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souillure

- Je vais vous confier une chose. L'eau du lac contient deux cents fois plus de matières toxiques que la moyenne nationale, et le centre de contrôle sanitaire de Wuxi lui-même ne nie pas ce chiffre, dit-elle en buvant une gorgée à la bouteille. Bien entendu, il n'y a pas une cause unique. Outre la pollution industrielle, le traitement des eaux usées est aussi en retard par rapport au développement social et économique du delta du Yangzi. Au début des années quatre-vingt-dix, on estimait à cinq cent quarante millions de tonnes annuelles la quantité des eaux usées provenant de l'industrie qui se déversaient dans le lac, et à trois cent vingt millions celle des eaux usées domestiques. Mais aujourd'hui, le total dépasse les cinq milliards trois cent mille. Seulement trente pour cent des eaux usées domestiques sont traitées avant d'atteindre le lac.

Auteur: Xiaolong Qiu

Info: Les courants fourbes du lac Tai

[ environnement ]

 

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écologie

Peu de gens militeront pour une vision alternative des trous noirs ou de l'inversion magnétique, mais nous savons par expérience que pour ce qui concerne les sols, les vaccins, les vers de terre, les ours, les loups, les neurotransmetteurs, les champignons, la circulation de l'eau ou la composition de l'air, la moindre étude sera immédiatement embarquée dans une véritable bataille d'interprétations. La Zone critique n'est pas une salle de classe ; la relation entre les chercheurs et le public est tout sauf purement pédagogique.

Si nous avions encore des doutes sur ce point, la pseudo-controverse sur le climat suffit à les dissiper. Rien ne prouve qu'une grande entreprise ait dépensé un centime pour générer quelque méconnaissance sur la détection du boson de Higgs. Mais nier la mutation climatique est une toute autre affaire : les financements affluent. L'ignorance du public est une denrée si précieuse qu'elle justifie d'immenses investissements.

Auteur: Latour Bruno

Info: Où atterrir ?

[ marchands de doute ] [ environnementalisme ] [ mensonge ] [ propagande consumériste ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

être humains

Le solipsime individuel est une évidence qui tend à nier le réel (bytié). Je meurs, l'univers s'éteint... Alors qu'il se poursuit avec les descendants, la famille, la collectivité, etc.

De fait l'humano-centrisme qui a piloté et conduit encore une grande partie de nos comportement d'hommes "dominants" est un solipsisme racial puisque sa description du réel n'est que la représentation consensuelle des multiples points de vue de ses membres. Miroir des sens discriminants d'une espèce.

Si l'homme disparaît, ce réel là disparaît aussi.

Une humanité solipsiste est-elle un cul de sac ? Il semble que oui. Dès le moment où elle s'est mise à développer une "mémoire sur support externe" (FLP en est un bon exemple) elle s'est renforcée dans sa force grégaire. Anthropocentrisme qui signifia simultanément une forme d'éloignement des autres entités vivantes puisque l'homme, n'ayant plus d’adversaires à sa taille, en vint à se considérer comme supérieur.

Auteur: Mg

Info: 19 sept. 2017

[ environnement ] [ écologie ] [ planète ] [ question ] [ intersubjectivité anthropomorphe ]

 
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greenwashing

Les technocrates internationaux ont joué le plus spectaculaire tour de passe-passe à des populations qui, apparemment, ne demandaient qu’à y croire. Ils ont réduit l’effondrement écologique au seul réchauffement climatique, donc aux émissions de gaz à effet de serre ; et ils ont réduit les gaz à effet de serre au seul carbone. Avantage de la manipulation : la prétendue "solution technologique"f de la décarbonation, ou transition énergétique. D’où les éoliennes industrielles, les centrales photovoltaïques, le nucléaire, l’hydrogène "vert" ou "blanc" - avec une mine annoncée en Bretagne - pour alimenter les appareils et les logements électriques, les véhicules électriques, les usines électriques, les villes électriques et les infrastructures cybernétiques de la smart planet. Au mépris de la destruction de notre milieu naturel, comme si nous allions désormais vivre d’électricité et de réalité virtuelle. Après tout, l’homme-machine n’a besoin que d’une bonne connexion.

Bref, la course panique à l’électrification totale.

A la peine de mort par électrocution.

Auteur: PMO Pièces et main-d'oeuvre

Info: https://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/un_monde_fini.pdf

[ débouchés économiques ] [ environnement ] [ fixation réductrice ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

écologie

Beaucoup de gens demandent : "Pensez-vous que les humains sont des parasites ?" C'est une idée intéressante qui mérite réflexion. On parle volontiers de l'humanité comme d'un virus qui se propage sur la terre. En effet, nous ressemblons à une sorte de biofilm étrange qui se propage dans le paysage. Une bonne métaphore ? Si la biosphère est notre hôte, nous l'utilisons à notre profit. Nous la manipulons. Nous modifions les flux d'éléments tels que le carbone et l'azote à notre avantage, souvent au détriment de la biosphère dans son ensemble. Si on observe la situation actuelle des récifs coralliens ou des forêts tropicales, on s'aperçoit que notre hôte ne se porte pas très bien en ce moment. Les parasites sont très sophistiqués, très évolués et très performants, comme en témoigne leur diversité. Les humains ne sont pas de très bons parasites. Les parasites qui réussissent font un très bon travail d'équilibre, en utilisant leurs hôtes et en les maintenant en vie. Tout est une question d'adaptation à un hôte particulier. Dans notre cas, nous n'avons qu'un seul hôte et devons donc être particulièrement prudents.

Auteur: Zimmer Carl

Info: Discours à l'université de Columbia, "Le pouvoir des parasites".

[ environnementalisme ] [ hommes inconséquents ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

écologie

La nature à l'état sauvage est bien ce qui empêche les services fédéraux chargés de la faune de défendre les grizzlys. Il n'y a rien à gagner dans de telles régions, rien à gérer. Pourtant l'intolérance des hommes en fait de véritables champs de bataille où les grizzlys ne cessent de perdre et de mourir. Ces derniers auraient pu s'adapter à notre présence, mais nous ne leur en avons pas donné la possibilité. Notre culture ne nous permet pas de vivre aux côtés d'une autre espèce intelligente et prédatrice. Les ours ont besoin de la nature sauvage.
Ce serait également une bonne chose pour les humains car, comme le disait Thoreau : "Dans la nature sauvage réside la préservation du monde." Concrètement, cela signifie : défoncer les routes et faire disparaître les parcs de stationnement, détruire les bâtiments et non à tout forme de capitalisme ou de socialisme quelle qu'elle soit. Les grizzlys ont besoin de régions sauvages vastes et libres, sans survols ni aménagements touristiques, sentiers de randonnée, gestion humaine ou "développement" d'aucune sorte. La nature sauvage doit exister pour elle-même, et pour les grizzlys.

Auteur: Peacock Doug

Info: Mes années grizzly

[ être humain ] [ animal ] [ environnement ]

 

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destin

La graine de sapin contient en germe tout l’arbre à venir sous une forme latente. Mais chaque graine tombe à un moment donné dans un lieu donné, où un certain nombre de facteurs particuliers, tels que la qualité du sol, la pente, l’exposition vont intervenir. Et la forme latente du sapin va réagir à toutes ces circonstances, en évitant les pierres, en s’inclinant vers le soleil, ce qui modèle finalement sa croissance. C’est ainsi qu’un sapin individuel vient lentement à exister, réalisant sa totalité, son entrée dans le domaine de la réalité. Sans cet arbre vivant, l’image du sapin n’est qu’une possibilité ou une abstraction. Et c’est la réalisation de cette unicité dans l’individu qui est le but du processus d’individuation. […] Mais, à proprement parler, ce processus d’individuation n’est réel que si l’individu en a conscience et vit en union avec lui. Nous ne savons pas si le sapin a conscience de sa croissance, s’il prend plaisir ou souffre des vicissitudes qui vont la marquer. Mais l’homme, lui, est indéniablement capable de participer consciemment à son propre développement. [...]
Notre attitude doit être celle du sapin dont nous avons parlé ; il ne s’irrite pas parce que sa croissance se heurte à une pierre, il ne spécule pas sur les moyens de surmonter l’obstacle, mais tâtonne pour voir s’il vaut mieux pousser vers la gauche ou vers la droite, dans le sens de la pente ou le sens contraire.

Auteur: Franz Marie-Louise von

Info: Dans "L'homme et ses symboles", pages 161-163

[ empirisme ] [ hasard ] [ environnement ] [ essence ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

écologie

Dans la mesure où la survie future de la société dépend de fait que l'humanité trouve une alternative au mode de production des espèces (déjà sur des bases légales), nous pourrions étendre la métaphore et comparer les contre-attaques intrusives du système quand à ses propres droits animaux à un désordre auto-imune fatal, puisque la société cherche activement à détruire ce qui pourrait la sauver (Quoique sous une forme modifiée). Dans cette guerre contre la vérité, l'individu est recruté comme un "anticorps".
D'où la cohérence frappante avec laquelle les gens des milieux les plus divers répondent à la critique des droits des animaux actuels. Quoique complètement non coordonnées et spontanées, leurs réponses sont néanmoins coordonnées au niveau idéologique, formant une toile transparente de "bon sens". Indépendamment les uns des autres, les individus offrent les mêmes arguments fallacieux pour détourner la force morale de cette critique des droits des animaux. Mis en demeure de repenser la base morale de l'agriculture animale, chaque mangeur de viande a la même demi-douzaine de réponses à disposition pour y répondre, souvent exprimées de manière malicieuse comme des "questions"
- Et le lion qui mange la gazelle? (D'autres animaux mangent des animaux, il est donc naturel et éthique pour nous de les manger.)
- Qu'en est-il des plantes? (Les plantes sont vivantes, après tout. Un changement vers le végétarisme entraînerait plus de morts de végétaux.)
- Et les Américains de souche ? Eux priaient pour les animaux après les avoir tués, et utilisaient toutes les parties de leurs corps. (Ce n'est donc pas mauvais pour nous de tuer des animaux, si nous le faisons "respectueusement" sans gaspiller les autres parties de leur corps.)
- Et si nous mettons fin à l'agriculture animale, d'où viendra la terre pour cultiver toutes les nouvelles cultures dont nous aurons besoin? (Le véganisme conduirait à une apocalypse écologique.)
- Si nous cessions de manger de la viande, que deviendront tous les animaux de ferme? (Nous leur faisons une fleur en les amenant à l'existence, ils nous "doivent" quelque chose).

Auteur: Sanbonmatsu John

Info: The Animal Of Bad Faith, anti-veganism as a societal autoimmune disorder

[ environnement ]

 

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cooptation

Ils sont assis autour d'une table circulaire, une quinzaine d'industriels français, responsables du développement durable dans différentes sociétés. En face d'eux, un chercheur du Collège de France, spécialiste des questions de climat. Nous sommes à l'automne 2010 alors que fait rage la querelle sur l'origine humaine ou non du bouleversement climatique. L'un des industriels pose au professeur une question que je trouve quelque peu désinvolte: "Mais pourquoi faudrait-il vous croire, vous plus que les autres?" Je m'étonne. Pourquoi met-il sur le même pied, comme s'il s'agissait d'une simple bataille d'opinions, les spécialistes du climat et ceux qu'on appelle les climato sceptiques - en dévoyant quelque peu le beau vocable de "sceptique"? Disposerait-il par hasard d'un instrument de mesure supérieur à celui du spécialiste? Comment ce simple apparatchik pourrait-il être en position de balancer les positions des experts selon un calcul par moins? Mais, surtout, comment ose-t-il parler de "croyance" à propos des sciences du climat? Décidément je trouve la question presque choquante, surtout de la part de quelqu'un dont le métier consiste à s'intéresser de près à la question écologique. La controverse a-t-elle tellement dégénéré au point que l'on puisse parler du sort de la planète comme si l'on était sur le plateau d'une joute télévisée en faisant semblant d'égaliser les positions?
Je me demande comment le professeur va répondre : est-ce qu'il va remettre à sa place le fâcheux en lui rappelant qu'il ne s'agit pas de croyance mais de fait? Est-ce qu'il va résumer à nouveau les "données indiscutables" qui ne laissent guère de place au doute? Or, voilà qu'à ma grande surprise, il répond dans un long soupir : "Si l'on n'a pas confiance dans l'institution scientifique, c'est très grave." Et de se mettre à déployer devant son auditoire le grand nombre de chercheurs impliqués dans l'analyse du climat, le système complexe de vérification des données, des articles et des rapports, le principe du jugement par les pairs, l'immense réseau des stations, des bouées dérivantes, des satellites, des ordinateurs qui assurent le flux des informations - puis il se met à expliquer, debout au tableau, les pièges des modèles nécessaires à la rectification des données ainsi que les doutes successifs qu'il a fallu lever sur chacun des points. "Et, dans l'autre camp, ajoute-t-il, qu'est-ce qu'on trouve? Aucun chercheur compétent dans le domaine disposant de l'équipement idoine." Pour répondre à la question posée, le professeur s'est donc servi de la notion d'institution comme du meilleur instrument pour mesurer le poids respectif des positions. Il ne voit pas de cour d'appel plus élevée. Et c'est bien pourquoi il ajoute que "perdre confiance" dans cette ressource serait, pour lui, "très grave".

Auteur: Latour Bruno

Info: Enquêtes sur les modes d'existence

[ sciences ] [ pouvoir ] [ environnement ]

 

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vitupération

ET ces pauvres demeurés humains, singes savants, posés là par "Dieu c'est qui ?"... pour nommer les choses... bla bla... les définir par de petits murs de lettres. Et ça, comment s'appelle hein ? Comment ?... Une TRUELLE... ah bon ?! vachement intéressant. Perso je l'aurai définie comme une petite pelle manuelle plate... Et le chaud, vous savez, cette sensation ?... mais oui, ce qui est chaud, comme le soleil... Vous dites comment ? CA CHAUFFE ? C'est comme ça qu'on le formule ?... Et le froid, ça FROIDE alors?... Non, ça froide pas ? Ah bon, ça brûle... intéressante non logique... Comme tout pouvait tourner en rond... tous ces débiles, abusés par l'ordre, les conventions, tout ce chenit... destinés à l'origine à établir une saine communication entre les être, communication vite métamorphosée en tromperies ressassées, quasi pédagogiques de faits, décors de cartons pates maintenant solidement fixés sur leurs socles de corail... Accumulation perverse, toujours plus solides, installées tous azimuts... médiatiques, politiques... militaires... professionnelles, sociétales... Le faux partout, des masques "sur et sous" les apparences... Et tous menés par leurs petits intérêt, le pognon, Mammon, niark niark, ravi lui... mort de rire le Mammon... Jamais le dernier pour les rassurer, ces crétins... (...) Il voyait défiler ces gamins et il allait devoir leur enseigner un truc... quelque chose... Mais quoi? Aaah, de la musique. Ach so, vont ânonner quoi alors ? Le solfège ? ce truc qui pue la mort des bourgeois séculaires... ou carrément recopier de ces vieilleries classiques qui réconfortent à peine les vieux et les installés, ceux qu'ont plus envie de se faire bousculer, les morts tièdes du convenu agréé par les habitudes... Par la paresse et les convenances qui pensent pour vous. Non créativité véritable, mort, abrutissement, hébétude du surtravail et du stress qui, une fois abandonnés, ne laissent plus place qu'au vide mou, passés au papier de verre du médiatique fédérateur. Monstre repu non pensant, lancinament bourré jusqu'à la gueule par les gouttes incessantes du jus siroteux qui suinte des médias formatés... Tous, jusqu'à la dernière virgule.. Tous... Satiété.

- Bon, les enfants, aujourd'hui on s'en fout, voilà... le son c'est le son... vouloir le mettre sur papier c'est une arnaque, ça veut rien dire... écoutez un peu cette même mélodie jouée par machin avec sa guitare saxophone, ou machine avec sa voix... Eh oui, vous entendez la même phrase musicale, écrite ici... Etonnant, non ?... Et si ces deux mélodies s'étaient ressemblées c'eut été de la tromperie les gars, parfaitement... - Quoi ? A cause des timbres différents... mais j'espère bien petits connards, et alors ? C'est parce qu'on a mis des mots sur les sensations qu'on se portes mieux ?... Pauvres naïfs, continuateurs de l'ennui du monde, robots inorganiques, sans vraie fiente dedans... Allez plutôt mourir, tristes sopalins jamais utilisés, inutiles... Crottes propres. Et cette saleté d'âge, qui vient vous brouiller tout, couches et couches superposées, tant d'expériences contradictoires, vérités contredites, sagesses éphémères... Inversées folies, dictons à trois coups... Langages verrouilleurs de l'esprit... Qu'est alors devenue la force vive qui nous animait ? Qui, en dépit des emmerdes accumulées, nous faisait aller de l'avant... Cette force qui nous permettait de faire et d'observer tout en même temps... Tels d'impériaux brises glaces dans les banquises urbaines, heures de pointes... femmes et des hommes,... C'est quand même ahurissant, cette réalité qui ne vous montre qu'une infime partie du bouillonnement qui tressaute dans ses intérieurs... petits être diables-lumières, tous différents dans leurs similitudes, chacun engoncé dans sa monade... Sa monade dans la grande monade des hommes. la nôtre, ouais, ouais... T'as déjà communiqué avec une autre monade ?... A part celle de ton chien... MAis non, laisse tomber, y'a que la notre... monade si terne, blabaltant ad infinitum avec elle-même... Il est où le gnière qui communique avec les dauphins, les fourmis, les bougainvilliers... graviers... Hein ? Réponse, rien, nada... Personne... Personne, tu m'entends... Des singes malins qui ne se commettent qu'entre eux, sans réels soucis des autres espèces, essences, races, systèmes... L'homme, moi l'homme... om OME... heaume... home... Aume... Mon cul !! Que sais-je ?.... Moi qui ne fais pas de réserve pour l'avenir, préférant le détruire... Oui Monsieur, pas besoin... Pourquoi faire ?... La nature me donne tout... C'est du DU tout ça, ben voyons. Du DU pour moi ! Et ceux qui sont contre je les enfiente, surmerde, compisse... Doigts d'honneurs devant vos faces d'empaffés mous, juste capables de penser à vos petits frichtis... Salopes, SALOPES... Et ne me parlez pas, vous puez du bec... et de l'âme

Auteur: Mg

Info: 14 janv. 2013

[ écologie ] [ environnement ] [ colère pulsionnelle ]

 

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