Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 12
Temps de recherche: 0.0291s

femmes-hommes

Vous marinez chez vos harengs ?

Auteur: Internet

Info:

[ plan-drague-mâle ] [ nul ]

 

Commentaires: 0

homophone

Comme un vieillard en sort
ou
Comme un vieil hareng saur.

Auteur: Internet

Info:

[ phonétique ]

 

Commentaires: 0

phonétique

Famille : Les harengs. Les grands marrants. La fleur. Le fer ou engin. L'oncle. La tente. Les coussins.

Auteur: Pef Pierre Elie Ferrier

Info:

[ approximation ]

 

Commentaires: 0

voyage

On assista à la descente de nos bicyclettes à fond de cale. Pauvres bicyclettes. Je tremblai pour elles. Pendues comme des harengs au bout d'un croc, quelle position !

Auteur: Perrodil Édouard de

Info: À travers les cactus. Traversée de l'Algérie à bicyclette, Flammarion, 1896, p 8

[ vélo ] [ transport ]

 

Commentaires: 0

anecdote

Chaval et son oncle étaient un jour dans le métro, à une heure d'affluence, serrés comme des harengs. Tout à coup, l'oncle lui dit : "Retourne-toi !". Chaval se retourne et voit un homme au visage assez commun. Alors l'oncle ajoute : "Regarde bien ce monsieur car il est probable que tu ne le verras jamais plus !"

Auteur: Internet

Info:

[ fantaisie ] [ humour ] [ anonyme ] [ rencontre ]

 

Commentaires: 0

oiseaux pêcheurs

Haut dans le ciel, au-dessus de moi, les pélicans flottaient, portés par les courants d'air chaud, leurs ailes déployées brillant d'or sous le soleil, jusqu'à ce que l'un d'eux, soudain, tombât du ciel tel une bombe qu'on aurait larguée, les ailes repliées contre les flancs, avant de venir exploser à la surface de l'eau pour reprendre son essor, tout dégoulinant, un hareng ou un mulet battant l'air, prisonnier du bec à poche.

Auteur: Burke James Lee

Info: Prisonniers du ciel

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

canevas

On voit d’abord Arletty, jeune fille dauphinoise… de ce pays où l’on fabrique des petites jeunes filles jolies et fanatiques et huguenotes encore… Et puis allant à Paris… gagner sa vie… Et puis fréquentant les milieux protestants de Paris… un jeune élève pasteur, Jérôme, protestant, l’adore… Le jeune ménage genre Armée du Salut… mais elle est mutine, sex-appeal du tonnerre… on joue de l’orgue, elle chante à ravir, les jeunes bourgeois et les ouvriers et les coquins et les harengs viennent l’admirer et lui faire des atteintes au Temple de Courbevoie-la-Garenne… Elle est vertueuse mais le diable est après elle… malgré elle… ce satané charme !...  


Auteur: Céline Louis-Ferdinand

Info: "Arletty, jeune fille dauphinoise", scénario de 1948, jamais produit, monté ni adapté. La trame retrace la vie d’un couple parti évangéliser les "sauvages" en Afrique puis les gangs de Chicago, en passant par le harem d’un maharadjah. Pour finir au Tour du Monde, à Montrouge, un bouge tenu par le Diable, dans lequel Arletty danse et chante, pendant que son mari pasteur, Jérôme, oublie ses sermons dans l’alcool.

[ esquisse ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

british

Considérant que mes oreilles sont restées vierges de musique depuis plusieurs semaines, je pense que le patriotisme est une émotion basse. ... On a joué l'hymne national et un cantique et je n'ai constaté qu'une absence totale d'émotion chez moi comme chez les autres. Si les Anglais parlaient ouvertement de WC et de fornication peut-être seraient-ils remués par des émotions universelles. Les choses étant ce qu'elles sont, toute incitation à vibrer en commun est irrémédiablement gâchée par les pardessus et manteaux de fourrures qui s'interposent. Je commence à abhorrer mon espèce, surtout après avoir considérer les visages dans le métro. Vraiment, je trouve plus agréable de regarder du boeuf cru ou des harengs saurs.

Auteur: Woolf Virginia

Info: Journal intégral : 1915-1941

[ coincés ] [ refoulés ] [ sociologie ]

 

Commentaires: 0

femmes-par-hommes

La rue ensoleillée se déroulait devant lui, les parfums colportés par les filles coulaient à flots dans le caniveau, les jambons suspendus aux devantures des épiceries et les tonneaux de tarama, de harengs fumés et de fromage dressaient le tableau de l'abondance et du bonheur universels comme le bruit de la rue, le bourdonnement des abeilles, les chevaux décharnés des cochers et même cette merveilleuse statue équestre de Matthias Corvin qui se trouvait juste là, bien installée sur son socle.
Il était adossé au cadre jaune d'une vitrine, en compagnie d'une bande d'amis, lorsqu'il la vit passer dans un groupe de filles. Le groupe des garçons salua avec de grands gestes, de sorte que toute la rue détourna le regard pour elle. Elle portait un tailleur bleu, aux lignes épurées, et un chapeau de velours noir aux larges bords. Elle s'avançait avec sa démarche royale, distribuant sans compter des fleurs de sourires. Elle réserva à Negrisor un sourire si particulier qu'ils se retournèrent tous pour le regarder.

Auteur: Mihaescu Gib I.

Info: La Femme chocolat

[ fascinante ]

 

Commentaires: 0

saison estivale

La fin de l'été, aux Solovki, fait penser à un rêve : l'horizon émerge des brumes comme une histoire interrompue au milieu d'un mot, le ciel est gris cendré, la mer d'un gris nacré, et dans l'air c'est l'été de la Saint-Martin. Çà et là, les bouleaux s'enflamment, les herbes jaunissent, la mousse embaume. La terre est recouverte d'une brume grise où dorment prés et marécages ; les lacs aussi semblent sommeiller, rêvant des arbres et des gens penchés au-dessus d'eux. Les gens s'attristent de voir l'été finir et boivent pour prolonger ce rêve. Seulement parmi les oiseaux retentit le vacarme qui précède le voyage : les canards apprennent à nager à leurs petits, les vanneaux pressent au départ, les canards mandarins s'énervent, et les plongeons manigancent quelque chose. Brusquement l'automne est là... ... Nous salons harengs et bolets. Les nuits, sur l'archipel rallongent, comme les ombres des jours, et il fait noir comme dans un four. On aperçoit seulement par moments, tout à coup, des éclats de lumière dans le ciel, comme si elle sourdait de l'autre monde. C'est une sévernoïe sïanié, une aurore boréale...

Auteur: Wilk Mariusz

Info: Le Journal d'un loup, p85-86

[ été indien ] [ littérature ]

 

Commentaires: 0