Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 15
Temps de recherche: 0.0392s

motivation

La mise en mouvement des corps salariés "au service de" tire son énergie de la fixation du désir-conatus sur l’objet argent dont les structures capitalistes ont établi les employeurs comme seuls pourvoyeurs.

Auteur: Lordon Fredéric

Info: Capitalisme, désir et servitude

[ fric ] [ système consumériste ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

justification simple pour retard au travail

Les employeurs détestent les excuses. Dites simplement alors :
- Je ne viens pas aujourd'hui..
- pourquoi ?
- parce que je n'ai pas envie..... Et raccrochez. Présentez-vous le lendemain comme si rien ne s'était passé.

Auteur: Internet

Info:

 

Commentaires: 0

perdu

Je doute très sérieusement que quiconque veuille m'embaucher. Les employeurs perçoivent en moi la négation de leurs valeurs. Ils me craignent. je les soupçonne d'être capables de se rendre compte que je vis dans un siécle que j'exècre.

Auteur: Toole John Kennedy

Info: La conjuration...

[ inactivité ]

 

Commentaires: 0

question

Les androïdes rêvent-ils ? se demanda Rick. De toute évidence, la réponse est oui, sans quoi il ne leur arriverait pas de tuer leurs employeurs pour s'enfuir ensuite sur la terre. Pour y trouver une vie meilleure, sans servitude.

Auteur: Dick Philip K.

Info: Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? Blade Runner

[ robots ] [ science-fiction ] [ liberté ] [ intelligence artificielle ] [ indépendance ]

 

Commentaires: 0

nurse

Elle savait que beaucoup de gens la trouvaient bizarre, avec son  incapacité à soutenir le regard, sa mine sombre et sa réticence à discuter avec ses employeurs. Mais elle n’avait pas son pareil pour s’occuper des enfants : elle était une nounou attentive et efficace, qui trouvait toujours le moyen de se faire obéir…

Auteur: Yueran Zhang

Info: L'hôtel du cygne

[ bonne d'enfant ] [ instinct maternel ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

atomique

Bien que Mme Nakamure n'en encore sût rien, de sombres jours l'attendaient. D'autant que, à Hiroshima, les premières années de l'après-guerre, surtout pour les pauvres comme elle, furent une époque dominée par le désordre, la faim, l'avidité, le vol et le marché noir. Les employeurs, qui n'étaient pas des hibakusha manifestaient un préjugé à l'encontre des survivants, à mesure que se répandait la rumeur qu'ils étaient sujets à toutes sortes de maladies (...).

Auteur: Hersey John

Info: Hiroshima

[ enfer ]

 

Commentaires: 0

débrouillardise

L'image économique la plus redoutable de la course économique vers le bas est celle d'enfants quittant la maison et l'école pour travailler dans les sweatshops ou ateliers-bagnes du Sud. Cette image n'est pas fausse mais, plutôt, incomplète. Le marché du travail recherche aussi le talent à bon marché. Pour les employeurs de travailleurs surqualifiés, l'attrait est le même dans le Sud que dans le monde plus développé. Ces travailleurs capables excellent à résoudre les problèmes, surtout quand quelque chose se passe mal dans les tâches de routine.

Auteur: Sennett Richard

Info: La culture du nouveau capitalisme

[ nord-sud ] [ capitalisme ] [ adaptation ]

 

Commentaires: 0

banlieues

Pour répondre à une demande croissante, toute une économie souterraine du deal s'est mise en place sur le territoire. Bien que la vente de produits stupéfiants demeure illégale, la loi du marché a abouti à la structuration d'une véritable filière professionnelle. D'après les experts, ce qu'on pourrait appeler " l'interprofession du chichon " emploierait aujourd'hui pas moins de 200 000 personnes, ce qui est considérable et classe ce secteur d'activité parmi les tout premier employeurs français - au même rang que la SNCF (200 000 salariés) mais devant EDF (160 000) ou Intermarché (130 000). L'essentiel de ces emplois clandestins sont localisés dans les quartiers sensibles et les banlieues et, dans ces territoires en difficulté, l'économie du cannabis assure un revenu à dix fois plus de personnes qu'Uber et autres compagnies de VTC (qui aurait créé 20 000 emplois selon une étude du cabinet BCG), qui sont pourtant d'importants pourvoyeurs d'emplois pour les jeunes de ces quartiers.

Auteur: Fourquet Jérôme

Info: L'archipel français

[ économie parallèle ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

éducation néolibérale

Il y a trente ans, les grandes entreprises britanniques, dans toutes les grandes villes, acceptaient les coûts de l'apprentissage et de l'éducation technique comme une sorte d'investissement général dont elles s'acquittaient volontiers ; maintenant c'est "Je ne peux pas et ne veux pas payer", dans les petites comme dans les grandes entreprises […].

Ce recul de la formation est à rapprocher de la possibilité pour les employeurs, surtout depuis 2004, de profiter des efforts fournis dans ce domaine par d'autres pays européens, grâce à la liberté de circulation dans l'UE. […]

Le recul du financement de la formation par les employeurs a aussi une autre raison […] : les entreprises voyant arriver sans rien débourser une population diplômée toujours plus nombreuse, il faudrait que l'enseignement universitaire soit vraiment inepte pour qu'elles voient un intérêt à payer des formations alternatives […]. Même si un diplôme a peu de compétences directement applicables, son haut niveau d'études atteste qu'il va probablement savoir acquérir rapidement les compétences spécifiques à son poste, et aussi qu'il a la discipline requise pour venir au travail régulièrement et à l'heure, quelles que soient les matières qu'il a étudiées.

Auteur: Goodhart David

Info: 6. ÉCONOMIE DU SAVOIR ET DÉMORALISATION ÉCONOMIQUE : Un secteur universitaire hypertrophié.

[ formatage académique ] [ Fourches caudines universitaires ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

gouvernante

Quand je suis devenue domestique au début des années trente, le personnel manquait dans les bons quartiers de Tokyo, et personne ne tutoyait les bonnes. Nos employeurs nous vouvoyaient parce que nous étions précieuses à leurs yeux. C'était la règle dans les bonnes familles. Toutes les maîtresses de maison savaient qu'une bonne de qualité était indispensable à un foyer bien tenu.
Il se trouve que je ne me suis jamais mariée, mais à cette époque-là on se préparait au mariage en travaillant comme bonne. Oui, on devenait domestique pour apprendre à être une épouse accomplie. Je n'irai pas jusqu'à dire que c'était comme l'université pour les jeunes filles d'aujourd'hui, mais ce n'était certainement pas une profession méprisée, même si tout le monde a l'air de penser qu'être bonne, c'était presque être esclave. Bien sur, j'ai connu des moments difficiles en faisant ce métier, mais existe-t-il des professions où l'on ne fait que s'amuser ?
Je n'irais pas non plus jusqu'à affirmer que cette occupation était universellement bien considérée et que tout le monde la respectait. Et si quelqu'un me demandait si le Monsieur de la première famille chez qui j'ai servi ne me regardait pas parfois d'un oeil coquin, je serais bien obligée de reconnaître que cela lui arrivait , mais n'allez pas le répéter. Il s'agissait d'un écrivain célèbre et il est hors de question que son nom sorte de journal. J'emporterai ce secret dans la tombe.

Auteur: Nakajima Kyoko

Info: La maison au toit rouge

[ bonne ] [ employée de maison ] [ Japon ]

 

Commentaires: 0