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religion

Quand le fascisme viendra au USA il sera enrobé d'un drapeau et il portera une croix.

Auteur: Lewis Sinclair

Info:

[ nationalisme ] [ pouvoir ]

 

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ressentiment

Un compagnon pétri de haine est plus efficace dans le danger qu'un ami enrobé de confiance!

Auteur: Loisel Régis

Info: La Quête de l'oiseau du temps, tome 2 : Le Temple de l'oubli

[ efficacité ] [ salvatrice ]

 

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orgueil

De même que les os, les muscles et les viscères et les vaisseaux sanguins sont entourés d'une peau qui rend la vue de l'homme supportable, les émotions et les passions de l'âme sont de même enrobées dans la vanité : c'est la peau de l'âme.

Auteur: Yalom Irvin D.

Info: Et Nietzsche a pleuré

[ égoïsme ] [ comparaison ] [ chair-esprit ]

 

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vacherie

Formidable grand manitou de la culture Pop parmi nous, Pacôme Thiellement accomplit l’esprit cool avec sa mystique en bric-à-brac, le grand Réveil au service d’une magie intérieure. Le tout enrobé d’une fibre intello pour en donner l’accent de la spécialité et nous voilà devant un phénomène hybride, caractéristique de la pensée liquide : bienvenue dans la "Révolution gnostique", la baglisisation des esprits !

Auteur: Pichon Jérémy-Marie

Info: http://www.actu-philosophia.com/Pacome-Thiellement-La-victoire-des-sans-roi?

[ inconsistant ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

végétal

Sur le talus poussaient des paquets de fougères, réduites, à cause de la circulation automobile, à l'état de dentelles enrobées de poussière. Ces fougères crasseuses et maladives devenaient dans le regard d'August grasses, conquérantes comme la fougère de la légende pour laquelle, chaque année, à la Saint-Jean, les jeunes hommes retournaient dans la forêt, cherchaient une lueur blanche parmi les arbres, car la fougère ne fleurit qu'une fois l'an et qui la trouve pour l'apporter à sa bien-aimée vivra un amour éternel et sans nuages.

Auteur: Kalda Katrina

Info: Un roman estonien

[ pollution ]

 

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érotisme

Je retourne au panier. Je pose ce que je tiens pour y chercher les deux cock rings en boules de métal enrobés de silicone. Je reviens à Jonathan, empoigne son sexe. Il frémit. Ses mains frôlent mes bras dénudés, hésitent un instant à n’aller ailleurs rien qu’un instant, car elles remontent à ma nuque, m’amenant à son visage pour un baiser assoiffé.
Je le masturbe lentement en m’abandonnant à notre premier échange. Sa verge entre mes doigts, je lui enfile le jouet. Ma tête entre ses paumes, il m’embrasse en geignant.

Auteur: Oly Tl pseudo

Info: Pari à trois

[ lasciveté ] [ volupté ]

 

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maladie

Il y a sans doute des milliers de citations sur le temps qui passe et qu'on ne rattrape plus : les poètes ont écrit des odes éternelles, les philosophes ont édicté des préceptes définitifs, les chanteurs ont enrobés tout cela de mélodies parfois inoubliables ; mais il n'y a rien à dire sur le temps, car le temps n'existe pas. Le temps c'est un élément de calcul inventé par quelques physiciens ; pour nous, tous les autres, il n'y a pas de temps, juste la mort qui approche. Alors, avant la mort, il faut amasser les souvenirs comme des trésors que personne ne pourra nous prendre. .. Mais à maman, ses souvenirs, on les lui prend quand même. Ma mère est spoliée par Alzheimer. Le bâtard.

Auteur: Massarotto Cyril

Info: Le premier oublié

[ mémoire ] [ oubli ]

 

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obèse

Donna Toscana était devenue une femme imposante... Ses chevilles enflées ressemblaient à des goitres. Ses minuscules chaussures semblaient prêtes à éclater sous la pression de ses cent-vingt-cinq kilos. Une douzaine de seins superposés semblaient s'écraser sur sa poitrine. Elle était bâtie comme une pyramide, sans hanches. Ses bras étaient si charnus qu'ils ne tombaient pas à la verticale, mais faisaient un angle avec son corps ; ses doigts enrobés de graisse évoquaient des saucisses. Elle n'avait quasiment pas de cou. Quand elle tournait la tête, les bourrelets de chair se déplaçaient avec la lenteur mélancolique de la cire molle. On voyait son crâne rose à travers ses cheveux blancs clairsemés. Son nez était mince et exquis, mais ses yeux évoquaient deux raisins noirs écrasés. Dès qu'elle parlait, ses fausses dents jacassaient dans l'idiome qui leur était propre.

Auteur: Fante John

Info: Bandini

[ littérature ]

 

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humaines tiercités

(…) le langage n’est pas un instinct, basé sur un savoir transmis génétiquement et codé dans un ‘organe du langage’ localisé dans le seul cortex. Au lieu de cela, il s’agit d’une aptitude acquise, basée sur un système linguistique fonctionnel (Functional Language system, FLS) qui est distribué à travers de nombreuses aires du cerveau humain. Le FLS régule la compréhension et la production du langage oral qui n’a d’équivalenr dans aucune autre espèce vivante. En outre, le FLS est enrobé de systèmes sensori-moteurs qui ont évolué à l’origine pour faire d’autres choses et continuent actuellement à les faire. Bien que les bases neuronales du langage incluent le néocortex, certaines des structures clés du FLS sont des ganglions de la base subcorticale – notre cerveau reptilien. Celui-ci aussi à évolué depuis sa forme reptilienne primitive et peut constituer, de concert avec d’autres structures du cerveau, la clé du langage humain et de la cognition.

Auteur: Lieberman Philip

Info: Human Language and our Reptilian Brain, sous-titré The Subcortical Bases of Speech, Syntax, and Thought, 2000 : 1, trad. Jaques François

[ neurocognition ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

déforestation

L'arbre se changea en main qui chasse des nuages

inutilement tendue vers la lumière au loin ;

sur ses doigts se promenaient de minuscules lézards

qui guettaient entre les feuilles un souvenir obscur.



Des haches l'abattirent, on lui ouvrit la poitrine

à l'aide de crochets, rengaines et paumes baveuses ;

le faîte reposait son oreille sur le sol

enrobé dans sa pluie de grenouilles violacées.



Tombèrent le pin, l'ombu, le mauve eucalyptus,

le peuplier de lait et le saule de douleur.

On les passait la nuit par la scie ou la hache

pour tromper les oiseaux et recenser le bois.



( Les papillons inlassables dans les creux de l'air

de tous côtés cherchaient l'emplacement des feuilles ;

le criquet égaré déambula longtemps

et les oiseaux nichèrent dans l'image disparue ).

Auteur: Supervielle Jules

Info: Cherchez, cherchez, oiseaux... Abattage

[ poème ] [ coupes sylvestres ]

 

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Ajouté à la BD par miguel