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nudité

Et on ne peut pas juger les hommes pour ce qu'ils font quand ils enlèvent leur pantalon. Pour leurs vraies saloperies, ils s'habillent.

Auteur: Gary Romain

Info: Les racines du ciel

[ masque ] [ fond-forme ] [ sincérité ]

 

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voleur

Qui vole une trompette, une bague, un cheval
Ou de telles choses inutiles, est presque prudent
Pareils petits larcins : ne sont pas telles actions
Qui nous enlèvent la gloire, notre meilleure possession.

Auteur: Berni Francesco

Info: Orlando Innamorata, canto LV

[ poème ]

 

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isolement

La solitude est là depuis l'enfance. De tous les êtres, les enfants sont les plus seuls. Seuls quand ils attendent leurs parents dans leur lit, seuls quand ils obéissent aux maîtres ou enlèvent leurs coudes de la table, seuls encore quand ils vont à cette leçon de piano en rêvant de courir dans les rues. Je n'ai jamais été aussi seul que lorsque j'étais enfant.

Auteur: Tison Christophe

Info: Te rendre heureuse

[ jeunesse ]

 

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création

La façon dont je fais de l'art - la façon dont beaucoup de gens font de l'art - est comme une extension du langage et de la communication, où les références sont incroyablement importantes. Il s'agit de faire une œuvre qui s'inspire de quelque chose de préexistant mais qui le modifie pour lui donner une nouvelle valeur et un sens qui n'enlèvent rien à l'original - et qui, en fait, pourrait même lui donner une seconde vie ou un nouveau public.

Auteur: Shepard Fairey

Info: Source : www.interviewmagazine.com

[ continuité ] [ beaux-arts ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

écriture

(...) je n'ai aucune objection contre des premières lignes qui suscitent une excitation immédiate, qui frappent le lecteur et qui enlèvent d'assaut son imagination. Une attaque efficace est d'abord et avant tout une attaque inspirée. Et l'inspiration se présente toujours sous son aspect le plus libre et le plus enchanteur quand l'écrivain est au seuil d'une création neuve. Victor Hugo, qui était un créateur irrépressible, a noté dans ses carnets des dizaines d'étincelantes amorces pour des romans qu'il n'écrivit jamais (ni probablement n'eut jamais intention sérieuse d'écrire) : il y jouissait simplement d'un flirt avec l'inspiration — s'abandonnant aux délices des commencement dont il appréciait aussi toute la difficulté : "Le dernier volume est plus facile à écrire que la première ligne."

Auteur: Leys Simon Pierre Ryckmans

Info: Protée et autres essais

[ commencement ] [ entame ] [ incipit ]

 

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science-fiction

L’amas d’Alastor compte des milliers de monde. Jack Vance se propose de nous en faire explorer trois au travers d’autant de romans.
Le premier que nous découvrons, Trullion, abrite le peuple des Trills, à la vie simple. Leurs principaux ennemis sont le peuple aquatique des Merlings, les nomades Trevanys et les pirates de l’espace, surnommés les Etoiliers, qui enlèvent régulièrement quelques notables pour demander des rançons. On note aussi les exactions d’une étrange tribu, le Peuple Laid, et les attentats commis par les fanatiques religieux de la Fanscherade.
La passion des Trills reste la Hussade, un sport assez étrange (compromis entre le football américain et le rugby) où la victoire s’acquiert en dénudant complètement la mascotte virginale de l’équipe adverse. Glinnes va devenir un joueur de Hussade afin de récupérer son domaine familial, vendu par son frère Glay qui a rejoint les rangs de la Fanscherade.

Auteur: Internet

Info: A propos d'Alastor 2262: Trullion de Jack Vance sur http://hellrick.over-blog.com/2018/09/alastor-2262-trullion-de-jack-vance.html

[ space opera ]

 

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cité imaginaire

La ville de Sophronia se compose de deux demi-villes. Dans l'une d'elles se trouvent les grandes montagnes russes avec leurs bosses vertigineuses, le manège avec ses cordes, la roue des cages pivotantes, la fosse de la mort avec ses motards à l'envers, le dôme du cirque et sa grappe de trapèzes suspendue au milieu. L'autre moitié de la ville est faite de pierre, de marbre et de ciment, avec la banque, les usines, les immeubles, l'abattoir, l'école et tout le reste. L'une des demi-villes est fixe, l'autre temporaire et lorsque le temps de son séjour est terminé, on la décroche et on l'emmène, pour la transplanter sur les terrains vagues d'une autre demi-ville.

Ainsi, chaque année vient le jour où les ouvriers enlèvent les frontons de marbre, abattent les murs de pierre, les pylônes de béton, démontent le ministère, le monument, les docks, la raffinerie de pétrole, l'hôpital, les chargent sur des remorques, pour suivre de place en place l'itinéraire habituel. Ici demeure la demi-Sofronia des poulies et des manèges, avec ce regard suspendu au vaisseau spatial du grand huit, la tête en bas, et qui commence à compter combien de mois, combien de jours il faudra attendre avant que la caravane ne revienne et que la vie toute entière ne recommence.

Auteur: Calvino Italo

Info: Villes invisibles

[ moitié foraine ]

 

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traquenard

Des fourmis qui construisent un piège
Les fourmis divisent le travail selon l'âge, utilisant les individus les plus vieux comme constructeurs de piège. Une espèce de fourmis féroces amazoniennes a été observé en train de construire un piège raffiné dans lequel la proie malchanceuse est étirée comme une victime de torture médiévale, avant d'être lentement coupée en morceaux.
Avec adresse et patience, la fourmi ouvrière Allomerus decemarticulatus coupe les poils de la tige de la plante qu'elle habite, et emploie de minuscules fibres pour construire un piège spongieux, rapporte le magazine Nature. Cet exploit technologique ingénieux n’a été observé que chez une autre espèce de fourmi selon les chercheurs français.
Les fourmis enlèvent donc des poils pour dégager un chemin sous la tige de la plante, tout en laissant quelques poils en forme de "piliers" sur lesquels la plate-forme mortelle reposera. Utilisant les poils de la plante qu'ils ont moissonnée, les fourmis construisent alors la plate-forme elle-même, en la liant et la renforçant avec un mycète spécial. Quand elles ont terminé la plateforme elles perforent des trous le long de sa surface, chacun juste assez grand pour pouvoir y passer la tête. Puis des centaines de fourmis ouvrières montent dans la chambre et attendent, cachées à l'intérieur de la plate-forme mâchoire inférieure juste à l'intérieur du trou, a proie à venir" raconte le co-auteur Jerome Orivel de l'université de Toulouse. Qui a les pattes assez minces pour passer dans les trous soigneusement préparés aura un destin malheureux s'il entre dans ce piège. Il n'y a aucune limite à leur ambition - elles essayent de capturer n'importe quel mammouth du monde des insectes. "Elles attraperont presque tout ce qui ira sur ce piège" poursuit le Dr Orivel " et elles le saisiront n'importe comment - par les jambes, antennes, etc."
Une fois la proie bien fixée par les mâchoires qui tiennent ses extrémités, elle est étirée au-dessus de la plate-forme, comme lors d’un antique sacrifice aux dieux. Une masse de fourmis ouvrières vient alors à l'intérieur du piège pour la piquer vigoureusement et causer sa paralysie. Une fois la créature entièrement immobilisée ou morte, les fourmis la portent à leur nid où elles la démembrent pour pouvoir la porter à l'intérieur. " Les petits insectes sont immédiatement démembrés et transporté au nid dit le Dr Orivel. Mais les plus grands peuvent rester sur le piège jusqu'à 12 heures. En résumé elles essayent d'attraper tout animal du monde des insectes - à condition qu'il ait les pattes fines…. Le succès dépendant donc des types d'insectes avec des pattes plus petites que les trous -, les chenilles, par exemple, n'ont aucune chance d’être attaquées."

Auteur: Fortean Times

Info: 29 avril 2005

[ guet-apens ] [ chasse ]

 

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mass medias

"Schizophrénie culturelle" : Les médias américains ne rapportent plus de faits, mais font appel aux émotions

Aux États-Unis, les médias grand public ont évolué au cours des dernières décennies. Une "schizophrénie culturelle" qui déchire les États-Unis.

Sur la base des conclusions d'une étude de la RAND Corporation, les médias grand public sèment activement la discorde dans la société américaine, déclare à RT le journaliste Chris Hedges, lauréat de nombreux prix. Les médias s'efforcent de faire en sorte que deux parties se haïssent l'une l'autre au lieu de rapporter les faits, et la majorité du public n'est pas au courant et se moque que son esprit soit manipulé via ses propres réactions émotionnelles.

L'étude, publiée par RAND cette semaine, indique qu'entre 1987 et 2017, le contenu des nouvelles est passé du reportage événementiel et contextuel à une couverture "plus subjective, reposant davantage sur l'argumentation et le plaidoyer, et comportant davantage d'appels émotionnels". Selon RT, les émissions d'information diffusées aux heures de grande écoute et le journalisme en ligne ouvrent la voie à cette évolution vers une rhétorique émotionnelle et haineuse. Le groupe de réflexion financé par le gouvernement a conclu que la presse écrite l'avait également remarqué.

Cela contribue à ce que RAND a nommé "Décadence de la Vérité". Il s'agit de s'éloigner des faits et de l'analyse dans le discours public.

Hedges affirme que la détérioration des médias grand public est "bien pire" que ne le suggère le rapport RAND. Et il n'est pas le seul dans cette évaluation.

Le journaliste américain Matt Taibbi dit que le résultat de cette décadence journalistique et de cette peur émotionnelle est une addiction publique à la haine mutuelle.

Les Américains sont devenus accros aux nouvelles qui renforcent leurs préjugés, et c'est ainsi qu'elles ont délibérément été mises en place. La seule chose que les gens entendent lorsqu'ils regardent les nouvelles, ce sont des histoires conçues spécialement pour fabriquer de l'indignation, vous faire détester l'autre côté et alimenter la dépendance à la colère.

Les médias grand public ont réussi à accaparer la colère et la haine de l'Américain moyen. L'idée que les médias puissent tirer profit des faits a été perdue depuis longtemps.

"La structure commerciale qui fonda les anciens médias a disparu et a éviscéré le journalisme dans le pays parce qu'il n'est pas durable. Nous l'avons vu avec l'effondrement des petites annonces, qui représentaient 40 p. 100 des revenus des journaux. Ce n'est plus viable sur le plan économique ", a déclaré M. Hedges.

Il devient de plus en plus difficile de distinguer les faits et les opinions, et les gens croient ce qu'ils veulent croire, explique Mr Hedges. "Nous avons passé des années à regarder CNN et MSNBC promouvoir cette théorie de conspiration selon laquelle Trump était un agent du Kremlin, par exemple... C'était de la foutaise, mais ça attirait les téléspectateurs", ajoute Hedges. Et, si cela ne vous dérange pas que votre QI baisse, allumez MSNBC quelques minutes. Il est probable que vous entendrez encore quelques trucs sur le Russiagate que le public reste en colère.

Aujourd'hui, les gens peuvent revendiquer leurs émotions comme des faits sans avoir à considérer ceux qui ne sont pas d'accord avec eux.. Ce qui permet de maintenir les disputes au sein de la population, pendant que les politiciens volent plus d'argent, enlèvent de la liberté et s'en tirent comme ça.

"Tout ça crée une schizophrénie culturelle " dit M. Hedges, faisant remarquer qu'il l'avait observé lors de l'effondrement de la Yougoslavie dans les années 1990. À l'époque, les médias suscitaient des antagonismes et des haines entre groupes ethniques. Des choses similaires se produisent en ce moment aux États-Unis, où "les médias de droite diabolisent Bernie Sanders et Barack Obama en les comparant à Hitler et les médias de gauche qualifient tous les partisans de Trump de racistes et de déplorables" dit Hedges. "Tout cela crée une fragmentation sociétale et des discordes " souligne Hedges à RT.

Auteur: Internet

Info: www.zerohedge.com, 17 mai 2019

[ médias de masse ] [ intoxication ]

 

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