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femmes-par-hommes

De bonnes mères nourrissent grand nombre de fainéants.

Auteur: Duckett William

Info: Dictionnaire de la conversation et de la lecture 1851

[ maternelles ] [ protectrices ]

 

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humour

Quand on vole le gouvernement, le pire qu'il puisse advenir est qu'un certain nombre de coquins et de fainéants auront moins d'argent pour s'amuser qu'auparavant.

Auteur: Mencken Henry Louis

Info:

[ fraude ] [ fisc ]

 

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temps

Un des grands inconvénients du commerce du monde est d'exposer les personnes occupées à devenir les victimes d'une foule d'importuns, de fainéants, d'ennuyeux, qui viennent périodiquement leur apprendre qu'ils n'ont rien à leur dire.

Auteur: Holbach Paul-Henri Thiry d'

Info: La Morale universelle, I, Amsterdam M.-M. Rey 1776 <III xii

[ perdu ] [ casse-pied ]

 

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décadence

Mais il y devrait avoir quelque correction des lois contre les écrivains ineptes et inutiles, comme il y a contre les vagabonds et fainéants. On bannirait des mains de notre peuple et moi et cent autres. Ce n'est pas moquerie. L'escrivaillerie semble être quelque symptôme d'un siècle desbordé. Quand escrivismes nous tant que depuis que nous sommes en trouble?

Auteur: Montaigne Michel Eyquem de

Info:

[ écriture ]

 

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parasites

Il existe une foule de nobles qui passent leur vie à ne rien faire, frelons nourris du labeur d'autrui, et qui, de plus, pour accroitre leurs revenus, tondent jusqu'au vif les métayers de leurs terres. Ils ne conçoivent pas d'autre façon de faire des économies, prodigues pour tout le reste jusqu'à se réduire à la mendicité. Ils trainent de plus avec eux des escortes de fainéants qui n'ont jamais appris aucun métier capable de leur donner leur pain.

Auteur: More Thomas

Info: L'Utopie

[ écornifleur ] [ profiteurs ] [ héritiers ]

 

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auto-évaluation

On m'attribue le mérite d'être l'un des travailleurs les plus acharnés et c'est peut-être le cas, si la pensée est l'équivalent du travail, car j'y ai consacré presque toutes mes heures d'éveil. Mais si l'on interprète le travail comme une performance définie dans un temps donné selon une règle rigide, alors je suis peut-être le pire des fainéants. Tout effort contraint exige le sacrifice de l'énergie vitale. Je n'ai jamais payé un tel prix. Au contraire, j'ai prospéré grâce à mes pensées.




Auteur: Tesla Nikola

Info: "My Early Life", My Inventions : And Other Writings (2016), 1.

[ rêveur théoricien ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

ordre du pouvoir

Toutes les nations esclavagistes se caractérisent par la dépendance des propriétaires envers leurs esclaves, alors que l’inverse n’est pas le cas. Les esclaves ne sont pas dépendants de leurs propriétaires, parce que les premiers travaillent beaucoup alors que les seconds travaillent peu. Les propriétaires d’esclaves sont les réels parasites de la société et les esclaves sont les véritables pivots de la société.

Pour éviter que les gents comprennent aussi facilement qu’il en va ainsi, les propriétaires d’esclaves doivent inventer une doctrine reposant sur le principe opposé : ils font croire aux esclaves qu’ils sont des fainéants inutiles et qu'ils leur sont indispensables. Tant que les esclaves y croient, les propriétaires d’esclaves sont tranquilles. Qui ose se révolter contre quelqu’une d’indispensable à sa propre existence ?

