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présupposé psychanalytique

Ce que je mets ici au principe de l’expérience analytique, c’est la notion qu’il y a du signifiant déjà installé, et déjà structuré. Il y a déjà une usine faite, et qui fonctionne. Ce n’est pas vous qui l’avez faite. Cette usine, c’est le langage, qui fonctionne là depuis aussi longtemps que vous pouvez vous en souvenir. Littéralement, vous ne pouvez pas vous souvenir au-delà, je parle de l’histoire de l’humanité dans son ensemble. Depuis qu’il y a là des signifiants qui fonctionnent, les sujets sont organisés dans leur psychisme par le jeu propre de ces signifiants. De ce fait, le Es [le ça], que vous allez chercher dans les profondeurs, n’est pas quelque chose de si naturel que ça, et moins encore que les images. [...]

Le scandale de ce fait, voilà où gît la position analytique. Quand nous abordons le sujet, nous savons qu’il y a déjà dans la nature quelque chose qui est son Es, et qui est structuré selon le mode d’une articulation signifiante marquant tout ce qui s’exerce chez ce sujet de ses empreintes, de ses contradictions, de sa profonde différence d’avec les coaptations naturelles.

Auteur: Lacan Jacques

Info: dans le "Séminaire, Livre IV", "La relation d'objet", éditions du Seuil, 1994, page 66

[ ordre symbolique ] [ être-jeté ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

civilisation

Je ne suis pas d'accord concernant cette volonté d'immortalité (quel ennui pour beaucoup, à la longue...) qui serait le moteur de la progression humaine. Je crois sincèrement que nous sommes encore des singes - placé pour le savoir - qui fonctionnent encore et toujours avec des réflexes de peur instinctif vis à vis des choses incompréhensibles ou peu claires, la mort bien sûr, mais surtout la souffrance. Que cette recherche du confort et de l'éloignement de la douleur nous aient conduit à durer plus longtemps soit une progression de la race je n'en suis pas certain. Je peux observer toutes les personnes âgées qui "trainent" littéralement leurs fins de vie, processus qui n'est pas près de s'arrêter, surtout chez nous en Suisse où le niveau de vie permet de constater la part absurde (économique et humaine) de la chose. Pour pousser plus loin je dirai que nous autres judéo-chrétiens, en plus de nos habitudes avides, maintenant auto générées par les arguments pousse-à-jouir de la société de consommation, sommes probablement beaucoup trop centrés sur l'homme, qui n'est qu'une toute petite partie d'un processus global. Ethnocentrisme compulsif qu'on retrouve, j'en ai peur, chez la majorité des individus, surtout jeunes. Nous avons beaucoup à apprendre et à réfléchir sur nos habitudes et notre niveau de vie.

Auteur: MG

Info: oct 2008

[ religion ]

 

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monothéïsme

En lui donnant une identité, un corps, y compris le cerveau, et en créant les lois de la nature qui doivent s'appliquer à l'homme, mais qui peuvent aussi être comprises et interprétées par l'homme, Dieu nous a donné la liberté de la volonté, et donc la responsabilité personnelle. Nous ne sommes pas des machines! Ceci doit être considéré comme un don de Dieu, ou un acte ultime de la grâce divine. En aucun cas notre libre arbitre n'interfère avec la toute-puissance ou l'omniscience de Dieu; cela empêche que nos vies ne deviennent des processus mécanisés préétablis, laissant la place à l'offrande de conseils, d'amour et d'aide de Dieu par la prière ou la méditation. C'est bien sûr notre libre arbitre qui permet la poursuite du mal. On pourrait se demander, pourquoi Dieu créerait-il un monde dans lequel le mal est permis? C.S. Lewis a répondu très clairement à ce problème dans son livre Mere Christianity. Le libre arbitre, même s'il rend possible le mal, est aussi la seule chose qui rend possible tout amour de bonté ou de joie qui en vaut la peine. Un monde d'automates - de créatures qui fonctionnent comme des machines - ne vaudrait pas la peine d'être créé." C'est par cet acte de grâce divine que Dieu nous permet de l'accepter ou de le rejeter, de chercher la connaissance ou de rester ignorants. Pourtant, tout cela ne diminue en rien son pouvoir et sa connaissance universels.

Auteur: Margenau Henry

Info: Postface de : The Miracle of Existence

[ religion ]

 

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architecture

Le secret de la longévité du béton romain percé par des scientifiques.

Il est connu que les constructions érigées par les Romains il y a 2000 ans et plus résistent extrêmement bien aux outrages du temps. Une équipe de scientifiques avec participation suisse est parvenue à percer le secret de la longévité du béton romain.

Les chercheurs se sont penchés sur des échantillons d'un mur en béton de l'époque romaine vieux de 2000 ans provenant du site archéologique de Priverno, près de Rome. Les analyses effectuées notamment aux rayons X ont montré que le béton avait été mélangé à chaud avec adjonction de chaux vive.

Le résultat est la présence de gros agrégats de chaux qui, en présence d'eau, fonctionnent comme source de calcium et remplissent les espaces vides. Le calcium réagit aussi avec un autre additif utilisé par les Romains, la pouzzolane, une roche volcanique, créant des structures cristallines qui deviennent de plus en plus dures avec le temps.

Autoguérison

Le béton s'en trouve ainsi renforcé. Les agrégats de chaux réagissant avec l'eau qui s'infiltre par d'éventuelles fissures lui confèrent une capacité d'autoguérison, et ce sur des millénaires, selon les auteurs, qui affirment avoir mis au point leur propre recette de béton durable sur la base de ces recherches.

Des chercheurs de l'institut de mécanique des matériaux IMM SA à Grancia (TI) ont également contribué à cette étude publiée dans la revue Science Advances.

Auteur: Internet

Info: https://www.rts.ch/info/sciences-tech, 7 janv. 2022

[ ciment ] [ historique ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

représentations scientifiques

L’idée d’un ordre mécanique remonte à Descartes autour de 1640. Son idée est que si l’on désire comprendre le fonctionnement d’une chose, il est possible de le découvrir en la regardant telle qu’une machine. Cette chose qui nous intéresse doit être isolée du reste - le roulement d’une bille, la chute d’une pomme, la circulation du sang - puis on construit un modèle mécanique, un jouet mental obéissant à certaines règles qui en répliquera le comportement. C’est en raison de la pensée cartésienne qu’il a été possible de découvrir au sens moderne le fonctionnement des choses.

Mais le point crucial que Descartes comprenait parfaitement et que souvent nous oublions, est que ce processus n’est qu’une méthode. Cette affaire de séparer les éléments, de les morceler pour les réagencer ensuite dans un modèle de comment les choses fonctionnent ne constitue pas la réalité. Il s’agit d’un exercice mental pratique que nous appliquons à la réalité pour la comprendre.

Descartes lui même concevait son procédé comme un exercice intellectuel. C’était un religieux qui aurait été horrifié de découvrir que les Hommes du XXème ont commencés à confondre le modèle pour la réalité. Mais depuis le vivant de Descartes son idée pris de l’élan, et le monde a compris qu’il était vraiment possible de découvrir le fonctionnement de la circulation sanguine ou la naissance des étoiles en les regardants comme des machines; et après avoir utilisé ce procédé du XIIème jusqu’au XXème pour découvrir les choses dans leur aspect mécanique, un basculement vers un nouvel état d’esprit eu lieu, traitant la réalité comme si son image mécanique constituait réellement la nature des choses comme si toute chose était machine.

Auteur: Christopher Alexander

Info: Nature of order

[ canevas ] [ dispositif ] [ contingentement ] [ historique ]

 
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Ajouté à la BD par Patate

concept psychanalytique

On me dit que, dans le cas de l’usine, ce qu’il y a avant, c’est l’énergie. Je n’ai jamais dit autre chose. Mais entre l’énergie et la réalité naturelle, il y a un monde. L’énergie ne commence à entrer en ligne de compte qu’à partir du moment où vous la mesurez. Et vous ne songez à la mesurer qu’à partir du moment où des usines fonctionnent. [...] En d’autres termes, la notion d’énergie est effectivement construite sur la nécessité qui s’impose d’une civilisation productrice voulant se retrouver dans ses comptes – quel travail est-il nécessaire de dépenser pour obtenir une rétribution disponible d’efficacité ? [...]

Mais la question n’est pas là. La question est qu’il faut que certaines conditions naturelles soient réalisées pour que l’énergie ait le moindre intérêt à être calculé. [...] On n’installe une usine que là où certaines choses privilégiées se présentent dans la nature comme utilisables, comme signifiantes et, en l’occasion, comme mesurables. Il faut déjà être sur le chemin d’un système pris comme signifiant. Cela n’est point à contester.

L’important est le rapprochement que j’ai fait avec le psychisme. Voyons maintenant comment il se dessine.

Freud a été porté par la notion énergétique à forger une notion dont on doit user dans l’analyse d’une façon comparable à celle de l’énergie. C’est une notion qui, tout comme celle de l’énergie, est entièrement abstraite, et qui consiste en une simple pétition de principe, destinée à permettre un certain jeu de la pensée. Elle permet uniquement de poser, et encore de façon virtuelle, une équivalence, l’existence d’une commune mesure, entre des manifestations qui se présentent comme qualitativement fort différentes. Il s’agit de la notion de libido.

Auteur: Lacan Jacques

Info: dans le "Séminaire, Livre IV", "La relation d'objet", éditions du Seuil, 1994, pages 57 à 59

[ défini ] [ naturalité démystifiée ] [ mesure objectivée ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

parapsychologie

Je ne connais aucun rituel magique parce que je n’y crois pas. Donc pour moi, je ne vous recommanderais pas l’exorcisme ou autres rituels. Ces moyens ne fonctionnent que si tous ceux qui sont en présence y croient, alors ce serait légitime. Je connais le cas d’une étable qui était hantée, quelque chose d’assez fréquent, ici, en Suisse. Alors, on faisait appel à un père franciscain pour qu’il vienne purifier spirituellement l’étable au moyen d’un savoir particulier auquel il avait été formé. C’est un véritable "medicine-man" sachant s’y prendre avec les esprits malins et les fantômes, en utilisant la magie de son Eglise, l’exorcisme. Autre exemple, parmi les animaux du petit cirque "Knie" un éléphanteau souffrait de diarrhée. Tous les vétérinaires des environs avaient prodigué leurs meilleurs soins, mais rien n’y faisait et l’éléphant ne guérissait pas. Alors, on fit venir le "medecine-man", ce père franciscain du monastère. Il parla à l’éléphant pendant trois demi-heures, il lui massa le dos, le regarda longuement dans les yeux et lui dit qu’il devait arrêter d’être malade, se soumettre, et être gentil. Et tout à coup, tout en le regardant toujours intensément dans les yeux, il dit : "A présent, il veut bien être guéri. Demain, il sera sur pied. Ne faites plus rien, il s’est soumis". Et le lendemain il était debout, sur pied. Voilà de la médecine primitive authentique, c’est ce que fait le "medecine-man", il fait pénétrer quelque chose dans les têtes. Ce petit éléphant à juste réagit comme n’importe quel être humain sensible, ou n’importe quel enfant. Nous autres ne pourrions pas pratiquer de pareille magie, car nous avons du mal à y croire. Si nous étions capables d’y croire, nous serions redescendus à un autre niveau et à ce niveau, notre conscience serait encore tellement circonscrite, avec une portée tellement limitée, que nombre de ses contenus psychiques ne seraient pas conscients, mais extériorisés.

Auteur: Jung Carl Gustav

Info: Dans "L'analyse des visions"

[ pouvoirs ] [ chamane ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

biophysique

Un simple électron à l'origine de l'adaptation des bactéries
Une équipe de l'IBS a déterminé la structure d'une metalloprotéine présente chez les bactéries et explique par là-même comment ses gènes sont bavards... ou muets !

Si le Vivant est composé essentiellement de matière organique, une très grande quantité de processus naturels dépendent directement de facteurs inorganiques. Ainsi, près de 40 % des protéines ne fonctionnent que parce qu'elles fixent un ou plusieurs ions métalliques (sodium, magnésium, calcium, fer, zinc, cuivre, etc.). Ce sont les métalloprotéines. Ces protéines contiennent ainsi des agrégats inorganiques qui interviennent dans des réactions biosynthétiques et métaboliques d'une très grande importance pour la vie cellulaire. Par exemple, les agrégats fer-soufre [Fe-S], ubiquitaires chez les animaux, les plantes et les bactéries sont essentiels pour le transfert d'électrons (respiration, photosynthèse) ou la régulation de l'expression des gènes.

Des chercheurs de l'IBS se sont intéressés à la métalloprotéine bactérienne RsrR comportant un centre [2Fe-2S]. RsrR participe au contrôle de l'accès au génome de la cellule, permettant, ou non, l'expression de certains gènes. Ils ont déterminé sa structure cristalline grâce à des études de diffraction de rayons X. "Nous avons montré que RsrR a la particularité de moduler sa fixation sur l'ADN grâce à la réduction à un électron de son agrégat [2Fe-2S], explique Juan Carlos Fontecilla-Camps, chercheur à l'IBS. Cet agrégat est lié à RsrR par quatre résidus d'acides aminés (deux cystéines, un glutamate et une histidine), une coordination jusque-là jamais observée dans une protéine." Les scientifiques ont également constaté, suivant la forme cristalline de la protéine et son état d'oxydation, la rotation d'un autre résidu d'acide aminé (un tryptophane) qui pourrait être à l'origine de la modulation de sa fixation à l'ADN.

Ces travaux jettent les bases structurales pour comprendre comment un effecteur aussi petit qu'un électron va pouvoir induire des changements structuraux responsables d'une réponse adaptée de la bactérie à son environnement. Internet,

Auteur: Internet

Info: https://www.techno-science.net, Adrien le 15/02/2019, source CEA

[ évolution ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

H

Cette lettre symbolise l'hydrogène, de numéro atomique 1, qui est l'élément chimique le plus simple et le plus abondant de l'univers.

Les étoiles brillent parce qu'elles transforment d'immenses quantités d'hydrogène en hélium. Notre Soleil, à lui seul, consomme 600 millions de tonnes d'hydrogène par seconde, qu'il convertit en 596 millions de tonnes d'hélium. Imaginez un peu : 600 millions de tonnes par seconde! Et même la nuit !

Mais où partent les quatre millions de tonnes de différence par seconde ? Ils sont convertis en énergie, selon la célèbre formule d'Einstein : E = mc2. Un peu plus de mille cinq cent quatre-vingt-sept grammes par seconde partent vers la Terre où ils vont créer la lumière de l‘aube, la chaleur d'un après-midi d'été ou le flamboiement du crépuscule.

La consommation effrénée d'hydrogène par le Soleil nous fait tous vivre, mais l'importance de cet élément pour la vie telle que nous la connaissons commence plus près de chez nous. L'hydrogène s'allie en effet à l'oxygène pour former les nuages, les océans, les lacs et les rivières. Il se combine au carbone, à l'azote et à l'oxygène pour former la chair et le sang de tous les êtres vivants.

L'hydrogène est le plus léger de tous les gaz - plus léger même que l'hélium - et il coûte beaucoup moins cher, d'où son emploi malencontreux dans les premiers aéronefs comme le Hindenburg. Vous avez sans doute entendu parler de cette tragédie - bien que, dans les faits, les passagers soient morts des suites de leur chute et non brûlés par l'hydrogène, moins dangereux à transporter dans un véhicule que de l'essence.

L'hydrogène est l'élément le plus abondant, le plus léger et le plus apprécié des physiciens parce qu'avec un seul proton et un seul électron, leurs formules de mécanique quantique fonctionnent à merveille. Dès que l'on passe à l'hélium (avec deux protons et deux électrons), les physiciens abandonnent le terrain aux chimistes.

Auteur: Gray Theodore

Info: Atomes : Une exploration visuelle de tous les éléments connus dans l'univers

[ nanomonde ] [ science fondamentale ] [ résumé ] [ abrégé ] [ source ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

validation subjective

Sur un phénomène qui a une probabilité très faible de se produire dans un temps donné, nous nous concentrons sur les rares cas qui fonctionnent en effaçant les nombreux échecs. Nous créons alors une solide illusion d’efficacité appelée "le biais du survivant".

Dans nos esprits, le fait d'écrémer les rares cas qui "marchent" en effaçant les cas nombreux qui échouent s’appelle le "biais du survivant".

La facilité de la disponibilité

Ce biais du survivant est de la même famille que l’effet Barnum expliqué dans l’épisode précédent. Il s’agit d’une forme de biais de sélection, qui nous fait préférer les événements confirmant nos attentes et nos croyances, aux événements qui les réfutent. En quelque sorte, ce biais nous cache les preuves silencieuses des événements qui ne valident pas l’hypothèse que l'on s'est fixée au départ.

Que se passe-t-il exactement dans notre cerveau ? Ce n’est pas encore très clair : il semble qu’il y ait un mélange entre des mécanismes "chauds", motivés par nos croyances et nos attentes, comme dans l’effet Barnum ; et des mécanismes dits "froids", cognitifs, qu’il est difficile de maîtriser, un peu comme des inclinaisons mentales, des pentes cérébrales douces.

L’une de ces pentes porte le nom barbare "d’heuristique de disponibilité" : nous aurions tendance à prendre les idées, les infos, les preuves les plus disponibles, à moindre coût, moindre effort. Comme certains le disent, "la motivation crée le biais", et les facteurs cognitifs amplifient l’effet. Autrement dit, par "facilité", le cerveau ne retient pas l’immense majorité des cas qui ont échoué, et donc 100 % des cas dont on se rappelle sont des cas qui valident la prétention de départ.

Nous sommes plus friands de raconter les cas qui ont marché avec un rebouteux par exemple ; alors que les histoires d’échec de soin de rebouteux sont, elles, bien plus nombreuses. En somme, le biais du survivant est une sorte d’illusion cognitive qui vient flatter nos intuitions.

 

Auteur: Monvoisin Richard

Info: https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/votre-cerveau/le-biais-du-survivant-5761547

[ ratification cognitive ]

 
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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste