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anges

Amis Voyageurs,

Je sais très bien que ce petit texte a très peu de chances d'être compris, sauf par un Voyageur (astral) qui a vécu cela. Dans ce cas, toutes les approches intellectuelles, fussent-elles de nature "spirituelle", vont lui sembler, comme à moi, "irrelevant" comme on le dit en anglais.

Parfois, rarement, il y a ces rencontres furtives, insaisissables, inatteignables.

Nous les voyons soudainement alors que nous volons dans les mondes purs, bien au-delà des marécages dits "astraux" pour le langage commun de la terre.

Comme nous ils volent, mais tellement mieux! Ils apparaissent et disparaissent de notre regard, de notre présence, et quoi que nous fassions c'est trop tard, trop loin, trop rapide pour notre esprit de lumière pourtant si clair et vif en comparaison de ce qu'il est dans le corps biologique humain terrestre.

Nous avons le temps de les voir distinctement, ces silhouettes blanches d'une beauté et d'une pureté au delà de tout ce que nous pouvions concevoir; puis promptement elles ne sont plus là, nous ne savons pas comment les suivre, comment les retrouver, mais si nous croisons leur route une seule fois, notre âme est noyée de nostalgie pour toujours.

Cette nuit, hors du corps, un autre Voyageur me confirmait avoir lui aussi vécu cela, et depuis demeurer dans la sublime intention de les rejoindre, et de rester parmi eux pour l'éternité.

Tout abandonner, tout laisser sur place, dans tous les plans d'incarnation ici ou ailleurs, immédiatement, sans délai ni regret. Laisser l'évolution, la compassion, les réalisations, les cosmos, l'amour divin, la lumière, l'atteinte du soi, les paradis, et les rejoindre pour toujours.

Auteur: Auburn Marc

Info: Sur le fil de son groupe FB qui rassemble des passionnés du voyage astral et autres initiés

[ au-delà ] [ dépassement ] [ espérance ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

séparation

Le train est entré en gare. Je n’étais plus très sûr de mon aventure quand j’ai vu la machine. Je l’ai embrassée Molly avec tout ce que j’avais encore de courage dans la carcasse. J’avais de la peine, de la vraie, pour une fois, pour tout le monde, pour moi, pour elle, pour tous les hommes.

C’est peut-être ça qu’on cherche à travers la vie, rien que cela, le plus grand chagrin possible pour devenir soi-même avant de mourir.

Des années ont passé depuis ce départ et puis des années encore… J’ai écrit souvent à Detroit et puis ailleurs à toutes les adresses dont je me souvenais et où l’on pouvait la connaître, la suivre Molly. Jamais je n’ai reçu de réponse.

La Maison est fermée à présent. C’est tout ce que j’ai pu savoir. Bonne, admirable Molly, je veux si elle peut encore me lire, d’un endroit que je ne connais pas, qu’elle sache bien que je n’ai pas changé pour elle, que je l’aime encore et toujours, à ma manière, qu’elle peut venir ici quand elle voudra partager mon pain et ma furtive destinée. Si elle n’est plus belle, eh bien tant pis ! Nous nous arrangerons ! J’ai gardé tant de beauté d’elle en moi, si vivace, si chaude que j’en ai bien pour tous les deux et pour au moins vingt ans encore, le temps d’en finir.

Pour la quitter il m’a fallu certes bien de la folie et d’une sale et froide espèce. Tout de même, j’ai défendu mon âme jusqu’à présent et si la mort, demain, venait me prendre, je ne serais, j’en suis certain, jamais tout à fait aussi froid, vilain, aussi lourd que les autres, tant de gentillesse et de rêve Molly m’a fait cadeau dans le cours de ces quelques mois d’Amérique..

Auteur: Céline Louis-Ferdinand

Info: Voyage au bout de la nuit. Selon Lucette Almansor Molly est un personnage qui représente Elizabeth Craig, son grand amour parti en Amérique, à qui il dédicaça "Voyage au bout..."

[ couple ] [ regrets ] [ tristesse ] [ rupture ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