Auteur: Brantenberg Gerd

Info: Les filles d'Égalie

[ inversion ] [ hiérarchie ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

religion

Le Pogge* n'aimait pas les moines. Il connaissait pourtant des frères remarquables, des hommes érudits et d'une grande rectitude morale, mais de manière générale, il les trouvait superstitieux, ignorants et d'une paresse désespérante. Pour lui, les monastères étaient des repaires d'individus inaptes à la vie dans le monde. Les nobles y envoyaient les fils qu'ils jugeaient inadaptés, trop frêles ou bons à rien ; les marchands y envoyaient leurs enfants attardés ou paralytiques ; et les paysans, des bouches impossibles à nourrir. Les plus robustes avaient au moins l'avantage de pouvoir exploiter les jardins ou les champs adjacents, mais pour la plupart, pensait le Pogge, c'était un ramassis de fainéants. Derrière les murs épais des cloîtres, ils marmonnaient leurs prières et vivaient des revenus de ceux qui exploitaient les vastes terres de leur monastère.

Auteur: Greenblatt Stephen

Info: Quattrocento, *érudit, humaniste et politique italien de la Renaissance

[ méfiance ] [ rebuts humains ]

 

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prophétie

Les races ne se font pas toutes seules, ne se défendent pas toutes seules ; elles sont au fond de chaque homme en instance, en "devenir" au fond de chaque espèce. C'est tout.

Elles exigent pour durer, pour subsister, un effort permanent, stoïque, de chaque être vivant pour vaincre la disparition et la mort.

Elles sont en "devenir", toujours en péril, toujours menacés.

Les Aryens ont encore peut-être, quelques possibilités de "s'accomplir" en purifiant leur race, de se dénégrifier, de se déjudaïser, il n'est que temps ! S'ils sont lâches, trop vils, trop fainéants, s'ils se laissent trop nombreusement enculer par les négrites, les asiates, par les juifs, ils disparaitront, ignoblement.

D'autres races viendront, jaunes sans doute, qui les balayeront, qui les rejetteront à la mer.

France, empire du soleil couchant.

Auteur: Céline Louis-Ferdinand

Info: l'école des cadavres (1938, 305 p.)

[ déclin ] [ affrontement ] [ volonté de résistance ] [ remplacement ] [ nord-sud ]

 
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écrivain-sur-éditeur

Je me fous énormément de ce que l'éditeur peut penser de mes livres. Il n'est pas même question de solliciter son avis.

Son goût est mauvais forcément - autrement il ne ferait pas ce métier de semi-épicier semi-maquereau. Que voulez-vous qu'il connaisse ce Jean-foutre ?

Je suis de l'avis de ce pauvre Élie Faure (juif) : Lorsqu'on demande au conservateur d'un musée d'exposer le meilleur de ses Rembrants, invariablement il choisit le plus mauvais, celui qui répond à ses goûts, à son goût de sale vieux con.

Kif des éditeurs, critiques, et toute cette clique.

Leurs avis sont peut-être utiles en effet aux auteurs merdeux dans leur genre dont ils feraient eux-mêmes à peu près les livres s'ils étaient un peu moins fainéants, mais là s'arrête la compétence des éditeurs, pour la bonne raison qu'il est impossible à un être humain d'excéder son aire psychique... il comprend tout ce qui tombe dans son rayon... tout ce qui le dépasse il l'excècre... ainsi du singe qui tend à massacrer tout ce qu'il ne comprend pas... et tout de suite ! Ainsi le critique, ainsi l'éditeur.

Ce que veut le con c'est un miroir pour son âme de con où il puisse s'admirer - d'où le cinéma et les romans d'immenses tirages - "miroirs pour les âmes du plus grand nombre de cons possibles".

Cette loi vaut aussi pour la psychologie, la graphologie etc...

Comment comprendre ce qui vous dépasse ? Impossible. Alors en avant pour le bla-bla-bla...!

Il y a moins de fous qu'on le pense écrivait Vauvernagues, il y a surtout des gens qui ne se comprennent pas. Pardi !

Quant à l'éditeur au surplus il est abruti par tout ce qu'il lit, qu'il se croit obligé de lire.

Auteur: Céline Louis-Ferdinand

Info: Lettre à Milton Hindus, 28/07/1947

[ vacheries ] [ stupides ] [ limites ] [ commerciaux ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson