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femmes-hommes

Si quelque chose ne marche pas nous pouvons le fracasser avec un marteau et le balancer à travers la pièce.

Auteur: Internet

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[ avantage-homme-sur-femme ]

 

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intelligence artificielle

La reconnaissance de formes et l'association sont au cœur de notre pensée. Ces activités impliquent des millions d'opérations réalisées en parallèle, hors du champ de notre conscience. Si l'IA a semblé se fracasser contre un mur de briques après quelques victoires rapides, c'est parce qu'elle n'a pas réussi à imiter ces processus.

Auteur: Crevier Daniel

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[ limitation ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

question

Il n'y a qu'une seule demeure pour le mollusque, un seul abri pour la tortue, une seule coquille pour l'âme humaine. Il n'y a qu'un seul monde pour l'esprit de notre race. Si ce monde dévie de son cours et se fracasse sur les rochers du néant, quel monde nous donnera asile ?

Auteur: Soyinka Wole

Info: La mort et l'écuyer du roi

[ avenir ]

 

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imagination

J'ai déjà le chapitre suivant en tête : une jolie méduse translucide qui ne se sent pas bien dans ses tentacules et qui va bientôt s'évanouir dans notre baignoire : Margot m'appelle d'une voix stridente, je glisse sur une savonnette, me fracasse le crâne contre le bord du lavabo et me retrouve moi aussi dans le coma.

Auteur: Youri De Paz

Info: Réveille-Martin

[ syncope ] [ tomber dans les vapes ] [ fantaisie ]

 

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enfance

Moi les mots, j'aime bien. J'aime bien les phrases longues, les soupirs qui s'éternisent.
J'aime bien quand les mots cachent parfois ce qu'ils disent; ou le disent d'une manière nouvelle.
Quand j'étais petite, je tenais un journal. Je l'ai arrêté le jour de la mort de maman. En tombant, elle a aussi fait tomber mon stylo et se fracasser plein de choses.

Auteur: Delacourt Grégoire

Info: La liste de mes envies

[ deuil ]

 

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hyper-complexité

Nous sommes des chimistes et donc des chasseurs, les deux espérances de la vie adulte dont parlait Pavese sont les nôtres : le succès et l’échec, tuer la baleine blanche ou fracasser le bateau ; nous ne devons pas nous rendre devant la matière incompréhensible, nous ne devons pas baisser les bras. Nous sommes ici pour ça, pour nous tromper et pour nous corriger […]. Il ne faut jamais se sentir désarmés : la nature est immense et complexe, mais elle n’est pas imperméable à l’intelligence ; il faut lui tourner autour, la piquer, la sonder, chercher un passage ou s’en frayer un.

Auteur: Levi Primo

Info: Il Sistema Periodico, op. cit., pp. 66

[ chercheurs ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

animal domestique

Ah, ces chiens… ces petits chiens… voyez-vous, mesdames, messieurs, c’est comme les oiseaux de Dieu ! observa soudain tout haut le docteur Morell. D’un côté, ils énervent et on a parfois envie de les saisir par les pattes pour les fracasser contre un mur. Que leur cervelle jaillisse. Et d’un autre côté, on a le cœur serré, on caresse son petit chien, on le cajole et aussitôt on ressent dans son esprit une telle clarté. Une clarté, mesdames, messieurs ! Comme… comme…disons… comme à Munich quand le foehn cesse et que l’on peut de nouveau réfléchir de façon productive.

Auteur: Sorokine Vladimir Georgievic

Info: Le lard bleu

[ extrémités ] [ pulsion ]

 

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fierté

Ce qui explique en outre l'affluence de telles ribaudailles aux jours d'exécution, c'est que le protagoniste de la tragédie est toujours un parent, une connaissance, souvent un complice. On va voir pendre son cousin, rouer son ami, bouillir ce galant homme dont on passait la fausse monnaie. Manquer à cette fête serait une impolitesse. Pour un condamné, il est agréable d'avoir autour de son échafaud un public de figure connues. Cela soutient et ranime l'énergie. On ne veut pas être lâche devant des appréciateurs du vrai mérite, et l'orgueil vient au secours de la souffrance. Tel, ainsi entouré, meurt en Romain, qui ferait la femmelette s'il était dépêché incognito au fond d'une cave.

Auteur: Gautier Théophile

Info: Le Capitaine Fracasse

[ exécution publique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

scène de ménage

Pali de Paris, Mika de Berlin arrivés le même jour, on va les prendre en voiture de location à la gare de Delémont, on les monte et leur barda jusqu'en vieille ville, on soupe chez mon voisin d'au-dessus qui a plus grand et va donc les héberger, à nos frais certes, mais quelle noce ce soir là, avec aussi le voisin d'à côté sous LSD qui en caleçon est muni d'une hache engueule et course sa femme, elle gravit l'escalier, vient frapper, nous on est à l'apéro, on la laisse venir se cacher, puis Teddy qui fracasse notre porte, mais sa proie ayant sauté par la fenêtre, Teddy s'arrête dans notre cuisine, on le calme, on lui passe du couscous, il se détend vite, déjà il roule et picole de nouveau ! S'excusant il distribue des buvards, on gobe, enfin l'expédiant au lit on le désarme et nous on sort au bistrot, Pali et Mika n'ayant pas manqué de gober eux-aussi, nous suivent en costume de chasse direction le Café d'Espagne.

Auteur: Montavon Stéphane

Info: Le Bouge, p 97. L'Age d'homme, 2019

[ acide ] [ bringue ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

tourments internes

Elle a couru derriere moi, la folie... tant et plus pendant vingt-deux ans. C’est coquet. Elle a essayé quinze cents bruits, un vacarme immense, mais j’ai déliré plus vite qu’elle, je 1’ai baisée, je 1’ai possédée au "finish". Voila ! Je déconne, je la charme, je la force a m’oublier. Ma grande rivale c’est la musique, elle est coincée, elle se détériore dans le fond de mon esgourde... Elle en finit pas d’agonir... Elle m’ahurit a coups de trombone, elle se défend jour et nuit. J’ai tous les bruits de la nature, de la flüte au Niagara... Je promène le tambour et une avalanche de trombones... Je joue du triangle des semaines entières... Je ne crains personne au clairon. Je possède encore moi tout seul une volière compléte de trois mille cinq cent vingt-sept petits oiseaux qui ne se calmeront jamais... C’est moi les orgues de 1’Univers... J’ai tout fourni, la bidoche, 1’esprit et le soufflé... Souvent j’ai 1’air épuisé. Les idéés trébuchent et se vautrent. Je suis pas commode avec elles. Je

fabrique 1’Opéra du déluge. Au moment oü le rideau tombe c’est le train de minuit qui entre en gare... La verrière d’en haut fracasse et s’écroule... La vapeur s’échappe par vingt-quatre soupapes... les chaïnes bondissent jusqu’au troisième... Dans les wagons grands ouverts trois cents musiciens bien vinasseux déchirent 1’atmosphère à quarante-cinq portées dun coup...

Depuis vingt-deux ans, chaque soir elle veut m’emporter... a minuit exactement... Mais moi aussi je sais me défendre... avec douze pures symphonies de cymbales, deux cataractes de rossignols... un troupeau complet de phoques qu’on brüle a feux doux... Voila du travail pour célibataire... Rien a redire. C’est ma vie seconde. Elle me regarde.

Auteur: Céline Louis-Ferdinand

Info: Mort à credit.

[ autofiction ] [ délire ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste