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nazisme philosophique

Voilà 10 ans que Heidegger a été fini par un linguiste, François Rastier - oui, véritablement et ironiquement anéanti, ce négationniste en chef, grâce à un parcours à travers ses plus "grandes" oeuvres et sa correspondance - Rastier frappait l'homme et le philosophe, le nazi et le penseur, sa vie et son oeuvre de l'inanité la plus rance qui soit, ainsi que ses innombrables suiveurs de la French et de l'Italian Theory... Seyn égalait Vaterland. Combien de nous ont passé des heures à donner crédit au grand arnaqueur, combien de bibliothèques et de mémoires, combien d'arguments d'autorité ? Et combien continuent à s'aveugler sur des chemins qui ne mêlent nulle part pavés des pires intentions, combien à sauver l'insauvable ? 10 ans après Rastier, si les universités ne se sont pas purgées de leur littérature heideggérienne, c'est pour la seule et mauvaise raison qu'il aurait fallu jeter au moins la moitié, l'influence de l'ami de l'immense Char ayant été sur la pensée occidentale - krolossale!

Auteur: Montavon Stéphane

Info:

[ vacherie ] [ compromission académique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

femmes-hommes

Quand elle rit, elle produit un son carillonnant, comme celui d'une sonnette. Si je lui disais que je l'aimais, elle me rirait au nez de la même façon. Elle penserait que je ne suis pas sérieux. C'est ce que pensent les femmes. Elles transforment ce qui est important et sérieux en un truc ridicule, une blague. L'amour n'est pas une blague. C'est une question de vie ou de mort. Un jour, bientôt, elle comprendra. Elle apprendra que la façon dont elle sourit, dont elle ouvre grands les yeux quand elle écoute, la façon qu'ont ses seins de s'aplatir quand elle lève les bras au-dessus de la tête, ces choses-là ont de l'importance. Elle sourit trop facilement. Elle rit trop facilement. Elle flirte. Elle porte des vêtements très légers. Je vois ses jambes sous sa robe. Je devine la forme de ses tétons. Elle ne fait pas attention à elle.
Elle parle très vite, d'une voix légère, embuée. Elle dit :"ouais", pas oui. Elle a les yeux gris. Elle n'a pas encore peur.

Auteur: French Nicci

Info: Dans la peau

[ femmes-par-hommes ] [ prédation ] [ naïveté ]

 

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vêtements féminins

Ce soir-là Daphné s'habillait pour se rendre à l'Opéra, au bal du grand prix. La fête était dédiée aux ombres de Paul et Virginie. Dans l'espoir de plaire à J.G. Domergue, elle mit une robe d'ananas avec cacatoès, disait-elle stylisés. Puis elle passa dans la chambre d'Iris. Iris était costumée en sauvage. Elle portait sur la tête un diadème de lianes électriques dans l'espoir d'être remarquée de Beltran y Masses. Iris venait d'un état pluvieux du centre-ouest américain et d'une excellente famille démocrate, Luthérienne et maçonnique depuis 1921 ; sa mauvaise réputation marchait à grandes journées, bien qu'elle eût été envoyée en France pour acquérir le fini français, ou french polish (c'est-à-dire que maintenant quand elle se prenait un pied dans le tapis elle disait m.....) . Plus cet ange extravagant se conduisait mal, plus les puits de pétrole de sa dot augmentaient leurs rendements, car le centre de la terre appartient au diable. C'est Iris qui aide Daphné dans sa lutte contre la pauvreté, avec le succès qu'on devine.

Assez échauffées par le vin et par les cris, serrées l'une contre l'autre les deux femmes se promenaient dans les couloirs de l'Opéra. Une nourrice nègre patrouillait de ci et de là. A en juger par sa taille et sa démarche ce devait être un homme et même un homme âgé.

Auteur: Morand Paul

Info: L'Europe galante (1925, 250 p., Grasset, les cahiers rouges, p.219)

[ classe ] [ élégance ] [ faute de goût ] [ inélégance ] [ accoutrement ]

 

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progressisme

Le mouvement woke est comme le Coca-cola et Halloween un produit d'importation américaine. Mais ses origines idéologiques se situent dans la french theory, c'est-à-dire chez les philosophes français “post-modernes” ou les théoriciens de la “déconstruction” – un terme qui constitue le principal slogan du mouvement woke. Or, ces penseurs sont tous des adversaires résolus du marxisme. S'ils adoptent volontiers un discours “anticapitaliste”, ils refusent la centralité de la lutte des classes autant que la figure de la classe ouvrière en tant sujet historique. Chez tous la classe ouvrière et ses organisations sont “ringardisés” : trop de conservatisme, trop de stéréotypes. On leur préférera les schizophrènes (Deleuze), les "taulards" (Foucault), les minorités notamment les immigrés (Badiou destitue très tôt la classe ouvrière française de tout rôle révolutionnaire au profit de la figure rédemptrice de l'immigré), les mouvements féministes, la “queer attitude” (encore Foucault).

Tous ces courants, qui ont fleuri dans les années post-soixante-huit, considèrent, comme Michel Foucault, que la question du pouvoir d'État comme question centrale est dépassée et qu'il est nécessaire de s'opposer d'abord aux “micro-pouvoirs” et aux “disciplines” qui domestiquent l'individu. C'est encore chez Foucault et son élève américaine Judith Butler qu'est revendiquée la nécessité des “identités flottantes” contre les “assignations sociales” à une seule identité sexuelle. Remarquons enfin que, comme Foucault admirateur de la “révolution islamique” de Khomeiny, l'idéologie woke sacralise l'islam, considéré comme l'allié du mouvement contre les mâles blancs hétérosexuels. […]

On peut critiquer le marxisme, en n'oubliant pas de distinguer le marxisme et le penseur Marx, mais en aucun cas, on ne peut le rendre responsable du mouvement woke. S'il y avait encore dans ce pays des marxistes sérieux, nul doute qu'ils seraient à la pointe du combat contre ces folies qui trouvent dans certains secteurs du capital une oreille complaisante mais sont dirigées d'abord contre les ouvriers, ces “salauds de pauvres”, ces “beaufs” qui savent bien que le travail reste la question centrale pour nos sociétés.

Auteur: Collin Denis

Info: "Le wokisme est-il un produit du marxisme ?", dans Le Figaro Vox du 4 décembre

[ historique ] [ anti-populisme ] [ fief de résistance ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

french kiss

Nous ne nous sommes même pas embrassés ni regardés dans les yeux. Nos lèvres se sont juste introduites par effraction dans des labyrinthes intérieurs profondément enchâssés entre nos oreilles, les ont remplis de la musique secrète des mots vicieux, les siens dans de nombreuses langues, les miens dans le goût douteux de ma seule langue, jusqu'à ce que nos langues remuent, et nos consonnes ont tourné et crissé, cliqueté plus fort, hésité, foncé plus vite, les syllabes se sont bientôt mêlées aux grognements, ou les grognements ont trouvé une prise dans des mots nouveaux, ou des mots anciens, ou des mots inventés, jusqu'à ce que nous mélangions nos chaleurs et refusions de les libérer, goûtant trop le sombre langage sur lequel nous venions de trébucher, désirant et sidérant, pas vraiment une communication, plutôt une canalisation de nos désirs balbutiés, les siens pour ce que j'en sais partis vers les Forêts Noires et les loups, les miens réintégrant brutalement une forme familière, ce grand mystère spectral dont je ne pouvais qu'entendre la forme, qui en dépit de nos désirs distincts et cris individuels continuait à nous entrainer dans des tonalités plus étrangères, notre désir commun de continuer à étreindre la brûlure alimentée par le bruit, ses hurlements stridents, les miens - je ne les entendais pas - seulement les siens, probablement en contrepoint des miens, un cri haut perché, puis un murmure chutant de manière imprévue et se changeant presque en jappement, en grognement, je ne sais pas trop, et soudain plus la moindre courbe, juste la fuite en avant, une ligne franchie où tous les sons fracturés déjà prononcés finissent par se condenser en un long mot agonisant, qui excède aisément la centaine de lettres, même le tonnerre, et anticipe l'inévitable relâchement, quand la chaleur devient enfin trop pesante, et menace de brûler, marquer, déchirer, mais suffisamment tentante pour qu'on s'y raccroche encore ne serait-ce qu'une seconde, afin d'étirer le tout, si nous le pouvons, comme si en s'approchant autant de la chaleur, en s'en enveloppant à ce point, allait se révéler... ce qui, lorsque nous nous sommes étreints, tenus, retenus, s'était finalement révélé trop, trop de quelques secondes, et impossible à refuser, et donc faisant tout exploser, frissons et tremblements, et donc tout au fond de sa gorge un millier de lettres s'écrasant en une longue chute non modulée, résonnant profondément dans mon oreille et le long du nerf auditif, un dernier sursaut de rage décrivant en détails durables la forme de choses déjà survenues.

Auteur: Danielewski Mark Z.

Info: La Maison des feuilles

[ pelle roulée ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

fugue

Au cours d'une vie, seuls quelques instants sont décisifs. La plupart d'entre nous les oublient aussitôt, jusqu'à ce qu'ils ressurgissent sans crier gare bien des années plus tard et, avec le recul, prennent tout leur sens : celui où l'on a décidé ou non d'aborder cette fille, de ralentir dans ce virage sans visibilité, de s'arrêter pour acheter ce préservatif. Je peux dire que j'ai eu de la chance. Confronté à l'un d'eux, je l'ai reconnu pour ce qu'il était. J'ai su immédiatement que mon destin se jouait à ce moment précis, lors de cette nuit d'hiver, alors que je patientais dans l'ombre en haut de Faithful Place. J'avais dix-neuf ans. J'étais assez mûr pour vouloir prendre le monde à-bras-le-corps, assez jeune pour agir comme un imbécile. Cette nuit-là, dès que mes deux frères ont commencé à ronfler, je me suis glissé hors de notre chambre, mon sac à dos sur les épaules et mes Doc à la main. Une latte craqua. Dans la chambre des filles, l'une de mes soeurs murmura dans son sommeil. Mais les dieux étaient avec moi. Rien n'aurait pu m'arrêter. Mes parents ne se retournèrent même pas sur leur canapé-lit lorsque je traversai le salon, les touchant presque. Le feu se mourait avec un petit bruit sec, projetait dans le noir une faible lueur rouge. J'avais fourré dans mon sac tout ce que je possédais : jeans, T-shirts, un transistor d'occasion, cent livres sterling et mon extrait de naissance. À l'époque, il n'en fallait pas davantage pour gagner l'Angleterre. Rosie avait les billets du ferry. Je l'ai attendue au bout de la rue, dans l'obscurité, à deux pas du halo brumeux et jaune du réverbère. L'air était froid comme du verre, chargé d'un délicieux parfum de houblon brûlé venu de la brasserie Guinness. Je portais trois paires de chaussettes dans mes Doc. Les mains enfoncées dans les poches de ma parka de l'armée allemande, j'ai écouté une dernière fois la rumeur de mon quartier. Une femme qui rit et s'exclame : "Mais qu'est-ce que tu fais ?" Une fenêtre que l'on claque. Le grattement des rats le long des murs de brique, une toux d'homme, le chuintement d'un vélo ; le cri solitaire et furieux de Johnny Malone le Barjo qui, au sous-sol du numéro 14, n'arrive pas a dormir. Des couples quelque part, des gémissements étouffés, des halètements. Pensant au cou de Rosie, à son parfum, je souris aux étoiles. Les cloches des églises de Dublin sonnèrent minuit : Christ Church, St. Patrick, St. Michan ; notes sonores et claires dégringolant du ciel, comme pour célébrer notre Nouvel-An secret.

Auteur: French Tana

Info: Les Lieux infidèles

[ littérature ] [ fuite ]

 

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amélioration

Le progrès est devenu le moyen de l'aliénation
Cela fait des décennies, sinon un siècle ou deux, que des gens cherchent le mot, l'ont "sur le bout de la langue", qu'il leur échappe, leur laissant une vive et chagrine frustration - sans le mot, comment dire la chose ?
Comment donner et nommer la raison du désarroi, de la révolte, du deuil et pour finir du découragement et d'une indifférence sans fond. Comme si l'on avait été amputé d'une partie du cerveau : amnésie, zone blanche dans la matière grise.
La politique, en tout cas la politique démocratique, commence avec les mots et l'usage des mots ; elle consiste pour une part prépondérante à nommer les choses et donc à les nommer du mot juste, avec une exactitude flaubertienne. Nommer une chose, c'est former une idée. Les idées ont des conséquences qui s'ensuivent inévitablement.
La plus grande part du travail d'élaboration de la novlangue, dans 1984, consiste non pas à créer, mais à supprimer des mots, et donc des idées - de mauvaises idées, des idées nocives du point du vue du Parti -, et donc toute velléité d'action en conséquence de ces mots formulant de mauvaises idées.
Nous sommes tombés sur "regrès", il y a fort peu de temps, un bon et vieux mot de français, tombé en désuétude comme on dit, bon pour le dictionnaire des obsolètes qui est le cimetière des mots. Et des idées. Et de leurs conséquences, bonnes ou mauvaises. Un mot "oublié" ?
Difficile de croire que le mot "regrès", antonyme du "progrès" ait disparu par hasard de la langue et des têtes. Le mouvement historique de l'idéologie à un moment quelconque du XIXe siècle a décidé que désormais, il n'y aurait plus que du progrès, et que le mot de regrès n'aurait pas plus d'usage que la plus grande part du vocabulaire du cheval aujourd'hui disparu avec l'animal et ses multiples usages qui entretenaient une telle familiarité entre lui et l'homme d'autrefois.
Ainsi les victimes du Progrès, de sa rançon et de ses dégâts, n'auraient plus de mot pour se plaindre. Ils seraient juste des arriérés et des réactionnaires : le camp du mal et des maudits voués aux poubelles de l'histoire. Si vous trouvez que l'on enfonce des portes ouvertes, vous avez raison. L'étonnant est qu'il faille encore les enfoncer.
Place au Tout-Progrès donc. Le mot lui-même n'avait à l'origine nulle connotation positive. Il désignait simplement une avancée, une progression. Même les plus acharnés progressistes concéderont que l'avancée - le progrès - d'un mal, du chaos climatique, d'une épidémie, d'une famine ou de tout autre phénomène négatif n'est ni un petit pas ni un grand bond en avant pour l'humanité. Surtout lorsqu'elle se juge elle-même, par la voix de ses autorités scientifiques, politiques, religieuses et morales, au bord du gouffre.
Ce qui a rendu le progrès si positif et impératif, c'est son alliance avec le pouvoir, énoncée par Bacon, le philosophe anglais, à l'aube de la pensée scientifique et rationaliste moderne : "Savoir c'est pouvoir". Cette alliance dont la bourgeoisie marchande et industrielle a été l'agente et la bénéficiaire principale a conquis le monde. Le pouvoir va au savoir comme l'argent à l'argent. Le pouvoir va au pouvoir.
Le progrès est l'arme du pouvoir sur les sans pouvoirs
Et c'est la leçon qu'en tire Marx dans La Guerre civile en France. Les sans pouvoirs ne peuvent pas se "réapproprier" un mode de production qui exige à la fois des capitaux gigantesques et une hiérarchie implacable. L'organisation scientifique de la société exige des scientifiques à sa tête : on ne gère pas cette société ni une centrale nucléaire en assemblée générale, avec démocratie directe et rotation des tâches. Ceux qui savent, décident, quel que soit l'habillage de leur pouvoir.
Contrairement à ce que s'imaginait Tocqueville dans une page célèbre, sur le caractère "providentiel" du progrès scientifique et démocratique, entrelacé dans son esprit, le progrès scientifique est d'abord celui du pouvoir sur les sans pouvoirs.
Certes, une technicienne aux commandes d'un drone, peut exterminer un guerrier viriliste, à distance et sans risque. Mais cela ne signifie aucun progrès de l'égalité des conditions. Simplement un progrès de l'inégalité des armements et des classes sociales.
C'est cette avance scientifique qui a éliminé des peuples multiples là-bas, des classes multiples ici et prolongé l'emprise étatique dans tous les recoins du pays, de la société et des (in)dividus par l'emprise numérique.
Chaque progrès de la puissance technologique se paye d'un regrès de la condition humaine et de l'émancipation sociale. C'est désormais un truisme que les machines, les robots et l'automation éliminent l'homme de la production et de la reproduction. Les machines éliminent l'homme des rapports humains (sexuels, sociaux, familiaux) ; elles l'éliminent de lui-même. A quoi bon vivre ? Elles le font tellement mieux que lui.
Non seulement le mot de "Progrès" - connoté à tort positivement - s'est emparé du monopole idéologique de l'ère technologique, mais cette coalition de collabos de la machine, scientifiques transhumanistes, entrepreneurs high tech, penseurs queers et autres avatars de la French theory, s'est elle-même emparé du monopole du mot "Progrès" et des idées associées. Double monopole donc, et double escroquerie sémantique.
Ces progressistes au plan technologique sont des régressistes au plan social et humain. Ce qu'en langage commun on nomme des réactionnaires, des partisans de la pire régression sociale et humaine. Cette réaction politique - mais toujours à l'avant-garde technoscientifique - trouve son expression dans le futurisme italien (Marinetti) (1), dans le communisme russe (Trotsky notamment), dans le fascisme et le nazisme, tous mouvements d'ingénieurs des hommes et des âmes, visant le modelage de l'homme nouveau, de l'Ubermensch, du cyborg, de l'homme bionique, à partir de la pâte humaine, hybridée d'implants et d'interfaces.
Le fascisme, le nazisme et le communisme n'ont succombé que face au surcroît de puissance technoscientifique des USA (nucléaire, informatique, fusées, etc.). Mais l'essence du mouvement, la volonté de puissance technoscientifique, s'est réincarnée et amplifiée à travers de nouvelles enveloppes politiques.
Dès 1945, Norbert Wiener mettait au point la cybernétique, la " machine à gouverner " et " l'usine automatisée ", c'est-à-dire la fourmilière technologique avec ses rouages et ses connexions, ses insectes sociaux-mécaniques, ex-humains. Son disciple, Kevin Warwick, déclare aujourd'hui : " Il y aura des gens implantés, hybridés et ceux-ci domineront le monde. Les autres qui ne le seront pas, ne seront pas plus utiles que nos vaches actuelles gardées au pré. " (2)
Ceux qui ne le croient pas, ne croyaient pas Mein Kampf en 1933. C'est ce techno-totalitarisme, ce " fascisme " de notre temps que nous combattons, nous, luddites et animaux politiques, et nous vous appelons à l'aide.
Brisons la machine.

Auteur: PMO

Info:

[ décadence ]

 

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