Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 7
Temps de recherche: 0.0398s

chef

Le stress est un bacille transmis par des supérieurs hésitants à leurs subordonnés.

Auteur: Hassencamp Oliver

Info:

[ dénigrement ] [ management ] [ nervosité ]

 

Commentaires: 0

simplifier

Les trahisons se châtient tandis que les faiblesses s'excusent. Mieux vaudrait des criminels et point des hésitants.

Auteur: Ferré Charles

Info:

 

Commentaires: 0

grand-maman

Quelquefois, je l'observe,
ma petite Mamayé,
et je m'inquiète un peu de sa fragilité...
Elle a perdu ses forces,
ses pas sont hésitants.
Elle pourrait s'envoler au moindre coup de vent...

Alors dès que je peux, je dépose, en cachette,
tous mes précieux cailloux dans les poches de sa veste.
Je me dis que comme ça elle ne s'envolera pas,
et que rien ne pourra l'emporter loin de moi.

Auteur: Lévy Sandrine

Info: Les petits cailloux de Mamayé

[ affection ] [ grand-mère ]

 

Commentaires: 0

sens-de-la-vie

Avant les enfants, vous croyez que votre vie est pleine et palpitante, que les événements insignifiants qui la rythment suffiront à vous rendre heureux. Après, vous mesurez que ce sera le vide quand ils seront partis, quand il n’y aura plus rien qui vaille tout à fait la peine, rien qui vaille plus que le bonheur de les avoir vus grandir, changer de statut d’enfants hésitants à devenir de jeunes adultes qui contestent la moindre de vos décisions.

Auteur: Vingtras Marie

Info: Blizzard, p 128

[ parents-enfants ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

attitude

Ceux qui connaissent le vide séparatif sont subtils et pénétrants.
On ne saurait mesurer leur connaissance, mais on peut les décrire :
Ils sont hésitants, comme s’ils traversaient un fleuve gelé.
Circonspects, comme s’ils redoutaient leurs voisins.
Réservés, tel un invité chez un hôte de marque.
Modestes, comme la glace qui fond.
Rustiques, comme du bois brut, mais riches et généreux comme le sont les vallées, et cependant, ambigus comme de l’eau trouble.
Qui tranquillement peuvent être yin et devenir yang, et inversement ?
Ceux qui connaissent le vide séparatif.
Ils ne désirent pas être comblés, pas plus qu’ils ne redoutent les pires débordements.

Auteur: Lao Tseu Lao Tzi

Info: Tao te King, traduit par Guy Massat et Arthur Rivas, poème 15, page 51

[ taoïsme ] [ éveil ] [ double-vue ]

 
Commentaires: 1
Ajouté à la BD par Coli Masson

paysage

Autant se taire et regarder dehors, par la fenêtre, les velours gris du soir prendre déjà l’avenue d’en face, maison par maison, d’abord les plus petites et puis les autres, les grandes enfin sont prises et puis les gens qui s’agitent parmi, de plus en plus faibles, équivoques et troubles, hésitants d’un trottoir à l’autre avant d’aller verser dans le noir.
Plus loin, bien plus loin que les fortifications, des files et des rangées de lumignons dispersés sur tout le large de l’ombre comme des clous, pour tendre l’oubli sur la ville, et d’autres petites lumières encore qui scintillent parmi des vertes, qui clignent, des rouges, toujours des bateaux et des bateaux encore, toute une escadre venue là de partout pour attendre, tremblante, que s’ouvrent derrière la Tour les grandes portes de la Nuit.

Auteur: Céline Louis-Ferdinand

Info: Dans "Voyage au bout de la nuit"

[ description ] [ urbain ] [ dérisoire ] [ couchant ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

crispation vitale

Le ciel est occupé par une Aurore boréale. Il ne fait pas trop froid dehors. Soleil brille plusieurs heures par jour en ce moment, bientôt elle éclipsera complètement les Aurores. Je sors marcher sur la banquise et quand la ville n'est plus qu'un tout petit globe lumineux à l'horizon, je m'étends. Terre plate et glace lisse effacent les limites du Ciel. On dit que le temps est relatif. C'est vrai. Les humains n'ont rien compris au temps. Le temps ne se hâte jamais. Le temps n'écoute pas les horloges. Le temps obéit aux lois de la physique, tout comme la matière, mais peut aussi la contrôler. Le temps est Matière. Le temps est vivant. Le temps à un poids. Le temps s'accouple avec la gravité pour nous ramener sur terre. On ne voyage pas dans le temps, c'est lui qui passe à travers nous et nous mène devant lui. Le temps nous dirige à la baguette ; il nous envoie au tombeau. Endormi près de mon corps allongé sur la surface gelée, le temps aide mon cœur à battre moins vite et ma température à baisser.

La Paix me pénètre. À l'instant où le Corps entre en dormance, l'Âme s'éveille. Le Corps est tellement brut, visqueux, mal dégrossi. L'Âme a appris à hiberner dans son cachot de morve et de tendons. Notre viande distrait l'Âme et la tient occupée. Notre électricité prend l'Âme dans ses filets, et notre chair, dans son piège. On a beau passer notre vie à tenter de contempler et de canaliser la divinité de notre Âme, on chemine à pas hésitants sans jamais se déraidir suffisamment pour la laisser la Communication s'établir.

Auteur: Tagaq Tanya

Info: Croc fendu

[ raideur ] [ fermeture ] [ chronos ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel