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vivre

Nous grandissons parce que : nous luttons, nous apprenons... nous gagnons.

Auteur: Allen R. C.

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[ dépassement ] [ triade ]

 

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mérite

Nous faisons de l'argent de manière tout à fait démodée : Nous le gagnons.

Auteur: Lang Hans J.

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[ profit ] [ travail ] [ labeur ] [ éthique ]

 

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altruisme

Il y a d'abondants témoignages qui si nous choisissons l'amour plutôt que l'individualité, nous y gagnons incommensurablement.

Auteur: Field Charles

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[ bonheur ]

 

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médias-sociaux

Nous ne construisons pas des services pour gagner de l’argent, nous gagnons de l’argent pour créer de meilleurs services.

Auteur: Zuckerberg Mark

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[ business ] [ justification ] [ chiasme ]

 

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perdus

Eh bien, ce que nous gagnons par la science, après tout, c'est de la tristesse comme dirait le prédicateur. Plus nous en savons sur les lois et la nature de l'Univers, plus nous percevons tout ça comme un monde affreux - et sans nécessité.

Auteur: Hardy Thomas

Info: In Richard Little Purdy and Michael Millgate (eds.) The Collected Letters of Thomas Hardy (Volume 3) Letter, February 27, 1902 Clarendon Press. Oxford, England. 1978

[ univers absurde ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

action

Lorsque nous essayons de servir ou de comprendre le monde nous touchons au divin et gagnons dignité et courage. Notre joie dans le travail existe par cette grandeur au loin, toujours en vue, toujours possible, mais jamais atteinte. Le service est l'une des manières par lesquelles un insecte minuscule comme l'un de nous peut obtenir une accroche avec l'univers entier. Si nous trouvons un travail où nous pouvons être utiles, nous sommes au monde et nous nous déplaçons avec lui.

Auteur: Cabot Richard Clarke

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[ unicité ] [ espérance ]

 

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dynamisme vital

La bénédiction du travail est que l’effort et la gratification se suivent aussi étroitement que la production et la consommation, de sorte que le bonheur est concomitant au processus lui-même […] Un élément de travail est présent dans toutes les activités humaines, même les plus élevées, dans la mesure où elles sont entreprises comme des travaux de "routine" par lesquels nous gagnons notre vie et nous conservons en vie. Leur répétition même, que nous considérons bien souvent comme un fardeau épuisant, est ce qui offre un minimum de satisfaction animale auquel ne peuvent jamais se substituer les grands accès de joie

Auteur: Arendt Hannah

Info: "Le travail, l’œuvre, l’action" in Penser librement, Payot & Rivages, 2021, pp. 51-52

[ créateur de sens ] [ éloge ] [ nécessaire ] [ effort ] [ tension relaxation ] [ labeur ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

spiritualité

Ce n'est qu'en tournant vers le Seigneur Tout-Puissant, qui ne comporte nulle division ni partant nulles ténèbres, mais en Lequel réside dès le début le Logos (le sens) de tout, et qui est l'amour, ce n'est - dis-je - qu'en tournant dans notre for intérieur vers Lui que nous modifions en nous l'élément ténébreux, dément et méchant qui existe dans notre nature. En nous attachant par la foi au principe de tout ce qui est bon, nous gagnons notre libération du pouvoir de contrainte exercé contre nous par le principe du péché. Nous cessons d'être les esclaves du péché dès que nous nous reconnaissons dominés par la volonté de Dieu.

Auteur: Soloviev Vladimir

Info: Les Bases spirituelles de la vie, Plon, 1955

[ religion ]

 

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financiarisation

Les mathématiques et les codes nous ont donné le pouvoir. La complexité est l'arme absolue, le signe "+", l'unique règle. La planète est un Monopoly, les entreprises des sigles à la pelle, les cadres, les fantassins du grand capital. Le monde bosse pour nous. Nous n'apparaissons jamais. Nous, les banquiers, vivons leveragés, hyper-endettés. Nous misons un, empruntons cent, gagnons mille. PIB, cash-flow, monnaies, nous parions sur tout mais ne savons pas lire un bilan. Nous n'avons jamais mis le pied dans une entreprise, ce repaire de besogneux. Nous nous foutons de ce qu'elles produisent, du nombre de personnes qu'elles emploient. La finance a été inventée pour rendre possibles les grands projets, l'émancipation économiques des peuples. En ce moment, nous parions contre l'humanité, valeur extrêmement volatile. La finance engendre des catastrophes. Elle prospère en les résorbant. Nos profits sont vos pertes.

Auteur: Vasseur Flore

Info: Comment j'ai liquidé le siècle, page 29

[ enfumage ] [ impasse ]

 

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modernité

La vitesse est fonction du moindre effort. On fait le plus rapidement possible les choses ennuyeuses ou pénibles. Voilà pourquoi les machines ont été inventées ; mais, et c'est une des erreurs du monde moderne, les loisirs ainsi conquis, au lieu d'en jouir, nous les avons consacrés à travailler davantage, à surproduire; c'est un des effets de cette humaine, trop humaine loi dont parle Gobineau "qui nous fait toujours perdre d'un côté ce que nous gagnons de l'autre" . Supercherie diabolique de la nature ! Le bruit du moteur est la bosse continue de notre existence et qui dit moteur, machinisme, dit vitesse ; la vitesse engendre la surproduction. Gobineau, que je viens de citer, affirme que les races, comme les hommes, sont inégales devant le créateur; qu'il y a une échelle de valeurs, qui monte du sang noir au sang blanc; que le mélange des sangs est, pour une race supérieure, un véritable suicide. Or, qu'est-ce qui cause ce mélange, sinon la facilité matérielle qu'ont les peuples de se rapprocher, et à quoi se ramènent ces communications qui enserrent la terre dans un réseau de routes, de rails et de fils électriques, sinon en dernière analyse, à la machine, à la vitesse ? Lisez les récits de voyages d'aujourd'hui, ce ne sont plus des voyages mais des raids.(...) Il y a dans l'attrait de la vitesse ce noble désir de faire mieux qui a élevé la race aryenne au-dessus des autres et d'elle-même, mais il y a aussi une excitation terrible qui commence à griser l'humanité, et non seulement les peuples enfants comme les noirs, mais les peuples jusqu'ici immobiles, comme les jaunes. "dans l'Asie moderne, fait remarquer un Japonais, il est courant de croiser un abbé bouddhiste roulant en auto à 90 à l'heure." L'affirmation moderne de la puissance temporelle, ce ne sont plus des territoires, c'est le rail. Ce qu'a si bien compris Mussolini en offrant dernièrement au pape non pas un état, mais un train ! Voyez la congestion des villes, le désert des campagnes. Personne ne supporte plus la solitude, ni le sur-place. Le sur-place nous donne un échauffement dont la vitesse est la purge. Si, comme écrit Buffon, "la vitesse d'un animal n'est que l'effet de sa force employée contre sa pesanteur", il semble que toutes les forces des hommes soient aujourd'hui employées à vaincre ce fardeau. Pourquoi ? C'est un des aspects de cette peur de mourir, erreur matérialiste du monde occidental, par quoi peut-être il périra.

Auteur: Morand Paul

Info: Chroniques 1931-1954 (2001, 651 p., Grasset, p.85, 86)

[ méfaits du progrès ] [ perte de sens ] [ évolution néfaste ]

 

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