite, déjà guéri, il se disait bien souvent : "Tous ces mouvements fulgurants d’auto-connaissance sublime et par conséquent "d’un état sublime", ne sont autre chose qu’une maladie, une déviation de l’état normal. Donc, loin d’être un "état sublime", ils devraient se rattacher plutôt à un "état d’infériorité". Pourtant, il faisait cette déduction paradoxale : "Et même si c’était une maladie, peu importe que cette tension soit anormale, puisque son résultat, cette minute sensationnelle dont on se souvient et qu’on analyse plus tard, est harmonieuse et belle au plus haut point et permet de ressentir, à un degré jamais atteint, la plénitude, l’apaisement, l’équilibre et la communion mystique avec la plus haute synthèse de la vie".

Auteur: Dostoïevski Fédor Mikhaïlovitch

Info: "L'idiot", traduit par Nicolas Poltavtzev Presses de la renaissance, Paris, 1974, page 188

[ description de l'intérieur ] [ totalité ] [ expérience religieuse ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

intolérances

Vincent Nordon fait un post pour dire qu’il ne dira rien de ce qui se passe actuellement à Gaza. Je le comprends parfaitement. Et c’est justement parce qu’on ne peut rien dire, ou plutôt, parce que les choses sont organisées de telle sorte qu’on ne puisse rien dire.

Il y a, de fait, collusion entre la droite israélienne au pouvoir et le Hamas. Les deux ont besoin l’un de l’autre : plus l’armée israélienne détruit et tue (des innocents ou pas des innocents – mais, essentiellement, hélas, des innocents), plus le Hamas est fort. Une seule roquette d’un criminel fanatique du Hamas est rendue plus forte que toutes les opérations militaires israéliennes, à cause, justement, de la disproportion. Et ça va continuer, parce que personne n’a l’intention de dire au gouvernement israélien que ça suffit. L’existence du Hamas dépend de la guerre. Et, ça, pour une raison claire. La seule réponse aux fascistes musulmans est l’ouverture totale des frontières, la destruction de tous les murs, et le début d’une coopération économique. Cela, personne, n’en veut. Parce que ce pourrait être le début de la paix. Avec la paix viendrait la question de la démocratie : c’est-à-dire de savoir si une vie arabe vaut une vie juive, et ce qu’il en serait d’un État juif dans lequel les Arabes pourraient, un jour, avoir une majorité démographique. Parce que le problème est celui-là : si la démocratie est la démocratie de l’État juif, elle ne vaut, objectivement parlant, que pour les Juifs – et donc, qu’on le veuille ou non, qu’on proteste ou non, elle s’apparente à celle de l’apartheid : la démocratie pour les blancs, et pas pour les autres.

Israël ne tient que par la confusion créée par le gouvernement israélien entre Israël et les Juifs. Comme si les Juifs devaient obligatoirement, en tant que Juifs, être solidaires de la politique de l’État créé par des Juifs pour les Juifs. C’est aussi la confusion qu’entretiennent les organisations sionistes ou confessionnelles : critiquer Israël, ou tel ou tel aspect de la politique d’Israël, c’est mettre en cause l’existence même de l’Etat d’Israël, et donc être antisémite. Ce saut, ici, en Bretagne, nous le voyons tous les jours, à l’échelle infime du nationalisme breton : si je critique les nationalistes bretons, je suis anti-breton. Cette accusation est la base même de toute rhétorique nationaliste. Pour Israël, la monstruosité est que, derrière les accusations d’antisémitisme, il y a, réellement, la longue histoire des persécutions anti-juives, et le génocide hitlérien. Le fait d’utiliser la tragédie de l’hitlérisme pour se laver de toute critique dans l’ici-et-maintenant est, au sens strict du terme, désarmant. C’est exactement le but : on ne devrait pas pouvoir critiquer un État qui entretient Yad Vashem, et qui a accueilli à sa naissance un tel nombre de survivants de l’Holocauste. Si on le critique, on paraît, tout de suite, criminel. Et Israël peut donc continuer d’appliquer des punitions collectives pour des faits individuels, c’est-à-dire de faire ce que faisaient les bolcheviks, et, hélas… pas que les bolcheviks.

Mais la monstruosité n’est pas que celle d’Israël, loin, très loin de là. La résurgence de l’antisémitisme à travers le monde, et en France – avec, en parallèle, la montée de l’islamisme intégriste -, voilà ce à quoi nous sommes confrontés maintenant. Entre les fous furieux, assassins en puissance, en keffieh ou non, qui crient "Mort aux Juifs" dans les rues de Paris pendant des manifestations qui prétendent être solidaires de la Palestine, et les crétins israéliens qui regardent tomber les bombes sur Gaza comme on regarde un feu d’artifice, ou cette députée d’extrême-droite qui dit à la Knesset qu’il faut tuer toutes les mères de Gaza, parce qu’elles engendrent des terroristes (et qui le dit sans qu’il y ait de suite judiciaire à ce qu’elle dit) – que dire ? que faire ?

Une fois encore, même si ça ne sert à rien, proclamer le principe fondamental de la laïcité, de la non-appartenance identitaire comme seule base possible de la vie en commun. Rester, sans trop d’espoir, sur les rives de Babylone, en se rappelant la blague juive la plus courte qui existe : "C’est un Juif qui rencontre un autre Arabe…" Et se taire, les poings serrés de rage.

Auteur: Markowicz André

Info: Partages, tome 2, 20 juillet 2014. Sur un silence obligé

[ dogmes ] [ communautarismes religieux ] [ sécularisme ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

désillusion

La neurobiologie de la déception: la douleur qui dure le plus longtemps  

La déception a un impact douloureux sur notre cerveau. Ce fait s'explique par l'activité des neurotransmetteurs, comme le GABA, qui subissent une altération très spécifique que la science peut désormais expliquer.

La neurobiologie de la déception nous montre une fois de plus qu’il y a des aspects de notre vie que le cerveau vit de façon particulièrement douloureuse. Ainsi, pour une raison que nous ne connaissons pas, dans ces expériences où nous perdons des opportunités ou lorsque la confiance avec quelqu’un de significatif est rompue, une sorte de souffrance est générée qui dure plus longtemps.

William Shakespeare a dit que l’attente est la racine de toute détresse, et c’est peut-être vrai. Mais il est également vrai que nous avons souvent besoin de nous accrocher à certaines choses pour trouver la stabilité. Afin de ne pas perdre courage face à toutes les incertitudes de la vie. Ainsi, nous tenons souvent pour acquis que nos plus proches parents, partenaires ou amis ne nous trahiront pas d’une manière ou d’une autre.

Nous entretenons également des attentes à notre égard, en tenant pour acquis que nous n’échouerons pas dans les domaines où nous sommes si bons. Ou encore que ce que nous avons aujourd’hui restera avec nous demain. Cependant, parfois le destin donne un changement de direction et notre château de cartes s’écroule. Ces expériences, définies essentiellement par une perte de sécurité, sont interprétées au niveau du cerveau comme des signaux d’alarme pour notre survie.

La disparition d’une opportunité qui était si excitante pour nous, être licenciés du jour au lendemain, subir une trahison émotionnelle... Voilà des événements plus que douloureux. Ils sont, d’une certaine façon, des coups portés au tissu de ce qui faisait partie de nous de façon significative. Voyons donc ce qui se passe au niveau du cerveau lorsque nous vivons ces expériences.

La neurobiologie de la déception répond à un intérêt récent dans le domaine des neurosciences. Depuis de nombreuses années, les psychologues, les psychiatres et les neurologues se demandent pas seulement pourquoi cette émotion est vécue si intensément. Une chose qui est claire, c’est que les déceptions font aussi partie de notre personnalité.

Ceux qui les ont vécues deviennent souvent plus méfiants. Les déceptions nuisent à la recherche d’espoir et nous rendent parfois plus prudents lorsqu’il s’agit de susciter des attentes impliquant les gens. Quoi qu’il en soit, il faut qu’il se passe quelque chose au niveau du cerveau pour que son impact soit aussi évident. Découvrons ensemble ce que la science nous dit à ce sujet.

Les neurotransmetteurs et la déception. Comme nous le savons, les neurotransmetteurs sont des produits chimiques qui transmettent des signaux aux neurones. Grâce à cette neurochimie, les émotions, les comportements, les pensées, etc. sont facilités. Ainsi, il est utile de rappeler qu’il existe des neurotransmetteurs très spécifiques, comme la dopamine et la sérotonine. Ils mesurent complètement notre état d’esprit.

Or, dans une étude intéressante réalisée par le Dr Roberto Malinow, du département de neurobiologie de l’Université de Californie, à San Diego, les chercheurs ont révélé qu’il existe deux neurotransmetteurs très spécifiques qui régulent complètement l’expérience de la déception. Il s’agit du glutamate et du GABA, qui agissent dans une zone très spécifique de notre cerveau : l’habénula latérale.

L’habénula et la libération de GABA et de glutamate. L’habénula latérale est l’une des plus anciennes structures de notre cerveau. Nous savons donc, par exemple, qu’elle fait partie des processus émotionnels qui facilitent notre prise de décision. Cependant, malgré le fait qu’elle agisse souvent de manière positive, en stimulant la motivation, cette région a aussi son côté sombre.

Son bon fonctionnement dépend essentiellement d’une libération correcte et équilibrée de glutamate et de GABA. Ainsi, plus l’apport de ces neurotransmetteurs dans l’habénula est important, plus le sentiment de déception est grand. En revanche, plus la libération de GABA et de glutamate est faible, moins cette émotion a d’impact sur notre cerveau.

Le Dr Roberto Malinowski, cité ci-dessus, fait une remarque importante sur la neurobiologie de la déception. On a vu que l’impact de la déception maintenue dans le temps conduit dans de nombreux cas à des troubles dépressifs. C’est-à-dire que lorsque la libération de GABA et de glutamate est intense, il y a un plus grand risque de souffrir de ce trouble psychologique.

On sait aussi que cette excitation de l’habénula due à la libération excessive de ces neurotransmetteurs, nous rend plus obsédés par certaines idées, souvenirs ou situations douloureuses vécues. Il nous est très difficile de tourner la page, d’où la stagnation émotionnelle et la souffrance.

Cependant, la découverte de la relation entre le glutamate et le GABA dans la déception et la dépression ouvre également la porte à de nouveaux traitements. Jusqu’à présent, on supposait que grâce aux antidépresseurs et à la régulation de la sérotonine, le rapport GABA-glutamate était également équilibré. Aujourd’hui, cependant, il est devenu évident que malgré l’amélioration, il est courant de ressentir divers effets secondaires.

Le défi actuel est donc de développer des traitements qui agissent spécifiquement sur certains neurotransmetteurs et non sur d’autres. De cette façon, des réponses plus appropriées seraient données aux patients qui, en raison de diverses altérations au niveau neurochimique, vivent plus intensément certaines réalités. La neurobiologie de la déception est donc un domaine de grand intérêt dont nous améliorons progressivement la compréhension. 

Auteur: Internet

Info: https://nospensees.fr, 01 juin, 2020

[ déconvenue ] [ insuccès ] [ désenchantement ] [ désabusement ] [ désappointement déclic ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel