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concours littéraire

Carla Namwali Serpell  est une femme de lettres zambienne qui enseigne aux États-Unis. Sa nouvelle The Sack remporta en 2015 le prix Caine de la meilleure fiction africaine en anglais.

Expliquant que "la fiction n'est pas un sport de compétition", elle décida de partager les 15 000 $ de prix avec les autres écrivains en lice, Masande Ntshanga, FT Kola, Elnathan John et Segun Afolabi.

Auteur: Internet

Info: Sur Babelio

[ ironie ] [ altruisme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

colonialisme

Je pense que la réponse à ces questions non posées, est que la communauté du cinéma a été aussi responsable de la dégradation de l'Amérindien et se moque de ses qualités, le décrivant comme sauvage, hostile et diabolique. Il est déjà assez difficile pour des enfants de grandir dans ce monde. Lorsque les enfants des Indiens regardent la télévision, et ils regardent des films, et quand ils voient leur race, comment elle est représentée dans les films, leurs esprits sont blessés, de ces manières que nous ne pourrons jamais connaître.

Auteur: Brando Marlon

Info: Lettre de Brando lue par Sacheen Littlefeather expliquant son refus pour l'Oscar du meilleur acteur

[ cinéma ] [ Usa ] [ médias ]

 
Mis dans la chaine

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drague

Quand il est arrivé en cours en milieu d'année j'ai fondu directement sous son charme, grand, beau, d'une timidité incroyable. On est devenu bien pote même s'il gardait une certaine réserve envers les autres... Gentil comme tout, il m'écoutait, me donnait des conseils, me consolait....
Et puis un jour on était chez moi et là je décide de prendre le taureau par les cornes... J'essaye de l'embrasser et il me repousse gentiment m'expliquant que les filles ben c'étaient vraiment son truc... On est resté très amis jusqu'à qu'il rencontre son copain et petit à petit plus de nouvelles...

Auteur: Internet

Info:

[ homo ] [ râteau ] [ pensée-de-femme ] [ dialogue-web ]

 

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enseignement

[..] presque tous les enfants sont des poètes, c'est-à-dire qu'ils ont souvent un sens assez profond du mystère; ils sont dans un monde un peu comme des étrangers qui arrivent dans un pays où ils n'avaient jamais mis les pieds, et ils regardent autour d'eux avec beaucoup d'étonnement. Le but de l'éducation est de faire peu à peu disparaître cet étonnement en expliquant à l'enfant le sens de ce qui l'étonne. Et peu à peu il grandit et se sent tout à fait chez lui dans un monde où plus rien ne peut l'étonner. Et c'est ainsi que meurent les poètes.

Auteur: Green Julien

Info: Mon premier livre..., p.63, in L'apprenti psychiatre, Livre de Poche no 5006

[ pédagogie ]

 

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art pictural

Corbin le dit aussi : à Paris, les ouvrières, blanchisseuses, couturières ou fleuristes ne gagnent pas suffisamment pour vivre de leur salaire et se vendent occasionnellement. James Tissot ou Pascal Dagnan-Bouveret en témoignent. Beaucoup de ces grisettes cherchent un monsieur de la bourgeoisie qui leur assurerait un quotidien plus doux. Zola l'écrit dans Au Bonheur des Dames : certains métiers sont saisonniers et expliquant ce type de comportement. Les peintres qui osent montrer cela sont assez rares, et la présence d'un Tissot dans ces rangs est d'autant plus surprenante qu'il est le peintre de la bourgeoisie et de ses mondanités, à l'instar de Béraud.

Auteur: Internet

Info: in L'Objet d'Art hors-série 91, Le regard des écrivains, De la pierreuse à la petite employée, prostituée occasionnelle

[ putains ] [ historique ]

 

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camp de concentration

Le témoignage de l'écrivaine Ana Nowak, lors d'une table ronde sur les écrivains en exil, expliquant comment son choix s'est fixé sur la France. C'est que, jeune juive polonaise internée au camp d'Auschwitz, elle y avait éperdument admiré les Françaises en raison de ... leur coquetterie. Elles se mettaient un turban pour cacher leurs cheveux clairsemés et pleins de poux... se servaient de bouts de charbon comme eye-liner... se pinçaient les joues pour leur mettre un peu de rouge... utilisaient pour s'embellir tout ce qui leur tombait sous la main... tenaient à préserver au moins cette dignité-là : être belles les unes devant les autres. Cinquante ans plus tard, Nowak en était encore émue.

Auteur: Huston Nancy

Info: Reflets dans un oeil d'homme

[ femmes-par-femme ] [ féminines ] [ Gaule ] [ maquillage ]

 

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manipulation

Naturellement les gens ordinaires ne veulent pas la guerre. Ni en Russie, en Angleterre, en Allemagne ou ailleurs. Nous sommes bien d'accord. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui déterminent la politique et il est toujours facile d'entraîner un peuple, que ce soit en démocratie, sous une dictature fasciste, dans un parlement ou avec une dictature communiste. Qu'il ait la parole ou pas le peuple peut toujours être convaincu par la position de surenchère de ses dirigeants. C'est facile. Il suffit de dire qu'on est attaqué et dénoncer les artisans de paix en expliquant que leur manque de patriotisme expose le pays au danger. Ca fonctionne pareil dans tous les pays.

Auteur: Goering Hermann

Info: au procès de Nuremberg

[ pouvoir ] [ conflit ] [ propagande ]

 

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camouflage

Chaque individu a du goût, cependant nous avons là un sujet plus tabou que le sexe ou l'argent. La raison en est simple : les affirmations sur nos aptitudes et attitudes pour ce qui concerne les arènes charnelles et financières ne peuvent être contestées que par nos amoureux et nos conseillers financiers, alors qu'en expliquant nos goûts nous exposons notre esprit et notre corps à un terrible et minutieux examen. Le goût est un traître impitoyable, révélateur des attitudes sociales et culturelles. Ainsi, alors que n'importe qui te dira tout ce que tu veux (et même peut-être plus) sur ses triomphes au lit ou avec le fric, parler de son propre goût le rendra nerveux.

Auteur: Bayley Stephen

Info:

[ dissimulation ] [ révélateur ]

 

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s'ennuyer

Quand j’étais enfant surtout, l’ennui assumait des formes tout à fait obscures pour moi et pour les autres, formes que j’étais incapable d’expliquer. En ces années-là, il m’arrivait de cesser brusquement de jouer et de rester des heures entières immobile, comme engourdi, accablé en réalité par le malaise que m’inspirait ce que j’ai appelé la flétrissure des objets, c’est-à-dire par l’obscure conscience qu’entre moi et les choses, il n’existait aucun rapport. Si, en de tels moments, ma mère entrait dans la chambre et me voyant muet, inerte et pâle de souffrance, me demandait ce que j’avais, je répondais invariablement: "je m’ennuie" expliquant ainsi, par un mot de sens clair et étroit, un état d’âme vaste et obscur.

Auteur: Moravia Alberto

Info: L'ennui

[ désintérêt ]

 

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colonialisme

Racisme : le mot, appliqué à des attitudes mentales antérieures au XIXe siècle, a longtemps choqué. [...] Je me souviens d'un philosophe [...] expliquant à la fin des années 1970 que parler de racisme avant le triomphe, au XIXe siècle, de l'Etat-nation (comme si celui-ci était l'unique cause de celui-là) "relevait de l'anachronisme". [...] Grâce à des travaux plus récents et plus approfondis (tels que, en France, ceux de Léon Poliakov), deux points au moins ont été éclaircis. D'abord, même si le mot "racisme" est un mot du XXe siècle, et même si les grandes doctrines racistes structurées comme des systèmes scientifiques datent du XIXe siècle, c'est dans les théories biologiques (ou pseudo-biologiques) du XVIIIe siècle que ces doctrines s'enracinent. Ensuite, c'est dans un fonds fort ancien de croyances "naturalistes" (communes, dès la fin du Moyen Age, au peuple et aux lettrés) que ces théories, à leur tour, trouvent leurs racines. [...] Le racisme anti noir des Européens est donc déjà solidement constitué lorsque Colomb aborde aux rivages d'Amérique. C'est pour cette raison que les conquistadores éprouvent si peu de difficultés (et si peu de remords) à introduire l'esclavage dans le Nouveau-Monde.

Auteur: Delacampagne Christian

Info: Une Histoire de l'esclavage, de L'Antiquité à nos jours

[ xénophobie ]

 

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