compensation
Dans certains cas, l’hallucination est pathologique parce qu’elle renferme un élément compulsif qui peut être compris de la façon suivante. Quelque chose a été supprimé, "déshalluciné", et secondairement le patient a une hallucination, qui dénie la suppression. C’est complexe parce qu’au tout début, quelque chose a été vu, puis omis, puis une longue série d’hallucinations a alors essayé de remplir le trou produit par la scotomisation.
Auteur:
Winnicott Donald W. Woods
Années: 1896 - 1971
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: pédiatre, psychiatre et psychanalyste
Continent – Pays: Europe - Angleterre
Info:
La crainte de l'effondrement et autres situations cliniques
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refus inconscient
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phantasme
]
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rejet
]
psychanalyse
Dans certains cas, l’hallucination est pathologique parce qu’elle renferme un élément compulsif qui peut être compris de la façon suivante. Quelque chose a été supprimé, "déshalluciné", et secondairement le patient a une hallucination, qui dénie la suppression. C’est complexe parce qu’au tout début, quelque chose a été vu, puis omis, puis une longue série d’hallucinations a alors essayé de remplir le trou produit par la scotomisation*.
Auteur:
Winnicott Donald W. Woods
Années: 1896 - 1971
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: pédiatre, psychiatre et psychanalyste
Continent – Pays: Europe - Angleterre
Info:
La crainte de l'effondrement et autres situations cliniques. *Rejet inconscient hors du champ de conscience d'une réalité pénible pour le sujet ; déni de la réalité.
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angoisse source
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assoupissement
Pour schématiser ces modifications différentes de nature, psychiques, hallucinatoires, sensorielles, circulatoires, vasomotrices, respiratoires, etc., et les localiser dans l’espace et le temps, on pourrait dire que le sommeil commence, dans une première phase, par un état de distraction qui provoquerait des états d’absence, s’accompagnant toujours davantage d’hallucinations hypnagogiques nombreuses et disparates, intimement liées à la longueur des absences ; qu’immédiatement après, dans une seconde phase, ces états de distraction se traduisent par un trouble moteur très délicat, constitué par l’absence de parallélisme dans le regard, ou par la déviation des mouvements conjugués des yeux ; enfin qu’en dernier lieu, ou dans une troisième phase, indice d’un sommeil probable, ou en tout cas très proche, les vaso-moteurs semblent se conformer à des lois différentes de celles qui règlent leur mécanisme pendant la veille.
Auteur:
Vaschide Nicolas
Années: 1874 - 1907
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: pschologue, chercheur
Continent – Pays: Europe - Roumanie
Info:
Recherches expérimentales sur la psycho-physiologie du sommeil, Comptes rendus hebdomadaires des séances de l’Académie des sciences, 136, p. 779-782. (en coll. avec Claude Vurpas)
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narcose
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endormissement
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