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dernières paroles

Otez ce soleil de dessus l'acropole!

Auteur: Renan Ernest

Info: après une agonie de vingt-quatre heures. Variante: Nous mourrons, disparaissons mais la marche du temps se fait pour toujours.

[ . ]

 

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existence

Dieu nous rêve. S'il s'éveille, nous disparaissons à jamais.

Auteur: Van Het Reve Gerard Kornelis

Info:

[ songe ] [ onirique ]

 

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cafard

Par instant, Dieu suspend son assentiment et Pooouuuf ! nous disparaissons. Ça m'arrive souvent... Moments de mort, je les appelle.

Auteur: Carson Anne

Info: Autobiography of Red

[ déprime ] [ enthousiasme inversé ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

ville

C'était presque palpable - là, à l'intérieur du vieillard, de la vendeuse malchanceuse et de la fillette délaissée - cette solitude urbaine partagée par tant de gens, et pourtant toujours distincte, tellement individuelle et tellement commune.

Auteur: Heim Scott

Info: Nous disparaissons

[ isolements ]

 

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illusion

Jamais les Plaisirs ne s'épuisent

Épuisés, c'est nous qui le sommes.

Jamais le Feu n'est brûlé

Brûlés, c'est nous qui le sommes.

Jamais ne disparaît le Temps

C’est nous qui disparaissons.

Jamais ne vieillit le Désir

C’est nous qui vieillissons.


Auteur: Bhartrihari

Info: La voie du détachement (Traduction Alain Porte)

[ destin ] [ passage ] [ divertissement ]

 

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Ajouté à la BD par Plouin

mort

(...) quand un jeune enfant meurt... je ne vous l'apprendrai pas... ce moment-là détermine la suite. Tout ce qu'il y avait avant, ce que nous étions, ce qu'il était, tout ce qu'il aurait pu devenir, et nous avec lui, tout cela disparaît, effacé comme un coup de craie sur un tableau noir. Et nous disparaissons ensemble.

Auteur: Fergus Jim

Info: La Vengeance des mères

[ gamin ] [ deuil ]

 

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sens-de-la-vie

La vérité sur l'univers (ici) est infiniment plus étrange et infiniment plus grandiose : elle réside dans Les Lois de la Physique, qui se sont Connues Elles-mêmes par l'intermédiaires de l'humanité. Notre destinée et notre finalité sont encodées dans la constante de structure fine et dans la valeur de la densité oméga. La race humaine - quelle que soit sa forme - robotisée ou organique, continuera de progresser pendant les dix prochains milliards d'années, jusqu'à ce qu'elle donne naissance à l'hyper intelligence qui sera la cause du Big Bang dont les paramètres satisferont très précisément les conditions nécessaire à notre accession à l'existence. "Si nous ne disparaissons pas dans les quelques prochains millénaires". Auquel cas d'autres créatures intelligentes accompliront cette tâche. L'identité du porteur du flambeau n'a pas d'importance.

Auteur: Egan Greg

Info: Axiomatique, Orbites instables dans la sphère des illusion, pp 484 et 485. Trad Francis Lustman

[ conclure ] [ spéculation ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

secondéités sémantiques

"Je ne sais pas ce que je dis".

Je ne sais pas quoi ?

Je ne sais pas que ce que je dis est un signifiant et comme tel ne s’adresse pas au parlant, mais à un autre signifiant.

Il s’adresse à l’Autre.

Je parle, j’émets des sons, je construis des sens, mais le dit, lui, m’échappe.

Il m’échappe parce qu’il n’est pas du pouvoir du sujet de savoir avec quel autre dit, ce dit va se lier.

"Le signifiant s’adresse à l’Autre" veut dire qu’il va se lier à un autre signifiant, ailleurs, à côté, après...

Donc, je ne sais pas quoi ?

L’effet de ma parole sur vous, sur l’Autre.

Et de ne pas savoir ce que je dis, je dis plus que je ne voudrais.

En un mot, je ne sais pas ce que je dis parce que mon dit va ailleurs :

– à mon insu, il s’adresse à l’Autre,

– et à mon insu aussi, il me vient de l’Autre.

Il vient de l’Autre et il s’adresse à l’Autre, il part de l’Autre.

Il existe encore une raison à ce "Je ne sais pas ce que je dis", c’est que le sujet qui énonce son dit... j’insiste : "le sujet qui énonce..." n’est pas le même lorsque le message, ou dit, peut lui revenir.

Nous ne sommes plus le même parce que dans l’acte de dire, je change.

L’expression "sujet effet du signifiant" veut dire justement que le sujet change avec l’acte de dire (...)

En somme vous avez :

– d’une part le sujet fixé, suspendu à un signifiant, celui de son acte de dire,

– d’autre part les signifiants se succédant l’un derrière l’autre, le sujet, en fait, n’est nulle part.

Je répète, car c’est la conclusion à laquelle je voulais aboutir : le sujet est dans l’acte, son acte d’énoncer le dit, mais étant donné que celui-ci vient de l’Autre et s’adresse à l’Autre, que tout se passe entre des dits, le sujet reste suspendu, perdu, effacé dans l'ensemble ouvert des signifiants enchaînés :

– nous sommes le sujet de l’acte et avec cet acte, cependant nous disparaissons.

– nous sommes le sujet de l’acte et nous ne sommes pas.

Voilà ce qu’on pourrait appeler l’antinomie du sujet.

Auteur: Nasio Juan David

Info: intervention au Séminaire de Lacan du 15 mai 1979

[ éphémères ] [ perdues ]

 
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Ajouté à la BD par miguel