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sport

Selon Mohammed Ali, D'Amato lui donna un conseil important avant qu'il pour le Zaïre combattre Foreman dans cette rencontre devenue célèbre. D'Amato lui aurait dit "Je n'ai qu'un conseil a te donner. Tu dois lui faire mal avec ta première frappe. Foreman a la psychologie d'une brute. Si tu lui fais mal rapidement, ça détruira sa tête. Quoi que tu fasses, aie de mauvaises intentions derrière ta première frappe".

Auteur: D'Amato Cus

Info:

[ combat ] [ boxe ]

 

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pensée-de-femme

Par quel sortilège, par quel charme secret retiens-tu dans tes deux mains chéries mon coeur douloureux et tourmenté ? Et quelle puissance mystérieuse dans un de tes regards pour que chaque jour tu me fasses t'aimer davantage ! Je suis arrivée à ce degré d'amour stupide qui vous rabaisse au niveau d'un chien fidèle, d'un bon gros chien qui guette la caresse de la main chérie, qui attend le geste flatteur du maître.

Auteur: Anonyme

Info: Mademoiselle S.: Lettres d'amour 1928-1930

[ passion ] [ amoureuse ]

 

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rapports humains

N’accède à ma demande que de ton plein gré. Surtout, ne fais jamais rien pour moi qui te coûte, qui soit motivé par la moindre crainte, la culpabilité, la honte, la rancune ou la résignation. Car si tu agissais de la sorte, nous en souffririons tous les deux. Je te demande de n’honorer ma demande que si tu en as l’élan profond et que, ce faisant, tu te fasses un cadeau à toi-même.

Auteur: Rosenberg Marshall B

Info: Etre vraiment soi, aimer pleinement l'autre ! : La Communication Non Violente en couple et entre amis, p.29

[ égoïsme ] [ altruisme ]

 

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cadeau

La nuit qui précéda le neuvième anniversaire d'Alice, son père Stanley rapporta à la maison deux pommes rouges et luisantes. Il travaillait dans une usine qui importait d'Europe les fruits destinés à la consommation des riches Cingalais de Cinnamon Gardens, qui avaient les moyens de vivre à l'anglaise,
"La pomme est un produit de luxe, lui dit Stanley. Mais c'est ton neuvième anniversaire, et il est temps que tu te fasses une idée du gout que peut avoir le luxe!"

Auteur: Tearne Roma

Info: Retour à Brixton Beach

[ richesse ] [ pauvreté ] [ alimentation ]

 

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rencontre

Nous sommes allés boire un verre et là, je ne sais pas pourquoi, j'ai commencé à lui raconter beaucoup de choses de ma vie, maman, Daniel. Des choses qui avant m'auraient fait honte mais qui venaient maintenant comme si j'en portais le poids depuis de siècles et ne pouvais m'en libérer qu'en parlant avec Ramiro. C'était aussi une façon de lui signifier: voilà ce que j'ai à te dire, quoi que tu fasses après, que tu m'aimes ou que tu ne m'aimes plus.

Auteur: Osorio Elsa

Info: Luz ou le Temps sauvage

[ confession ] [ test ] [ pensée-de-femme ]

 

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pensée-de-femme

...Je te donnerai mon corps de temps en temps mais tu devras quand même me donner de l'argent,
toi aussi, quoi que tu fasses, tu seras et resteras à jamais un client,
je ne pourrai jamais t'aimer, tu me dégoûtes profondément,
je ne supporte rien de toi, tes mains sur moi me font frémir non pas de plaisir
mais de hargne et de rage, et, si parfois je jouis,
c'est juste pour te faire croire à un quelconque sentiment,
je n'en ai pas fini avec toi...
je te méprise du plus profond de mon être...

Auteur: Burel Danièle

Info: Mauvaise Vie

[ prostituée ] [ haine ]

 

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justification

Convaincu que c'était la faute à CNN et compagnie, je me suis souvenu d'un proverbe de notre malicieux et quasi imparable Wolof Njaay : " si tu empruntes à quelqu'un ses yeux, ne t'étonne pas l'ami, d'être obligé, quoi que tu fasses, de ne voir que ce que lui-même voit ..." Dans le monde tel qu'il va, les médias globaux ne sont-ils pas, en définitive, les universels "prêteurs de regard" ? Nous sommes tous condamnés à nous fier à ce que racontent leurs caméras et le pire c'est que bien souvent le flux bavard de leurs images et de leurs commentaires nous cache la réalité bien plus sûrement que leurs silences ou omissions. Mais même s'ils ont affecté de ne voir dans le génocide des Tutsi du Rwanda qu'un immense crime de masse, pittoresque et sans rime ni raison - un "truc africain" de plus, pour tout dire - personne n'a le droit de les rendre responsables de son propre aveuglement.

Auteur: Diop Boubacar Boris

Info: Murambi, le livre des ossements

[ erreur ] [ médias ] [ propagande ]

 

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vision

Alors, ayant vu les différences entre ton état actuel et celui que tu veux atteindre, commence à changer (consciemment) tes pensées, paroles et actions de façon à les adapter à ta vision la plus merveilleuse.
Cela exigera un incroyable effort mental et physique. Cela entraînera une surveillance constante, à chaque instant, de chacune de tes pensées, de chacune de tes paroles et de chacun de tes gestes. Cela impliquera que tu fasses continuellement un choix conscient. Tout ce processus est un passage massif à la conscience. Ce que tu découvriras, si tu entreprends ce défi, c’est que tu as passé la moitié de ta vie inconscient, c’est- à-dire ignorant à un niveau conscient, de ce que tu es en train de choisir en matière de pensées, de paroles et d’actions, jusqu’à ce que tu en fasses l’expérience de ses conséquences. Ensuite, lorsque tu en expérimentes les résultats, tu nies tout rapport entre ces derniers et tes pensées, paroles et actions. Je t’appelle à cesser de vivre dans une telle inconscience. C’est un défi auquel ton âme t’appelle depuis le commencement des temps.

Auteur: Neale Donald Walsch

Info: Conversations avec Dieu

[ examen de conscience ] [ adaptation ] [ travail sur soi ] [ spiritualié ] [ discipline ]

 

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femmes-hommes

Jeanne d'Albret ayant voulu suivre son mari aux guerres de Picardie, le roi son père lui dit qu'il voulait que si elle devenait grosse, elle revînt enfanter en sa maison. Cette princesse se trouvant enceinte, et dans son neuvième mois, partit de Compiègne, traversa toute la France jusqu'aux Pyrénées, et arriva, en quinze jours, à Pau dans le Béarn : "ceci étant, et afin que tu ne me fasses pas une pleureuse, ou une rechignée, lui dit son père, je veux qu'en accouchant tu chantes une chanson béarnaise, et quand tu enfanteras, j'y yeux être ".... Entre minuit et une heure, le 13 décembre 1553, les douleurs de l'enfantement prirent à la princesse ; son père, averti, descendit. L'entendant venir, Jeanne chante la chanson béarnaise qui commence par : Notre-Dame du bout du pont, aidez-moi en cette heure... Étant délivrée, le roi mit une chaîne d'or au cou de sa fille, lui donna une boîte d'or où était son testament, et lui dit : " Voilà qui est à vous, ma fille, mais ceci est à moi " prenant l'enfant dans sa grande robe, sans attendre qu'il fût bonnement accommodé, et l'emporta dans sa chambre. Cet enfant était Henri IV.

Auteur: Saint-Foix

Info: Essais hist.

[ accouchement ] [ historique ]

 

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littérature

L'homme qui ressemblait à Korczak, Maximilien Kolbe et Gandhi et portait des lunettes susceptibles, par beau temps, de mettre le feu à un champ de blé ou à une grange s'est présenté. Je suis Szymon Kuran. Enchanté, ai-je répondu. Non, c'est moi qui suis enchanté, a-t-il rétorqué, toi, tu as seulement l'impression de l'être. Il devait avoir raison, il était sans doute enchanté, alors que moi je ne faisais qu'exprimer une impression par une formule toute faite. C'est ce qu'on appelle la bonne éducation. Un mélange d'interdits et d'accommodements climatiques. Szymon mangeait son hot-dog, j'ai voulu lui poser une question, mais Boro s'est interposé. Alors, cette histoire de graviers, a-t-il zézayé. Ce n'est pas bien compliqué, ai-je répondu. Il faut que tu fasses comme les poules ou les autruches, elles n'ont pas de dents non plus, et pour bien digérer elles avalent de tous petits cailloux qui broient les aliments à la place des dents. Abasourdi par le raccourci intellectuel et cette histoire sans queue ni tête, Szymon a écouté mon bref exposé gastrologique, a posé l'emballage de son hot-dog sur la table et s'est mis à rire doucement. Boro et moi poursuivions une conversation entamée le mois précédent à propos de l'achat d'un dentier ou d'un petit sac de graviers. Voyant la réaction de Szymon, Boro a conclu sa phrase comme de coutume. À l'anglaise et laconiquement."Fuck you", a-t-il dit, puis il a enfourné le reste de son hot-dog en fanfaronnant. Comme il avait du mal à avaler l'énorme bouchée, il a bu quelques gorgées de flotte rapportée des toilettes dans un gobelet en carton et a répété : "Fuck you".

Auteur: Klimko-Dobrzaniecki Hubert

Info: Berceuse pour un pendu

[ hypocrisie ]

 

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