bienveillance
Chaque sourire me soutient que la vie est bonne, qu'il ne faut pas toujours chercher à comprendre mais relever les cœurs tombés. Quand la tristesse vient miauler dans mes jambes, je la prends sur mes genoux, j'appose mes mains guérisseuses et je t'offre mon dos rond. Aussi, quand tu pourras, sois fier de ce que nous n'avons pas reçu et qui nous sert d'épines.
Auteur:
Clément Nicolas
Années: 1970 -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe France
Info:
Sauf les Fleurs
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acceptation
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santé
Ce qu'on appelle "maladies" sont des "crises guérisseuses", cad des réactions de notre organisme à des conditions anti-physiologiques et au lieu de tenter de les éradiquer, cad de faire taire ces symptômes, on ferait mieux d'écouter ces symptômes pour en comprendre les causes et mettre en place les mesures adéquates pour faire cesser les conditions qui ont présidé à leur survenue.
L'organisme tente simplement, par ces réactions, de se débarrasser des poisons ingérés par l'alimentation, on devrait l'aider à éliminer ces poisons au lieu de faire taire le symptôme, ce qui oblige le corps à enfouir ces poisons, plus profondément à chaque crise guérisseuse interrompue par un traitement médical, au lieu de les évacuer.
Auteur:
Internet
Années: 1985 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: R
Profession et précisions: tous
Continent – Pays: Tous
Info:
https://osersavie66.wordpress.com/2018/05/04/les-maladies-nexistent-pas/
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arnaque
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sens-de-la-vie
Chez les sumériens, le thérapeute devait aider son patient à répondre à tout instant à la question que lui poserait son ange gardien au moment de sa mort, au nom de l'Absolu :
"Qu'as-tu fait de ma gloire ?" Celui qui ne peut pas répondre ne passe pas le seuil ! Autrement dit : avons-nous transformé les ténèbres rencontrées en nous-mêmes et autour de nous en plus de compassion, en plus d'amour, en tendresse, en écoute, en pardon, en tolérance, en joie ? A Sumer, le mot maladie n'existe pas, on dit : enténèbrement. Tomber malade, c'est perdre la "lumière de gloire". Et guérir (symbolisé par l'idéogramme du serpent) , c'est traverser les épreuves, acquérir une nouvelle force grâce à la maladie. Nous ne sommes pas sur terre pour ne pas tomber malade, mais peut-être pour apprendre à franchir des ponts, des épreuves, et à transformer, chacun à sa manière unique, l'obscurité en lumière.
Auteur:
Tonnac Jean Philippe de
Années: 196? -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: éditeur, écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Le cercle des guérisseuses. P. 36 Entretien avec Marguerite Kardos, praticienne en énergique chinoise traditionnelle
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dépassement
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corps-esprit
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