Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 7
Temps de recherche: 0.0316s

métropole

Rome est la ville d’échos, la ville d’illusions, et la ville de désir.

Auteur: Giotto di Bondone ou Ambrogiotto di Bondone

Info:

[ Italie ]

 

Commentaires: 0

espérance

Le cœur humain est comme un vaisseau fragile à bord duquel nous voulons atteindre les étoiles.

Auteur: Giotto di Bondone ou Ambrogiotto di Bondone

Info:

[ curiosité ] [ avidité ]

 

Commentaires: 0

réconfort

Les amis sincères dans ce monde sont comme des feux de navire au cours des nuits les plus orageuses.

Auteur: Giotto di Bondone ou Ambrogiotto di Bondone

Info:

[ amitié ]

 

Commentaires: 0

recommandation

Prends plaisir dans tes rêves, savoure tes principes et laisse reposer tes sentiments les plus purs sur le cœur d'un précieux amour .

Auteur: Giotto di Bondone ou Ambrogiotto di Bondone

Info:

[ conseil ]

 

Commentaires: 0

art pictural

La peinture italienne est jalonnée, de son commencement à son apothéose, par trois génies qui apparaissent à peu près à cent ans de distance l'un de l'autre: Giotto, Fra Angelico, Raphaël. Giotto a voulu rendre les physionomies des hommes qui l'entouraient, reproduire les scènes qu'il avait sous les yeux, les paysages et les monuments qui servaient de cadres à ces scènes. Fra Angelico n'a cherché à exprimer que les sensations des âmes, les extases des bienheureux, la gloire ou la douleur d'un Dieu, et dédaigné de représenter la vie terrestre.

Auteur: Meunier Alice

Info: Giotto

[ renaissance ]

 

Commentaires: 0

beaux-arts

Mon goût cinématographique n'est pas d'origine cinématographique, mais pictural. Les images, les champs visuels que j'ai dans la tête, ce sont les fresques de Masacio, de Giotto - les peintres que j'aime le plus, avec certains maniéristes (comme, par exemple, Pontormo). Je n'arrive pas à concevoir des images, des paysages, des compositions de figures, en dehors de ma passion fondamentale pour cette peinture du Trecento, qui place l'homme au centre de toute perspective. Quand mes images, donc, sont en mouvement, elles sont en mouvement un peu comme si l'objectif se déplaçait devant un tableau : je conçois toujours le fond comme le fond d'un tableau, comme un décor, c'est pour cela que je l'attaque toujours de front. Et les figures se déplacent sur cette toile de fond de façon toujours symétrique, à chaque fois que c'est possible : gros plan contre gros plan, panoramique-aller contre panoramique-retour, rythmes réguliers (ternaires, si possibles) des plans, etc. Il n'y a presque jamais de montage gros plans/plans généraux.

 

Auteur: Pasolini Pier Paolo

Info: Texte écrit lors du tournage de "Mamma Roma" (1962), et cité dans les Cahiers du cinéma, hors-série n°9, 1981 - cité dans "Passage du cinéma", éd. Ansedonia, p. 191

[ art italien ] [ forme picturale ] [ structure filmique ] [ influences ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Benslama

physionomie

À force d'indifférence et d'insensibilité, il arrive qu'un visage rejoigne la grandeur minérale d'un paysage. Comme certains paysans d'Espagne arrivent à ressembler aux oliviers de leurs terres, ainsi les visage de Giotto, dépouillés des ombres dérisoires où l'âme se manifeste, finissent par rejoindre la Toscane elle-même dans la seule leçon dont elle est prodigue : un exercice de la passion au détriment de l'émotion, un mélange d'ascèse et de jouissance, une résonance commune à la terre et à l'homme, par quoi l'homme comme la terre, se définit à mi-chemin entre la misère et l'amour. Il n'y a pas tellement de vérités dont le coeur soit assuré. Et je savais bien l'évidence de celle-ci, certain soir où l'ombre commençait à noyer les vignes et les oliviers de la campagne de Florence d'une grande tristesse muette. Mais la tristesse dans ce pays n'est jamais qu'un commentaire de la beauté. Et dans le train qui filait à travers le soir, je sentais quelque chose se dénouer en moi. Puis-je douter aujourd'hui qu'avec le visage de la tristesse, cela s'appelait cependant du bonheur ?

Auteur: Camus Albert

Info: Noces, Le désert

[ toscane ] [ décor ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel