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pédagogie

[...] Ivan Illich forgeait la notion de "convivialité" à travers laquelle il montrait que notre développement produisait plus de maux que de bienfaits ; la médecine hyperspécialisée soigne davantage les organes que des personnes ; l'éducation qui fragmente la connaissance conduit à plus d'aveuglement que d'élucidation, etc.

Auteur: Morin Edgar

Info: L'An I de l''ère écologique et dialogue avec Nicolas Hulot, p.111, Tallandier, 2007

 

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femme-par-homme

L'ange Asaël baissa la tête et ses pensées s’envolèrent à travers les millénaires pour remonter au début des temps. "Oui, elle était belle, Naéma, sœur de Tubalcaïn qui forgeait les broches et les chaînes en or, répondit-il à mi-voix. Elle était belle et gracieuse. Elle était belle comme un jardin de printemps, à l'heure où point le jour. Oui, elle était belle, la fille de Lamech et de Silla."

Et tandis qu'il se souvenait de la bien-aimée de sa lointaine jeunesse, deux larmes coulèrent sur les joues de l'ange. C'était des larmes d'homme.

Auteur: Perutz Leo

Info: La nuit sous le pont de pierre

[ moitié irremplaçable ] [ intemporelle ] [ nostalgique incarnation ] [ réminiscence ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

rapports humains

Oh ! oui, elle savait rentrer ses émotions, ses blessures, sa douleur, elle ne faisait même que ça. Elle était devenue une championne dans sa catégorie. A part cette nuit quand elle était venue trouver Johan... Johan qui n'était même pas là pour l'écouter, pour l'entendre. Des mots, des mots bruts sortis du coeur, le sang de son âme, versés en vain. Son père avait peut-être raison, après tout, on ne devrait jamais se livrer, en aucune circonstance, pour ne pas laisser les autres avoir barre sur vous ni leur offrir la possibilité de vous blesser. On se forgeait une armure de silence et de solitude, et on s'y retranchait, pour mieux s'y dessécher, lentement, tranquillement, de l'intérieur, jusqu'à ce qu'enfin il ne deumeure plus que cette cuirasse et rien dedans, un tronc sec dont la sève et les entrailles ont disparu, faute d'amour, et de tendresse, de complicité, pour les irriguer.

Auteur: Marcastel Jean-Luc

Info: Le dernier hiver

[ masque ] [ solitude ]

 

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