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pilier

La femme porte la nation.

Auteur: Proverbe africain du Botswana

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femmes-hommes

La maison n'est pas fondée sur le sol, mais sur la femme.

Auteur: Proverbe albanais

Info:

[ femmes-par-hommes ] [ pilier ] [ foyer ]

 

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femmes-hommes

Les deux piliers de la domination masculine résident dans le contrôle social de la fécondité des femmes et dans la division du travail entre les deux sexes.

Auteur: Héritier Françoise

Info: la revue Le Monde de l'éducation Juillet Août 2001

[ pensées-féministes ]

 

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famille

La culture du bien-être et des aides sociales disent à l'homme qu'il n'est pas un membre nécessaire de la famille ; il se sent dispensable, sa femme sait qu'il est dispensable, ses enfants le sentent.

Auteur: Gilder George

Info:

[ femme pilier ] [ mâles-femelles ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

grand-maman

[…] la grand-mère, la grand madre, la plus grande des femmes, car elle est en train de devenir une femme sage, qui assure la cohésion des capacités de la psyché profonde, illogiques en apparence, mais fondamentalement empreintes de grandeur.
Ces grands attributs paradoxaux sont, globalement : posséder la sagesse tout en cherchant sans cesse à apprendre ; être à la fois spontanée et fiable ; follement créative et constante ; audacieuse et vigilante ; entretenir la tradition et posséder une authentique originalité.

Auteur: Pinkola Estés Clarissa

Info: La danse des grand-mères

[ pilier familial ] [ mémé ] [ déesse ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

littérature

Kiyoshi s'avança et derrière le pilier jeta un coup d'oeil en direction de la pièce. Dans la pénombre, des couleurs criardes emplissaient la totalité de son regard. C'étaient celles de masques bon marché en papier mâché qui débordaient jusque dans les recoins de la petite pièce au sol recouvert de six tatamis.
Dans l'espace central où s'entassaient les masques, une petite fille terriblement maigre était assise auprès d'une femme au teint pâle d'environ trente ans. La fille, l'air absent, s'appuyait contre la femme, mais rencontrant le regard de Kiyoshi, elle dévoila ses dents blanches.

Auteur: Yoshimura Akira

Info: Un été en vêtements de deuil

[ japon ]

 

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gouvernement

Vous tous, hommes et femmes, ne voyez-vous pas que l’État est votre pire ennemi ? C’est une machine qui vous broie pour préserver la classe dominante, vos maîtres. Comme des enfants naïfs, vous vous fiez à vos dirigeants politiques. Ils abusent de votre confiance pour vous vendre aussitôt au premier venu. Mais même en dehors de ces trahisons directes, vos responsables politiques font cause commune avec vos ennemis pour vous tenir en laisse, pour vous empêcher toute action directe. L’État est le pilier du capitalisme, et il est ridicule de compter sur lui pour un quelconque secours.

Auteur: Goldman Emma

Info: Dans "Vivre ma vie"

[ subordination ] [ aliénation ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

symbole

Deux de mes patients chez qui l’observation d’une infidélité de la mère joue un rôle dans le complexe nucléaire (l’une historique, l’autre peut-être seulement fantasmatique) introduisent le même jour ce récit par un rêve où il est question de bois. Chez l’un, c’est un bâtiment sur piliers de bois qui s’écroule, chez l’autre la femme est directement représentée par du vieux bois, des meubles anciens. Or je sais que les planches signifient une femme, les armoires naturellement aussi, mais je n’ai pas connaissance d’une relation plus étroite du bois au complexe maternel. Il me vient alors à l’esprit que bois en espagnol se dit madera = matière, substance (le nom portugais de l’île de Madère vient de là), et dans la matière il y a bien sûr indubitablement la mater

Auteur: Freud Sigmund

Info: Dans la "Correspondance Jung-Freud, tome 2 : 1910-1914", trad. de l'allemand et de l'anglais par Ruth Fivaz-Silbermann, éd. Gallimard, 1975, lettre du 2 mai 1910

[ étymologie ] [ inconscient ] [ langage ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

complémentarité des opposés

Le jour a rendez-vous avec sa nuit obscure,
Le nord avec le sud, le soufre avec le sel,
Ton cœur de femme perdue en quête d'absolu,
Avec mon désir d'homme qui cherche son élue.

Nous entrons dans les lignes de nos champs magnétiques,
Je plonge dans ton regard secret et mystérieux,
Les éléments contraires s’attirent et se combinent,
L'alchimie de l'amour opère entre nous deux.

Je brûle ton intérieur des flammes qui m'animent
Alors que tu aspires à réchauffer ton cœur,
Tu glisses entre mes doigts comme l’eau d’une oasis
Précieuse dans le désert pour étancher ma soif.

Nous transmutons le fer des barreaux de nos vies
En une nef d'or aux piliers de lumière,
Faisons de nos radeaux jadis à la dérive
Un bâtiment serein qui glisse sur les eaux.

Auteur: Fossat Simon

Info: Dans "Poèmes de l'asphalte", pages 75-76

[ couple ] [ conjonction ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

scène-de-ménage

- vous êtes cruels, entre vous...
- ma chérie, je vous ai bien observées, parfois pratiquées. Auprès de la majorité de tes soeurs de sexe - si j'ose me permettre cette vilaine expression - nous passons pour de gentils et naïfs éphèbes... Bambi chez les chasseurs... vous nous surpassez de beaucoup dans ce domaine... vous avez le recul, vous êtes en charge de la seconde partie de la vie, le suivi, l'éducation par l'amour. Nous autres, une fois la femelle engrossée, la base familiale établie, sommes bons à jeter, première partie du spectacle achevé... Par ici la sortie !... et en y mettant élégance et beauté si possible... avec retour éventuel quand il s'agirait de ramener de la subsistance, encore qu'il faille voir pour combien de temps encore, avec cette évolution du système social qui vous abreuve d'allocations, aides, subventions... sans oublier votre esprit de solidarité... sacrée Loi naturelle : vous vous mettez ensemble... "Les femmes ne sont pas faites pour vivre avec les hommes..." la voilà toute crûe, cette belle affaire aphorisée de la complicité féminine.... ah ! comme vous êtes bénies par le destin, caressée par l'existence dans le sens de ces cheveux que vous ne perdez jamais... accomplies, confortées dans vos certitudes, cette assurance de votre rôle de pilier du monde... quel pied, comme je voudrai être à votre place... vous avez la culture du bonheur... et ce n'est pas une raison pour me toiser pareillement, ma douce, tu le sais bien... vous êtes à l'origine de tout, de tout... aucun exemple qui puisse contrarier cette affirmation.... d'abord, qui est-ce qui donne le premier et imperceptible signe dans une rencontre afin d'avertir l'autre qu'il y a ouverture ? ... qui décide d'avoir des enfants ? Qui fait les hommes ?... nous ne sommes que de grotesques pantins destinés à ramer pour vaguement exister à vos yeux.. à nous entretuer sauvagement... le survivant gagnant le dérisoire droit de déposer sa semence sous le regard dégoûté de la récipiendaire... regarde le fonctionnement des mâles dominants dans la nature, rien n'a changé... vous, des récipients, nous, ridicules petits jets... nous devons sortir du lot, en faire des tonnes pendant que vous examinez calmement la marchandise... faites votre choix... et pour décider quoi ?... parce que vous ne tombez pas amoureuses, oh ! Que non, c'est une décision pesée, réfléchie, vous mettez le cosmos dans la balance en quelque sorte.... Vous pratiquez l'art ultime, exactement j'ai bien dit art... d'ailleurs ces pauvres artistes... ridicules façonneurs égocentriques de scories inutiles que vous contemplez avec l'ironie maternelle de celles qui savent que la mise au monde d'un petit d'homme est un accomplissement de loin plus grand, plus concret que ces pauvres babioles, calembredaines, billevesées.. Vous savez... vous avez les pieds cloués au sol, votre dimension n'est pas la nôtre, tout est calculé depuis le big-bang d'ailleurs.. la preuve !... elle est très simple et la voici : vous n'avez pas besoin de jouir pour procréer la race... nous sommes des machines aux moteurs différents, condamnés à collaborer pour accomplir la course.. et d'ailleurs notre plaisir brut de mâle suscite votre dédain rapide dès lors que nous le considérons comme acquis... vous détestez les habitudes, regardez toujours en avant... vous brûlez tout le temps nous ne sommes que des blocs de pierre destiné à être tournés vers le soleil... Vous êtes faites pour souffrir, nous pour jouir... votre univers est l'amour... le nôtre, le jeu. Nous sommes immatures... vous en êtes toutes persuadées. Je vous adore.

Auteur: MG

Info: 1996

[ femmes-hommes ]

 

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