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animal domestique

Le problème avec les chats, c'est qu'ils ont exactement la même apparence faciale qu'ils voient un papillon de nuit ou un meurtrier avec une hache.

Auteur: Poundstone Paula

Info:

[ impassibilité ]

 

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harmonie

Mais Hedwige avait une bouche ferme, bien équilibrée et qui respirait la sérénité et le recueillement ; une bouche qui vivait en paix avec les yeux, avec toutes les parties du visage et de l'âme.

Auteur: Morand Paul

Info: l'homme pressé (1941, 350 p., Gallimard, p.107)

[ beauté féminine ] [ féminité ] [ plénitude faciale ] [ grâce ]

 
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langage corporel

Le sourire est probablement l'expression faciale la plus sous-estimée, beaucoup plus complexe que la plupart des gens ne le réalisent. Il existe des dizaines de sourires, chacun d'entre eux différant par son apparence et par le message qu'il exprime

Auteur: Ekman Paul

Info: Telling Lies: Clues to Deceit in the Marketplace, Politics, and Marriage

[ non verbal ] [ physionomie ] [ grimace ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

émoi

En éprouvant une émotion de tristesse, il y a des changements de l'expression faciale, le corps se ferme, se rétracte. Il y a aussi des changements dans le cœur, les tripes : ils ralentissent. Il y a aussi des changements hormonaux.

Auteur: Damasio Antonio R.

Info:

[ bouleversement ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

sociologie

Il avait loupé le coche du premier mariage prématuré, qui avait laissé la plupart de ses amis avec de grands enfants et une ex-femme, les plaçant dans une trajectoire aussi prévisible que les désordres capillaires et la pilosité faciale de leurs vingt ans.

Auteur: Marlette Doug

Info: Magic time

[ Etats-unis ] [ divorces ]

 

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reconnaissance faciale

(…) un neurone unique s’active, à chaque visage sélectionné. Ainsi Marilyn Monroe a-t-elle son fan, Bill Clinton le sien, Abraham Lincoln, Michael Jackson et Tony Parker le leur (…) résultat époustouflant auprès de tous les sujets : chaque fois qu’ils reverront l’image de Marylin, par exemple, ou que son nom sera évoqué en leur présence, c’est le neurone qui l’a choisie qui s’activera.

Auteur: Van Cauwelaert Didier

Info: Le dictionnaire de l'impossible

[ cellule focalisante ] [ neurone miroir ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

humour

...le rire en lui-même, cette subite et violente distorsion des traits déforme la face humaine, qui la dépouille en un instant de toute dignité. Si l'homme rit, s'il est le seul parmi le règne animal, à exhiber cette atroce déformation faciale, c'est également qu'il est le seul, dépassant l'égoïsme de la nature animale, à avoir atteint le stade infernal et suprême de la cruauté.

Auteur: Houellebecq Michel

Info: La Possibilité d'une île

[ cruel ] [ être humain ]

 

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AVC

Maman n'allait plus le faire chier maintenant, défoncée au Zopiclone. Double dose. Il essayait d'en avoir toujours de côté... Pour quelques heures, il serait peinard. Il faudrait simplement ne pas rater l'auxiliaire de vie dans la matinée, et avant cela, le passage de l'infirmière à domicile vers 8h, avec sa précieuse barquette de pilules : la garantie de sa tranquillité... L'accident vasculaire cérébral de la daronne avait en effet scellé sa prise d'autonomie trois ans plus tôt : paraplégie, paralysie faciale, aphasie partielle, escarre au sacrum... Le prix de la bibine, du cholestérol et du paquet de clopes journaliers depuis trente ans. Elle l'avait bien cherché !

Auteur: Osmont James

Info: Sandrine

[ causes-effets ]

 

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auto-évaluation

Il avait deux théories quant à l’influence de ses parents sur son choix professionnel, l’une liée à sa mère et l’autre à son père. Selon la première, il était devenu enquêteur à l’époque où, enfant, il s’efforçait de deviner dès qu’il rentrait de l’école dans quel état mental il trouverait sa mère. À force de traquer le moindre signe, il avait développé
une sensibilité exacerbée pour les indices et les expressions faciales ainsi que pour les modulations du timbre de la voix. Dès la cage d’escalier, il humait les odeurs de cuisson pour déterminer ce qu’elle avait concocté ce jour-là et en déduire si le déjeuner se terminerait par des coups. Si elle proposait un plat qu’il aimait, en général le repas se
passait bien. Si elle mettait dans son assiette quelque chose qu’il avait du mal à avaler, étrangement, ça se terminait mal. Par exemple, une odeur de poivron ou de chou farci signifiait qu’il se ferait tabasser.
Selon l’autre théorie, c’étaient les promenades avec son père, souvent le shabbat, qui avaient fait de lui un enquêteur. Surtout un jeu qu’ils s’étaient inventé. Son père disait : "Je pense voir une femme qui porte un manteau bleu", et le petit Avi, alors âgé de trois ou quatre ans, examinait la rue assis dans sa poussette jusqu’à ce qu’il trouve la femme et, le cœur battant, qu’il pointe un doigt vers elle. Au fur et à mesure qu’il grandissait, leur jeu devint plus complexe. Le père disait : "Je crois que je vois un monsieur en retard à son rendez-vous" ; le fils examinait les alentours jusqu’à dénicher l’homme pas rasé qui traversait la rue au vert ; il recevait un "Fort juste" de l’adulte très fier qui le tenait par la main et cela suffisait à le rendre heureux.

Auteur: Dror Mishani

Info: Une disparition inquiétante

[ éducation ] [ psychanalyse ]

 

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évacuation

Il s'agit d'accès de prurit des paupières, se reproduisant sous forme de névralgies paroxistiques formidables, intolérables, revenant à heures fixes, vers trois heures du matin, et dont le soulagement s'obtint partiellement par les affusions chaudes, mais entièrement grâce à l'emploi seul de pilules de Mousnette (quinine et aconitine). Or, ces incidents s'étant reproduits à de rares intervalles pendant 15 à 18 jours, le fait coïncida en particulier, certain jour, avec l'existence d'une lymphangite faciale, tronco-valvulaire ulcéro-oblitérante, allant du lobule de l'oreille à la racine du nez. Quatre puits valvulaires ulcérés donnaient issue à des bouchons stéate-pierreux grisâtres, la lymphine ne cédant que lorsque le massage effectué vers l'oreille libérait le cours efférent du vaisseau.

Ce fut un trait de lumière. Je massai doucement les régions malaires et sous-oculaires. Une dizaine de petits bouchons obturateurs commencèrent à sourdre de la peau ; puis l'oeil se mit à pleurer, à rougir avec une vive cuisson sous l'influence du reflux de graisse fondue, et de fins graviers provenant des capillaires les plus ténus désobstrués. Un lavage à l'eau chaude, et la guérison était parfaite.

Inutile d'insister sur l'importance de pareille constatation. Voici donc comment et pourquoi le massage peut, et à lui seul, guérir certaines névralgies. Et d'un autre côté, voici des troubles névralgiques et circulatoires, nettement dûs à l'oblitération des lymphatiques efférents de la région. Le mécanisme est complexe. Peut-être y a-t-il compression des terminaisons par l'embacle ?...

Mais il y avait surtout ceci : l'"égoût du quartier" était obstrué, (c'est-à-dire le réseau lymphatique de la région), la vidange des produits de désassimilation était arrêté, le liquide sanguin nutritif parvenait aux cellules nerveuses et glandulaires ciliaires, mais les échanges moléculaires nutritifs se faisaient au moyen d'une humeur souillée, non dépurée, surchargée de tous ses déchets (acide sarcolactique, etc...)

La surprise sur le fait de la génèse intime d'une névralgie, de la filiation des actes morbides qui la constituent, comporte d'intéressantes déductions philosophiques, en médecine.

Le "nescio quid divini" est réduit au minimum, car voilà la physicochimie biologique suffisant presque à l'explication.

 

Auteur: Morel-Lavallée Victor-Auguste-François

Info: In "L'atmosphère celluleuse où sont logés nos organes est le véritable milieu intérieur", mémoire déposé pour concourir à un prix de l'Académie des sciences, en 1909

[ médecine ] [ évacuation ] [ recherche ] [ eurêka ] [ référence philosophique ] [ douleur ] [ induction ]

 
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Ajouté à la BD par Benslama