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train-train

[...] déjà l'habitude amenait la négligence, conséquence ordinaire de la routine.

Auteur: César Jules

Info: La guerre des Gaules

[ laisser-aller ] [ insouciance ]

 

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indépendance

Tous les hommes ont naturellement au coeur l'amour de la liberté et la haine de la servitude.

Auteur: César Jules

Info: La guerre des Gaules

[ naturelle ] [ être humain ]

 

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casse-pieds

Il arrive à tout le monde d'avoir quelqu'un à la maison que l'on a envie de voir partir, quelqu'un que l'on aime bien, mais comme on est très pressé ou très fatigué, on voudrait bien que ce quelqu'un plie les gaules, si je puis dire, et c'est le moment qu'il choisit pour se caler contre le dossier en soupirant : "Qu'est-ce qu'on est bien, chez vous !".

Auteur: Maréchal Fabien

Info: Nouvelles à ne pas y croire, p. 53-54

[ emmerdeur ] [ foyer ]

 

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nationalisme

Notre regard sur l'Antiquité reste marqué par les récits des historiens du XIXème siècle. Cherchant à définir une certaine "identité française", ces derniers projetaient sur le passé des fantasmes nationaux de leur époque, tenant de distinguer "nos ancêtres les Gaulois" des conquérants romains et érigeant certains personnages en héros. S'appuyant sur de nouvelles sources, les chercheurs contemporains tentent de faire le tri entre les mythes et la réalité.

Auteur: Pichon Blaise

Info: Pax Romana, d'Auguste à Attila. À la recherche des Gaules Romaines. Introduction aux pages documentaires de la fin de l'ouvrage

[ manipulation ] [ histoire ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

éloge

Il est à la fois exalté et maîtrisé, c’est une anomalie, un Beethoven des Gaules, un grand médecin de l’âme, un éclair zébrant la nuit. Il suit le soleil comme le tournesol, absorbant la lumière, éclatant et débordant de vitalité. Ni optimiste ni pessimiste, pas plus que l’océan ne peut être considéré comme bienveillant ou malveillant. Un fidèle croyant en la race humaine, qu’il augmente d’une coudée, en lui conférant sa dignité, sa force, son besoin de création.

Auteur: Miller Henry

Info: Tropic of capricorn, 1939, à propos d'Elie Faure

[ écrivain ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

écriture

Qu'entendre au Moyen Age par littérature française ? La littérature en français ? Mais on ne peut imaginer d'exclure la langue d'oc et de ne rien dire des troubadours. La littérature qui fleurit dans les limites de la France actuelle ou plutôt des Gaules d'alors, car celle de l'actuelle Wallonie brille au Moyen Age d'un éclat particulier ? Mais du XIe au XIVe siècle l'Angleterre, sous ses rois normands, est un des hauts lieux de la culture française. Et peut-on oublier que pendant tout le Moyen Age, en France comme dans tout l'Occident, la langue des activités intellectuelles est d'abord le latin ?

Auteur: Zink Michel

Info: Littérature française du Moyen Age

[ évolution ]

 

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étymologie

Il est d’ailleurs reconnu que Lug était primitivement non pas l’un des dieux des Gaulois mais le dieu principal des Ibères qui, pour Arz Bro Naoned et un certain nombre de chercheurs dont Joseph Karst, s’identifiaient à des Ligures […]. Ces Ligures furent les constructeurs des mégalithes qui avaient précédé l’irruption des Gaulois et des Celtes sur les terres occidentales de la côte atlantique, bien que ces deux peuples aient pu constituer primitivement les deux rameaux d’un même arbre […]. […] au cours des âges, les Ligures qui occupèrent toute l’Europe de l’ouest et du sud laisseront de nombreux lieux dédiés à leur dieu Lug, tels que : Luc, Lux, Lusignan, Loudun, Lugny, Lusigny pour n’en citer que quelques-unes. Quant à la parèdre de Lug, Lusine, Mère Lusine, Mélusine, son culte a duré jusqu’au Moyen Age où elle tenait le rôle de fée ou de Vouivre protectrice de la maison des Lusignan. Louis Charpentier relevait qu’une grande part des noms de rivières des Gaules proviendrait du souvenir du lieu Lug et des Ligures qui sanctifièrent les pierres, les monts et les rivières dans tout l’hexagone. Ainsi, la Loire fut une Lig-ara, une "rivière de Lug".

Auteur: Anonyme

Info: Dans "Les magiciens du nouveau siècle" page 662

[ archéologie mystérieuse ] [ toponymes ] [ légendes ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

histoire

Lorsque René Guénon mentionne Lyon comme l’un des centres contre-initiatiques répartis dans le monde, souvenons-nous que cette ville, Lugdunum dans l’Antiquité, fut la capitale gallo-romaine, le cœur sacré des Gaules. Sa légende de fondation raconte qu’après avoir été chassés du pouvoir par un certain Seseroneos, deux frères, Momoros et Atepomaro, se rendirent sur une colline située près de la Saône qu’on appelait alors l’Arat pour y fonder une nouvelle cité. Alors que les ouvriers commençaient tout juste à creuser les fondations, des corbeaux firent leur apparition dans les cieux, couvrant les arbres environnants. Momoros décida alors de donner à la ville le nom de Lugdounon car dans sa langue, lougos désignait le corbeau et dounon un "lieu élevé". Selon les historiens, cette étymologie serait fantaisiste et relèverait avant tout du folklore puisque dunum est un mot gaulois désignant à l’origine une hauteur fortifiée puis, plus pacifiquement, une bourgade et que Lug, loin d’évoquer le corbeau, renverrait plutôt au dieu Lug du panthéon celtique, dieu du soleil et de la lumière. Mais dans le fond, il n’y a pas contradiction. Lug était l’équivalent celtique d’Hermès et d’Apollon et, dans la tradition celtique, le corbeau désigne le messager des dieux, comme Hermès chez les Grecs. Quant au "lieu élevé", le "haut lieu", le cairn, nous avons constaté à de nombreuses reprises qu’il désigne symboliquement un substitut de la "montagne sacrée".

Auteur: Anonyme

Info: Dans "Les magiciens du nouveau siècle" page 659

[ naissance ] [ signification ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

glissement sémantique

La prophétie de Nietzsche :
"Un bouddhisme mou envahira l’Europe"

Cette prophétie s’est magistralement réalisée et triomphe de nos jours dans le monde entier. Dès que le pâli Djâna (absorption immédiate) fut traduit par le sanscrit Dhyâna (méditation réflexive) on était en droit de s’attendre au pire. Bodhidharma le comprit instantanément et choisit de s’exiler. Même phonétiquement les deux mots ne se prononcent pas de la même manière. Djâna est bref comme l’immédiat et Dhyâna est long comme toute réflexion. Quant à leur signification, elle participe de deux pratiques opposées et inconciliables. L’un ou l’autre terme devait disparaître. C’est Djâna qui en fit les frais entraînant avec lui toute la langue pâli, un peu comme la langue gauloise disparut en faveur du latin (voir la guerre des Gaules de Jules César). C’est comme si on décrétait le refoulement officiel de l’inconscient au seul profit de la conscience consciente d’elle-même. Le problème est structurel. Conscient ou inconscient ? Compte tenu que la conscience de rien est aussi un rien, ou une négation, de toute conscience. Le mot Zen est la prononciation japonaise de l’idéogramme Tchan, apocope de Tchanna qui est la prononciation phonétique chinoise du pâli Djâna (Djâna-Tchanna) : absorption immédiate. Rien à voir avec le Dhyâna mot sanscrit qui signifie méditation, terme qui implique toutes formes de réflexion et de graduation. Cette transformation du subitisme en gradualisme, de la "non pensée" en pensée, du non-être en ontologie, de l’immédiateté en travail progressif et graduel va produire ce "bouddhisme mou" et dégénéré, prédit par Nietzsche (dont le concept de "volonté de puissance" est précisément l’inconscient freudien et lacanien). Ce bouddhisme apathique et châtré s’étend aujourd’hui sur toute la planète. Tous les dictionnaires du monde répètent erronément que zen n’est autre que le sanscrit Dhyâna, méditation. Toute la pensée du monde est influencée par cette perversion linguistique qui corrompt de nos jours les plus brillants et les plus courageux esprits.

Auteur: Massat Guy

Info: Publication facebook du 28.02.19

[ amalgame ] [ erreur ]

 
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