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apparences

Dans la forêt, quand les branches se querellent, les racines s'embrassent.

Auteur: Proverbe africain gabonais

Info:

[ trompeuses ] [ végétaux ]

 

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femmes-par-hommes

Deux femmes qui s'embrassent me feront toujours penser à deux boxeurs qui se serrent la main.

Auteur: Guitry Sacha

Info:

[ compétition ]

 

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poésie

Mélisande : Comme nos ombres sont grandes ce soir !
Pelléas : Elles s'enlacent jusqu'au fond du jardin... Oh ! Qu'elles s'embrassent loin de nous !

Auteur: Maeterlinck Maurice

Info: Pelléas et Mélisande

[ couple ]

 

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french kiss

1920 : Le 'baiser sur la bouche', encore qualifié en France de 'crime' pour 'attentat à la pudeur', devient en quelques décennies un symbole de la passion amoureuse, depuis qu'il est popularisé par le cinéma d'Hollywood. Des peuples comme les Japonais qui, traditionnellement, s'effleuraient le nez par amour, s'embrassent maintenant sur la bouche.

Auteur: Brenot Philippe

Info: Sex story, p. 167

[ rouler une pelle ]

 

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sexe

Elles passent sur la poitrine, pressant contre ses tétons qui durcissent. Des mains d'ombres se dessinent sur ses cuisses, s'insinuent entre ses fesses, empoignent son sexe dressé, pour le caresser plus délicatement encore. Des bouches noires embrassent son ventre avec tendresse, tandis que les langues éthérées s'activent en mille caresses sur son membre en érection.

Auteur: Sire Cédric

Info: L'enfant des cimetières

[ excitation ] [ érotisme ]

 

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conter fleurette

C'est le printemps viens-t'en Pâquette 
Te promener au bois joli 
Les poules dans la cour caquètent 
L'aube au ciel fait de roses plis 
L'amour chemine à ta conquête 
Mars et Vénus sont revenus 
Ils s'embrassent à bouches folles 
Devant des sites ingénus 
Où sous les roses qui feuillolent 
De beaux dieux roses dansent nus 
Viens ma tendresse est la régente 
De la floraison qui paraît 
La nature est belle et touchante 
Pan sifflote dans la forêt 
Les grenouilles humides chantent

Auteur: Apollinaire Guillaume

Info: "Aubade chantée à Laetare l'an passé", dans "La Chanson du mal-aimé"

[ saison des amours ] [ bucolique ] [ mythologie ]

 

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Ajouté à la BD par Benslama

être humain

Que l'homme contemple donc la nature entière dans sa haute et pleine majesté ; qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent. Qu'il regarde cette éclatante lumière, mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers ; que la terre lui paraisse comme un point au prix du vaste tour que cet astre décrit et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'une pointe très délicate à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Car enfin, qu'est ce que l'homme dans la nature ? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout.

Auteur: Pascal Blaise

Info: Pensées

[ central ] [ anthropocentrique ] [ dérisoire ] [ extrémités ]

 
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univers

Que l'homme contemple ... la nature entière dans sa haute et pleine majesté ; qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent. Qu'il regarde cette éclatante lumière, mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers ; que la terre lui paraisse comme un point au prix du vaste tour que cet astre décrit, et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'une pointe très délicate à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre ; elle se lassera plutôt de concevoir, que la nature de fournir. Tout ce monde visible n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée n'en approche. Nous avons beau enfler nos conceptions au-delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C'est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part*.

Auteur: Pascal Blaise

Info: Pensées, la Pléiade, nrf 1954, Première partie, chapitre I, Disproportion de l'homme. p.1105 * Contrairement aux citations qu'on lit parfois, pour Pascal, ce n'est pas Dieu, mais la nature qui est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part

[ absolu ]

 

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dernières paroles

Voici le plus fort de tous les suicides, celui de Thérèse Lortet et de son amant Gian Faldoni. Il vient de s'exécuter à Lyon, au mois de juin.
Un jeune homme très connu, beau, bien fait, aimable, plein de talents, est amoureux d'une jeune fille que les parents ne veulent point lui donner. Jusqu'ici ce n'est que la première scène d'une comédie, mais l'étonnante tragédie va suivre.
L'amant se rompt une veine par un effort. Les chirurgiens lui disent qu'il n'y a point de remède : sa maîtresse lui donne un rendez-vous avec deux pistolets et deux poignards afin que si les pistolets manquent leur coup, les deux poignards servent à leur percer le coeur en même temps.
Ils s'embrassent pour la dernière fois ; les détentes des pistolets étaient attachées à des rubans couleur de rose ; l'amant tient le ruban du pistolet de sa maîtresse ; elle tient le ruban du pistolet de son amant. Tous deux tirent à un signal donné, tous deux tombent au même instant.

Auteur: Voltaire

Info: Dictionnaire Philosophique, Précis de quelques suicides singuliers

 

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poème

Flic-flac,
Ravis des gamins s'éclaboussent
Dans les flaques
En mouillant leurs frimousses amusées
Sous l'ondée.
Les gouttes de pluie
Tambourinent à la fenêtre,
Chassant l'ennui,
Sans y paraître.
La mer clapotte,
Les bateaux dansent
Sur deux notes,
En cadence,
Au bord de l'anse.
Deux amoureux s'enlacent,
Et s'embrassent
Sous la pluie,
Ils ne sont qu'elle et lui,
Autour d'eux tout s'efface,
Ils ne voient plus le temps qui passe.
Au loin, sur le quai, les marins,
Tout de jaune vêtus,
De la pêche à peine revenus,
Se passent de mains en mains
Leur butin,
Puis iront se mettre à l'abri
Dans l'estaminet plein de bruit.
L'eau ruisselle le long des caniveaux,
Elle rattrapera plus loin la rivière,
Emportant par monts et par vaux,
Les débris de la terre,
Rinçant l'asphalte, en toute hâte.
Le ciel tout empanaché de gris
S'assortit à la mer.
Les mouettes poussant leurs cris
Suivent les vagues éphémères
Et accompagnent le ressac.
Flic-flac
Sous l'averse,
Qui toujours se déverse,
Le jour décline
Bientôt tout sera fondu
Confondu,
Entre la bruine
Et l'obscurité de la brune.

Auteur: Internet

Info: Contributrice Morgane

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