dictature

Le prince que Paul semble avoir choisi pour le prototype de son règne et de ses actions est Frédéric-Guillaume, père du grand roi de Prusse. La même dureté, la même inflexibilité, la même austérité de moeurs, la même passion pour les soldats, se trouvent dans l'autocrate russe.
Près de son château de Pawlowsk, il avait une terrasse d'où il pouvait voir toutes les sentinelles, qu'il se plaisait, à poster partout où il y avait place pour une guérite. C'est sur cette terrasse couverte qu'il passait une partie de ses journées : l'oeil armé d'une lunette, il observait tout ce qui se passait autour de lui.
Souvent il envoyait un laquais à telle ou telle sentinelle lui ordonner de boutonner ou déboutonner un bouton de plus ou de moins, de porter l'arme plus haut, ou plus bas, de se promener plus ou moins de pas autour de sa guérite. Quelquefois il allait lui-même à un quart de lieue porter ces ordres importants, bâtonnait le soldat, ou lui mettait un rouble dans la poche, selon qu'il était content de lui.
Ce Pawlowsk était un village ouvert ; il y avait des gardes qui inscrivaient tous les allants et venants. Il fallait dire où l'on allait, d'où l'on venait et ce qu'on voulait. Chaque soir, on faisait une visite dans chaque maison pour s'informer s'il n'y avait point d'étrangers. On arrêtait tout homme qui avait un chapeau rond, ou qui menait un chien. Pawlowsk, qu'on aimait à fréquenter à cause de sa belle situation, devint bientôt désert; on se détournait pour n'y pas passer, et l'on fuyait Paul du plus loin qu'on l'aperçût; ce qui redoublait son dépit et ses soupçons.
Il faisait souvent poursuivre et interroger ceux qui cherchaient à l'éviter ainsi. Il fit mettre un jour tous les officiers de son bataillon aux arrêts, parce qu'ils l'avaient mal salué de l'esponton, en défilant après l'exercice, et les fit sortir et défiler devant lui pendant huit jours, les renvoyant chaque jour au corps de garde après cette cérémonie, jusqu'à ce qu'il se fût fait saluer à sa fantaisie.
Faisant un jour exercer son régiment de, cuirassiers, le cheval d'un officier s'abattit. Paul accourt furieux : "Relève-toi, misérable ! - Monseigneur, je ne le puis; j'ai la jambe cassée," Paul lui crache dessus, et se retire en jurant.
Passant une fois inopinément et furtivement devant l'un de ses corps de garde, l'officier, ne le connaissant point, ne fit pas sortir ses gens. Il revient sur ses pas, soufflète l'officier, le fait désarmer et mettre aux arrêts. Il allait un jour de Tsarskoé-Célo à Gatschina : le chemin passe au milieu d'une forêt marécageuse. Tout à coup, se rappelant quelque chose, Paul ordonne au cocher de retourner sur ses pas. - Le cocher : Dans l'instant, monseigneur : le chemin est ici trop étroit. - Paul : Comment, coquin; ne veux-tu pas tourner sur-le-champ? Le cocher, au lien de répondre, se hâte d'arriver en un lieu où la chose fût possible. Cependant Paul s'élance à la portière, appelle son écuyer, lui ordonne d'arrêter et de punir le cocher rebelle. L'écuyer l'assure qu'on va tourner dans le moment. Paul, écumant de rage, s'emporte contre l'écuyer : " Tu es un gueux comme lui, dit-il ; qu'il verse, qu'il me casse le cou; mais qu'il obéisse, et qu'il tourne, aussitôt que je le lui ordonne. " Pendant cet accès, le cocher trouva le moyen de tourner; mais Paul le fit rosser sur-le-champ.
Dans une promenade, son cheval broncha ; il ordonna à Markow, son écuyer, de le laisser mourir de faim. Le huitième jour, Markow fit le rapport qu'il avait expiré, et Paul dit : C'est bon! Depuis son avènement, l'un de ses chevaux broncha encore sous lui, dans une rue de Pétersbourg : il descendit aussitôt, fit tenir une espèce de conseil par ses écuyers, et le cheval fut condamné à recevoir cinquante coups de gaule. Paul les lui fit donner en présence de tout le peuple, et les compta lui-même, en disant : C'est pour avoir manqué à l'empereur.

Auteur: Guérard Edmond

Info: Dictionnaire des anecdotes, Mémoires secrets sur la Russie

[ folie ] [ caprices ] [ historique ] [ homme-animal ]

 

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émission tv

Dès le début, dès le générique de ce "Fort Boyard", on pressent que ça va être gênant de regarder ça jusqu’au bout. Quel est cette espèce de fortin saugrenu et laid dont se rapproche la caméra, posé en pleine mer, semblable à une grosse boucle de ceinturon à la dérive ? Qu’est-ce qui s’y déroule de si excitant, tous les vendredis soirs, sur Antenne 2 ? Cela faisait longtemps que je me le demandais, mais je passais toujours sur une autre chaîne avant d’avoir la réponse parce que je me doutais que celle-ci n’aurait pas plus d’intérêt que ma question. Cette fois je suis resté, et je me suis forcé à regarder, du début à la fin, sans sourciller, cette chose morbide entre toutes, et quasiment impensable, qu’on appelle un jeu télévisé.

Les jeux ne sont pas mon fort, en tout cas pas ceux-là. En limitant le jeu au jeu, on essaie toujours de vous convaincre que la vie n’est pas un Jeu. Voilà encore un truc de contrat social. Jeu est un autre !  Je me doute bien que celui-ci, "Les clés de Fort-Boyard", n’est pas le pire de tous : un rouage entre mille, dans la grande Machine à divertir d’après la fin d tout. Mais puisqu’il semble condenser quelques-uns des ingrédients essentiels qu’il faut pour me déplaire, allons-y.

L’architecture sombre et sauvage du décor, pour commencer ; les remous antipathiques de l’océan autour de ces murailles isnistres de cachot ; le romantisme aquatique à son plus haut degré de stupidité iodée autour du romantisme de l’enfermement ; l’animateur et l’animatrice, aussi, avec leur enthousiasme farineux et leurs promesses à faire dresser les cheveux sur la tête ("Vivre en une heure les aventures romanesques de toute une vie !") ; le barde à fausse barbe, également, malheureux figurant dans sa vigie de pacotille payé pour proposer des devinettes ineptes ("Bien pendue, elle est bavarde" : mais oui, c’est la langue, vous êtes formidable !) ; et puis tous ces périls sans danger, toutes ces bêtes féroces qui ne vous feront aucun mal, ces mygales qui ne piquent pas, ces tigres qui resteront à tourner comme des idiots démobilisés derrière leurs barreaux mais qu’on vous montre, comme une nostalgie de jungle, comme un souvenir de l’aventure perdue, comme un échantillon de risque, donc d’Histoire, terminés ; à la façon dont on vous esquisse également des nostalgies de sexe sous la forme d’un bref combat de femmes dans la boue (jolies visions de fesses, intéressants aperçus de cuisses et de cellulite) ; ou encore, au détour d’un labyrinthe, sous les apparences de cette fille nue dont vous n’apercevrez qu’un bout de sein furtivement dressé dans l’obscurité…

C’est ça, un jeu télé, à la fin du XXe siècle ? Oui ; mais j’oubliais l’essentiel, c’est-à-dire les candidats bien sûr. Quatre ou cinq garçons et filles en pleine santé, amis des sports et du grand air, quatre ou cinq asperges dynamiques sélectionnées parce qu’elles ont des têtes à avoir inventé le saut à l’élastique. Rien n’est plus déprimant à contempler, et rien en même temps n’est plus comique, que ces jeunes damnés du Tertiaire, démoniaques et souriants représentants des classes moyennes, incarnations de la nouvelle France profonde jaillie enfin en pleine lumière, sataniques employés de banque ou attachés commerciaux en train de cavaler à travers ce Luna Park de cauchemar, pour exécuter avec un esprit de sérieux épouvantable leur misérable parcours du combattant et récupérer je ne sais combien de clés qui leur feront gagner un monceau d’or. Rien n’est plus instructif non plus : il n’y a pas que la face cachée du spectacle qui soit captivante ; inutile d’espérer rien comprendre à celle-ci si on néglige de contempler, de temps en temps, sa face exhibée, la face montrée de la grande Terreur, l’effrayante et souriante et pathétique face visible de la Tyrannie, avec son armée carnavalesque de sergents recruteurs. Comme dit en ce moment un slogan pour un autre jeu : "On commence par gratter et on finit à la télé." C’est valable littéralement et dans tous les sens, dans un monde où Eros et Thanatos, désormais, portent des nez rouges.

Auteur: Muray Philippe

Info: Dans "Exorcismes spirituels, tome 2 : Mutins de Panurge", éd. Les Belles lettres, Paris, 1998, pages 414-415

[ critique ] [ caricature ] [ reflet du monde ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

particules élémentaires

Les imprévisibles effets de l'interaction forte continuent de surprendre les physiciens

Après plus d'un siècle de collision de particules, les physiciens ont une assez bonne idée de ce qui se passe au cœur de l'atome. Les électrons bourdonnent dans des nuages probabilistes autour d'un noyau de protons et de neutrons, chacun contenant un trio de particules bizarres appelées quarks. La force qui maintient tous les quarks ensemble pour former le noyau est la force forte, la bien nommée. C'est cette interaction forte qui doit être surmontée pour diviser l'atome. Et cette puissante force lie les quarks ensemble si étroitement qu'aucun quark n'a jamais été repéré en solo.

Ces caractéristiques des quarks, dont beaucoup peuvent être expliquées dans un cours de sciences au lycée, ont été établies comme des faits expérimentaux. Et pourtant, d'un point de vue théorique, les physiciens ne peuvent pas vraiment les expliquer.

Il est vrai qu'il existe une théorie de la force forte, et c'est un joyau de la physique moderne. Elle se nomme chromodynamique quantique (QCD), " chromo " faisant référence à un aspect des quarks appelé poétiquement " couleur ". Entre autres choses, la QCD décrit comment la force forte s'intensifie lorsque les quarks se séparent et s'affaiblit lorsqu'ils se rassemblent, un peu comme une bande élastique. Cette propriété est exactement à l'opposé du comportement de forces plus familières comme le magnétisme, et sa découverte dans les années 1970 a valu des prix Nobel. D'un point de vue mathématique, les quarks ont été largement démystifiés.

Cependant, les mathématiques fonctionnent mieux lorsque la force entre les particules est relativement faible, ce qui laisse beaucoup à désirer d'un point de vue expérimental. Les prédictions de la CDQ furent confirmées de manière spectaculaire lors d'expériences menées dans des collisionneurs qui rapprochèrent suffisamment les quarks pour que la force forte entre eux se relâche. Mais lorsque les quarks sont libres d'être eux-mêmes, comme c'est le cas dans le noyau, ils s'éloignent les uns des autres et exercent des pressions sur leurs liens de confinement, et la force forte devient si puissante que les calculs stylo papier sont mis en échec. Dans ces conditions, les quarks forment des protons, des neutrons et une multitude d'autres particules à deux ou trois quarks, généralement appelées hadrons, mais personne ne peut calculer pourquoi cela se produit.

Pour comprendre les bizarreries dont les quarks sont capables, les physiciens ne peuvent que lancer des simulations numériques de force brute (qui ont fait des progrès remarquables ces dernières années) ou regarder les particules ricocher dans de bonnes expériences de collisionnement à l'ancienne. Ainsi, près de 60 ans après que les physiciens aient formalisé le quark, la particule continue de surprendre.

Quoi de neuf et digne de mention

Pas plus tard que l'été dernier, la collaboration du LHCb au Grand collisionneur de hadrons en Europe a repéré des signes de deux variétés jusqu'alors inédites de quarks, les tétraquarks, furtivement observés à travers les tunnels souterrains du collisionneur. Cataloguer la diversité des comportements des quarks aide les physiciens à affiner leurs modèles pour simplifier les complexités de la force forte en fournissant de nouveaux exemples de phénomènes que la théorie doit rendre compte.

Les tétraquarks ont été découverts pour la première fois au LHC à l'été 2014, après plus d'une décennie d'indices selon lesquels les quarks pourraient former ces quatuors, ainsi que des groupes de deux ou trois. Cette découverte a alimenté un débat qui s'est enflammé malgré une question apparemment ésotérique: faut-il considérer quatre quarks comme une "molécule" formée de deux hadrons doubles quarks faiblement attirés connus sous le nom de mésons, ou s'assemblent-ils en paires plus inhabituelles connues sous le nom de diquarks?

Au cours des années qui suivirent, les physiciens des particules accumulèrent des preuves de l'existence d'une petite ménagerie de tétraquarks exotiques et de " pentaquarks " à cinq quarks. Un groupe se détacha en 2021, un tétraquark " à double charme " qui vécut des milliers de fois plus longtemps que ses frères exotiques (à 12 sextillionièmes de seconde comme le Methuselah). Il a prouvé qu'une variété de quark — le quark charme — pouvait former des paires plus résistantes que la plupart des suppositions ou des calculs minutieux l'avaient prédit.

À peu près à la même époque, les chercheurs ont mis au point une nouvelle façon de tamiser le maelström qui suit une collision proton-proton à la recherche d'indices de rencontres fortuites entre des composites de quarks. Ces brefs rendez-vous permettent de déterminer si un couple donné de hadrons attire ou repousse, une prédiction hors de portée du QCD. En 2021, les physiciens ont utilisé cette technique de "femtoscopie" pour apprendre ce qui se passe lorsqu'un proton s'approche d'une paire de quarks " étranges ". Cette découverte pourrait améliorer les théories sur ce qui se passe à l'intérieur des étoiles à neutrons.

L'année dernière, les physiciens ont appris que même les quarks de l'atome d'hélium, très étudié, cachent des secrets. Les atomes d'hélium dénudés ont inauguré le domaine de la physique nucléaire en 1909, lorsque Ernest Rutherford (ou plutôt ses jeunes collaborateurs) les projeta sur une feuille d'or et découvrit le noyau. Aujourd'hui, les atomes d'hélium sont devenus la cible de projectiles encore plus petits. Au début de l'année 2023, une équipe a tiré un flux d'électrons sur des noyaux d'hélium (composés de deux protons et de deux neutrons) et a été déconcertée de constater que les cibles remplies de quarks gonflaient bien plus que ce que la CDQ leur avait laissé supposer.








Auteur: Internet

Info: https://www.quantamagazine.org/, Charlie Wood, 19 fev 2024

[ fermions ] [ bosons ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste