Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 10
Temps de recherche: 0.0408s

musique

Il n'y a pas d'harmonie quand tout le monde chante la même note.

Auteur: Floyd Doug

Info:

[ standardisation ] [ ordre ] [ stérilité ]

 

Commentaires: 0

musique

Quand tu tripotes une guitare tu as tout - rythme, basse, accord et mélodie.

Auteur: Gilmour David

Info: Pink Floyd

[ rock ] [ instrument ]

 

Commentaires: 0

liberté

L'oisiveté n'est pas rien faire. L'oisiveté c'est être libre de faire tout ce qu'on veut.

Auteur: Dell Floyd

Info:

[ flemme ] [ chômage ] [ paresse ]

 

Commentaires: 0

chef

On peut inspirer un groupe seulement si on est soi-même empli de confiance et d'espoir dans le succès.

Auteur: Filson Floyd V.

Info:

[ guider ]

 

Commentaires: 0

limitation

Les neurophysiologistes ne trouveront probablement pas ce qu'ils cherchent, parce que ce qu'ils cherchent c'est ce avec quoi ils sont en train de regarder.

Auteur: Floyd Keith

Info:

[ sciences ]

 

Commentaires: 0

inconscient

Tout comme Carl Jung écrivit : "En chacun de nous, il y a un autre que nous ne connaissons pas." Pink Floyd chanta ; "Il y a quelqu'un dans ma tête, mais ce n'est pas moi."

Auteur: Eagleman David

Info:

[ inaccessible ]

 
Commentaires: 3
Ajouté à la BD par miguel

amoureuse

Beaucoup de gens noircissent des pages et des pages pour raconter la magie de leur premier baiser, avec tous les détails possibles sur l'ambiance - couchers de soleil, plages paradisiaques, flocons de neige, etc. —, mais personne n'explique jamais que le moment unique, incroyable et indescriptible a lieu plus tard, quand on rentre chez soi. Le trajet. Les pieds qui ne touchent pas terre, le cœur qui s'emballe.

Parce que, quand cela arrive à ceux qui en rêvent depuis une éternité, qui pleurent devant les comédies romantiques, qui attendent leur première histoire depuis longtemps, tout est beau et émouvant. Mais quand cela arrive à une fille de dix-sept ans, née en 1999, qui écoute les Pink Floyd et la musique grunge des années quatre-vingt-dix, qui n'a jamais mis de jupe, qui ne se maquille pas et qui préfère mille fois Fight Club à Twilight, eh bien, "émouvant" n'est pas le mot juste.

Ça la retourne comme une chaussette. Ça lui arrache les tripes. Ça détruit ses certitudes.

Auteur: Galiano Enrico

Info: Et pourtant, le bonheur est là

[ éprise ]

 
Commentaires: 2
Ajouté à la BD par miguel

dernières paroles

C ' est mon visage mec
J ' ai rien fait de sérieux mec
S ' il vous plaît
S ' il vous plaît
S ' il vous plaît, je ne peux pas respi
S ' il te plaît, mec
S ' il vous plaît quelqu'un
S ' il te plaît, mec
J ' arrive plus à respirer
J ' arrive plus à respirer
S ' il vous plaît
(inaudible)
L ' homme ne peut pas respirer mon visage
Lève-toi juste
J ' arrive plus à respirer
S ' il vous plaît (inaudible)
Je ne peux pas respirer sh * t
Je le ferai
Je ne peux pas bouger
Maman, maman
Maman, maman
Je ne peux pas
mon genou
mes noix
J ' en ai fini
J ' en ai fini
Je suis claustrophobe
J ' ai mal au ventre
J ' ai mal au cou
Tout ça fait mal
Un peu d'eau ou quelque chose
S ' il vous plaît
S ' il vous plaît
Je ne peux pas respirer officier
Ne me tue pas
Ils vont me tuer mec
Allez, mec
Je ne peux pas respirer
Je ne peux pas respirer
ils vont me tuer
ils vont me tuer
J ' arrive plus à respirer
J ' arrive plus à respirer
S ' il vous plaît.
S ' il vous plaît
S ' il vous plaît
S ' il vous plaît, je ne peux pas respirer

Puis ses yeux se ferment, les supplications s'arrêtent. Le flic, Derek Chauvin, laisse son genou appuyé sur le cou du grand noir couché au sol plusieurs dizaines de secondes encore. George est déclaré mort peu de temps après.

Auteur: Floyd George

Info: 31 mai 2020. Incident qui sera à la source de nombreuses manifestations de révolte aux Usa. Merci à Antoine Illouz

[ brutalité policière ] [ racisme ]

 
Commentaires: 2
Ajouté à la BD par miguel

agora numérique

Il s’était égaré dans les méandres de Facebook, entre les souvenirs des un.e.s et les chats des autres. Il n’y croisait que des anciens, tous plus ou moins à son image, qui avaient lu Spirou ou Pilote dans leur jeunesse, fait tourner en boucle des vinyles de Pink Floyd et ri aux facéties de Pollux les coudes posés sur une table en formica. C’était un formidable gang d’atrabilaires excédés par cette époque convulsive, des abonnés au passé, réfractaires aux mœurs contemporaines et aux nouvelles technologies, qui surmontaient toutefois leur répulsion à l’égard des écrans pour mieux répandre leur amertume sur les réseaux sociaux. Sur les photos associées à leur profil, ils avaient plus ou moins la même gueule que lui, le même sourire rare, la même peau terne, le même air satisfait malgré tout. Il y avait longtemps que la jeunesse les avait fui, comme si, saisie par la peur de contracter des rides, elle avait voulu se réfugier dans les bras de Tik Tok, Instagram ou Snapchat. Leur mot d’ordre à tous était : " C’était mieux avant ", mais on ignorait de quel " avant " il s’agissait, un " avant " idéalisé et figé dans des chromos dont les couleurs s’étiolaient. La nostalgie n’est parfois qu’une forme d’amnésie, rompue à la censure et aux tours de passe-passe. La nostalgie vaut surtout pour tous ceux qui ont toujours été vieux, absolument pas modernes, doués pour l’inertie et l’anesthésie, rouillés dès la venue au monde.

Ils se croisaient là comme on se retrouve au bar, sans vergogne, les doigts fouillant dans le bocal de cacahuètes grillées, autant pour en extraire la saveur familière du sel que celle des antiennes réactionnaires. D’être en vie et de pouvoir maugréer contre le présent leur suffisaient. Sauf qu’en vie, ils étaient de moins en moins nombreux à l’être, le réseau prenant inéluctablement des allures d’obituaire. A la conscience aigüe d’être en sursis s’ajoutait ainsi la certitude d’appartenir à une nouvelle génération de " suivants ", si chers à Brel. Pourtant, ils étaient ses semblables et ce constat, irréfutable, le rendait malade. Il participait de son désenchantement, comme si toute son existence n’avait eu pour seule vocation que d’échouer contre ce mur de lamentations et de félins. Par désespoir autant que par ironie, il glissa sur le fil une photo de Béhémoth, son vieux matou sourd, puis ouvrit la fenêtre et laissa son corps lesté d’idées noires basculer dans le vide. Ses ami.e.s virtuel.les, trop occupé.e.s à filtrer leurs selfies, n’en eurent pas même connaissance.

Auteur: Chiuch Lionel

Info:

[ passéistes ] [ suicide anonyme ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

décadence politique

Vous avez cette espèce de porc de [François] Hollande, débordant de graisse, satisfait de lui-même, qui donne la main à cette mascarade [le concert de Black M à Verdun], très fier de sa petite provocation, parce que ces types, c’est plus fort qu’eux - on retrouve ça chez Macron -, ils ont un besoin compulsif d’insulter le petit peuple. C’est quelque chose qui est absolument central dans leur personnalité. Et pour eux, la meilleure façon de le signifier, c’est en "transgressant". Ils ont l’impression de transgresser. Ils ne transgressent rien en fait, ils sont totalement dans la ligne dominante et son idéologie. Mais ils ont l’impression au contraire de sortir des clous. Et en fait c’est une façon pour eux de se distancer du petit peuple.

Alors pour eux c’est très drôle, ils vous emballent l’Arc de triomphe. Bon, il se trouve que c’est une sépulture et on appelle ça, en bon français, une profanation. En plus, Macron décrète que vous payez pour ça. Hollande, il fait sa petite profanation. On aura probablement un autre président, [...] on aura droit à un autre truc à peu près du même goût. [...] Et ça va de plus en plus loin parce que c’est le phénomène d’entraînement. À partir du moment où le Président de la République fait ça, tous les politiciens en herbe veulent singer mais pour faire pire. Je vous donne un exemple [...] : c’est à Rouen, il y a la statue de Napoléon. [...] Et alors, le nouveau maire, une espèce de crapule de gauche, qui posait d’ailleurs un genou par terre comme une espèce de carpette lors du délire collectif à propos de Georg Floyd, ce sale nègre, camé, ayant braqué des femmes enceintes et qui est mort simplement d’overdose, ce que personne n’explique, lors de cette phase de délire collectif dans le monde occidental, ce maire de Rouen s’est mis en scène. Et alors, il est très sensible à ce que tous les dégénérés wokistes exigent [...] : il veut se débarrasser de la statue de Napoléon et à la place il veut mettre un bidule déconstruit. Une bouse qui va encore coûter une fortune bien sûr. Et d’ailleurs, ils ont fait un truc temporaire sur ce site qui est une caricature de Napoléon. Je ne sais plus comment ça s’appelle mais il y a une espèce d’artiste gauchiste qui a posé un truc qui ne ressemblait à rien, mais c’est temporaire. Ils viennent tous dégueuler. [...] Finalement, ce que ça nous enseigne, toutes ces insultes de la part de cette bourgeoisie – parce que c’est la bourgeoisie qui s’exprime – toutes ces insultes ne rencontrent pas d’opposition. Et le truc qui est vraiment nouveau, c’est que maintenant la bourgeoisie peut insulter le petit peuple, mais il le fait au nom d’une mystique de gauche. Donc contre les frontières contre le patriarcat et bla-bla-bla et pour la tolérance. Et cette bourgeoisie arrogante qui insulte le petit peuple le fait avec l’aplomb de ceux qui croient en leur domination morale et comme c’est un argument de gauche pseudo populaire, finalement le petit peuple n’ose pas répondre, parce qu’il n’a pas envie de se faire fasciser. Parce que vous savez, quand vous vous opposez, vous êtes un fasciste et un nazi, ça va très vite. Et du coup ils se taisent, ils ont peur. Parce que les autres ils ont tous les arguments. Si vous toussez parce qu’on veut enlever la statue de Napoléon, on vous traite de fasciste, ça va très vite. Et pareil avec tout. Quand les gens bronchaient par rapport à l’empaquetage de l’Arc de Triomphe, ils ont dit : ah oui, bien sûr, évidemment, les fascistes. Le petit peuple se fait fermer sa gueule. Donc il se tait, et il subit.

Auteur: Internet

Info: Transcription d'un extrait du podcast de Démocratie participative S06E40

[ violence de classe ] [ art contemporain ] [ censure ] [ écrasement moralisateur ] [ interdiction de penser ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson