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perdue

Séduite par la science, il est impossible qu'elle adhère aux castes; imprégnée de scepticisme, elle n'a pas grand-chose d'une hindoue. Plus faible qu'un homme de taille égale, imprégnée d’oestrogènes, elle accepte le fait d'être une femme. Munie d'un cortex préfrontal qui génère des pensées, dessine des lignes causales des origines aux fins mais étouffe les instincts sous le poids de l'abstraction, elle a beaucoup de mal à comprendre pourquoi elle est là, où elle va, d'où elle vient et ce que cela signifie.

Auteur: Abha Dawesar

Info: Sensorium

[ tradition ] [ modernisme ]

 

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littérature

L'un des cas d'injustice intellectuelle les plus flagrants de notre époque fut celui de Jorge Luis Borges, auquel on a refusé le Prix Nobel, simplement en raison de son attitude politique. Borges est l'un des écrivains latino-américains les plus importants du siècle ; le plus important peut-être ; néanmoins le Prix Nobel fut attribué à Garcia Marquez, pasticheur de Faulkner, ami personnel de Castro et opportuniste-né. Son oeuvre, en dépit de certains mérites, est imprégnée d'un populisme de pacotille qui n'est pas à la hauteur des grands écrivains qui sont morts dans l'oubli et qui ont été mis à l'écart.

Auteur: Arenas Reinaldo

Info:

[ Amérique du sud ] [ hiérarchie ] [ vacherie ]

 

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crépuscule

Le bateau accosta le long d'un débarcadère qui ne portait pas de nom. Un soleil rouge était posé sur les lointains contours des faubourgs de Calcutta, qui tremblotaient dans les brumes rose et orange du soir, une simple émanation du fleuve, changeante, incertaine, mouvante comme celui-ci. Plus près de nous, en revanche, la lumière du jour finissant était imprégnée de bleu et tout se détachait avec une netteté délicate : les fabriques et les petits lotissements de la rive, les embarcations sur le fleuve, les cocotiers et les bananiers, l'efflorescence rouge de broussailles et le ruban couleur de rouille d'un sentier de rive, des pieux de clôture, des toits de tuiles marron clair, très bas.

Auteur: Kinsky Esther

Info: La rivière, p 334

[ mégapole ] [ Inde ]

 

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aqua simplex

Pour montrer l’aptitude de l’eau à se composer avec d’autres éléments, nous étudierons d’autres compositions, mais nous devrons nous souvenir que le véritable type de la composition, c’est, pour l’imagination matérielle, la composition de l’eau et de la terre.

Quand nous aurons compris que toute combinaison des éléments matériels est, pour l’inconscient, un mariage, nous pourrons rendre compte du caractère presque toujours féminin attribué à l’eau par l’imagination naïve et par l’imagination poétique. Nous verrons aussi la profonde maternité des eaux. L’eau gonfle les germes et fait jaillir les sources. L’eau est une matière qu’on voit partout naître et croître. La source est une naissance irrésistible, une naissance continue. De si grandes images marquent à jamais l’inconscient qui les aime. Elles suscitent des rêveries sans fin. Dans un chapitre spécial nous avons essayé de montrer comment ces images imprégnées de mythologie animent encore naturellement les œuvres poétiques.

Auteur: Bachelard Gaston

Info: L’eau et les rêves. Essai sur l’imagination de la matière. VI

[ polyvalente ] [ polyféconde ] [ polymorphe ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

conscience collective

[...] quand un type écrit une belle connerie, ce n’est pas parce que personne ne l’a lue qu’elle ne poursuit pas ses effets. Car, sans l’avoir lue, tout le monde la répète. Il y a comme ça des bêtises véhiculées qui jouent sur des mélanges de plans auxquels les gens ne prennent pas garde. Ainsi, la première théorie analytique de la constitution du réel [dans la psychanalyse] est imprégnée des idées dominantes à l’époque, qui s’expriment dans des termes plus ou moins mythiques, sur les étapes de l’évolution de l’esprit humain. L’idée traîne partout, chez Jung aussi, que l’esprit humain aurait fait dans les tout derniers temps des progrès décisifs, et qu’auparavant, on en était encore à une confusion pré-logique – comme s’il n’était pas clair qu’il n’y a aucune différence structurale entre la pensée de M. Aristote et celle de quelques autres.

Auteur: Lacan Jacques

Info: Dans le "Séminaire, Livre I", "Les écrits techniques de Freud (1953-1954)", éditions du Seuil, 1975, pages 202-203

[ représentations du monde ] [ modes ] [ formacja ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

élément distinct

Le mot individualité appliqué à une eccéité (qualité d'une chose d'être ici et maintenant telle qu'elle est) implique une conception unilatérale de la question, comme si unité et ségrégation étaient ici la caractéristique. Mais ce n'est pas le cas. L'unité ségrégative appartient à la conscience immédiate, à la qualité ; et où qu'elle apparaisse, voilà son origine réelle. La véritable caractéristique de cette unité est la dualité ; et ce n'est que lorsqu'un membre de la paire est considéré exclusivement qu'il apparaît comme une individualité.
Mais ce qui est communément présent à notre esprit lorsque nous parlons d'individualité est une manière positive de repousser la généralité. Nos pensées sont tellement imprégnées cette dernière, que nous regardons tout de son point de vue. Au lieu de penser à cette individualité telle qu'elle est en elle-même et pour elle-même, nous la considérons dans sa relation avec la généralité.

Auteur: Peirce Charles Sanders

Info: Abstracts of 8 Lectures, 1897-8, Manuscript Id: MS [R] 942. From the Robin Catalogue

[ notion séparée ] [ dichotomie ] [ focalisation ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

contemplation

Comment dénombrer les mondes auxquels l'œil me donne accès ? - Le monde de la lumière, de la couleur, de la forme, de l'ombre : de la précision mathématique du flocon de neige, de la formation des glaces, du cristal de quartz, des motifs d'étamine et de pétale : du rythme dans la courbe fluide et la ligne plongeante des parois montagneuses. Je ne sais pas pourquoi certains blocs de pierre, découpés en formes violentes et torturées, peuvent apaiser si profondément l'esprit. Peut-être l'œil impose-t-il son propre rythme à ce qui n'est que confusion : il faut faire preuve de créativité pour voir dans cette masse rocheuse autre chose que pitons et saillies - du beau. Sinon, pourquoi les hommes ont-ils jugé les montagnes comme repoussantes pendant tant de siècles  ? Une certaine forme de conscience interagit avec les formes de la montagne pour créer ce sentiment de beauté. Encore faut-il que les formes soient là pour que l'œil les voie. Et des formes d'une certaine spécificité : de quelconques taches n'y suffiraient pas. Comme pour toute création, il s'agit de matière imprégnée d'esprit, mais ce qui en résulte est un esprit vivant, une lueur dans la conscience, qui périt lorsque cette lueur s'éteint. C'est quelque chose d'arraché au non-être, cette ombre qui s'insinue continuellement en nous et qui peut être repoussée par un acte créatif continu. Ainsi, le simple fait de regarder quelque chose, comme une montagne, avec l'amour qui la pénètre jusqu'à son essence, c'est élargir le domaine de l'être dans l'immensité du non-être. L'homme n'a pas d'autre raison d'exister.

Auteur: Shepherd Nan

Info: The Living Mountain , trad FLP

[ spiritualité ] [ cognition visuelle ] [ émergence miroir ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

science-fiction

Ce décodeur multi-quantique universel, en permettant de geler et de fixer certaines plages-séquences - elles-mêmes complexes enchevêtrements simultanés en mouvement - permet alors de les comparer entre elles via de très raffinées simulations. Ces simulations comparatives, qui ne sont encore que de pauvres transpositions de qualité médiocres, apportent cependant un nouvel éclairage. Ce que nous appelons un changement de paradigme véritable.

Ecoutez-moi bien : les planètes sont des matrices, chacune est le socle créateur où se développe un éco système interconnecté, évolution locale fondée et auto imprégnée des couches successives d'une évolution propre articulée sur des spécificités et des paramètres d'un temps T à un endroit E. Résultat : chaque développement organique planétaire a des bases si "originales" en terme de syntonisation de ses vibrations sources que l'intrication singulière développée sur une planète X ou Y rend la vie de sa surface invisible aux autres, sauf rarissimes exceptions que la théorie prédit mais n'a pas encore découvertes.

Par exemple nous autres ne pouvons distinguer que des amas gravitationnel rond, constitués d'atomes et de particules en apparence identiques aux nôtres, ce qui est une erreur.

C'est à dire que tout monde-sphère autre que le sien apparaît comme "désert" aux yeux de l'explorateur étranger, même si ces deux mondes sont dans le même système solaire. Les vies des planètes sont isolées les unes des autres à cause de ces déphasages.

Une autre équipe à aussi montré que deux mondes proches avec un paramétrage biophysique d'origine quasi similaire ne font pas émerger des systèmes de vie perceptibles l'un pour l'autre, ce qui donne une idée de l'infinie finesse de ces variations poly vibratoires. Tout décalage biophysique quantique originel modifie donc profondément la perception de ce que l'observateur appelle "vie non minérale évoluée" à la surface d'une planète autre que la sienne.

Ici telle planète-civilisation très ancienne et complexe apparaît comme un monde invivable parce que déchiré par de puissants cyclones sous des pressions atmosphériques inimaginables pour nous. Là une autre sphère biotope à un stade plus précoce de son évolution, qui est vue comme un enfer désertique et glacial douché par de fréquentes pluies de méthane. Ou là encore, telle planète, sans lumière parce que trop éloignée de son soleil et entièrement recouverte d'un océan-banquise instable, empêchera même d'imaginer un vie à sa surface. Et pourtant cet obscur chaudron abrite des organismes, si loin de nous que vouloir les décrire, même si c'est formellement possible, constitue une entreprise ridicule.

C'est de ces constats que naquit l'hyper-relativité.

Auteur: Mg

Info: 26 octobre 2017 - Les théories de Piel Essiarf, In "A la recherche de Zoul"

[ solipsisme planétaire ] [ dé-syntonisation ] [ limitations sensorielles ] [ niveaux vibratoires ] [ autopoïèse ] [ self-organisation ] [ exoplanètes ]

 
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monades et leur limites

Un peu de science-fiction pour présenter/entamer cette chaine

Tout d'abord il y a ici un problème de point de vue. D'où parle le créateur lecteur de cette chaine FLP ? A l'évidence il le fait depuis le sol terrestre, armé de ses sens, de la logique, et du langage, tous fortement grégaires, de son époque. Il sait qu'il n'est qu'un produit de tout ceci. 

Donc, avec le temps, les explorations multiples et tout le recul qu'il en acquiert, ces outils lui paraissent limitants.

Et puis, Internet aidant, il y a accès à de multiples sites/vidéos/témoignages, qui parlent d'autres réalités, mondes parallèles, mentaux, éthériques... Appelez-les comme vous voulez, ces autres dimensions, elles aussi fortement imprégnées par la culture de ceux qui en font témoignages, et donc sujettes à caution, voire peut-être plus à interpréter comme les projections de la singularité de chaque conteur-univers. Ici apparait une fois encore le tropisme humain, qui consiste à vouloir analogiser, catégoriser, conforter, etc. bref à développer des modèles rassurants. 

Mais oublions cela.

Ces autres réels permettent, même si c'est fortement virtuel, de se placer d'un point de vue d'où notre "réalité consensuelle humaine" peut être appréhendée avec un plus de distanciation. 

Et ça c'est bien sympatoche. 

Ainsi, bien calés depuis cette nouvelle perspective, on peut y aller avec des questions qui, n'en doutons pas, donneront à beaucoup une forte "impression d'olé olé". Et alors ?

Donc : est-ce qu'il existe une limitation personnelle, plus qu'une limitation d'espèce ? Quelle est la part limitative de l'individu au sein de sa race ?  Si nous sommes tous quelque part connectés à ce qu'on nommera au-delà, ceci via un "higher self", ce dernier est-il  limité à l'akashique Gaïa ? (ce qui est mon impression personnelle au passage) 

Autrement dit : les limitations se transcendent-elles mieux, ou plus facilement, au niveau personnel ou au niveau collectif ?... 

Exprimé différement : s'il existe un "Moi supérieur" métempirique, mieux averti, hyper conscient ou autre... est-il autant éloigné des autres "Moi supérieurs" que les "petits moi-ego" humains le sont entre eux à notre niveau inférieur ?

D'un point de vue astral élargi on pourrait aussi le formuler comme ceci : quelles sont les analogies entre mondes à basses vibrations (planétaires ?) et ceux dépeints comme "mondes supérieurs ou mondes à plus hautes vibrations", ces derniers étant par définition beaucoup plus vastes, plus élargis... plus ouverts. 

D'où, au-delà de ce questionnement quant aux éloignements des entités entre elles, cette question : s'il existe des analogies entre les divers niveaux vibratoires, planètes, univers... quelles sont elles ?

Et, pour pousser le bouchon plus au large : qu'en est-il alors de ceux aptes à se déplacer entre les couches, verticalement, pour autant que ce terme puisse avoir un sens ? 

Les anges en sont parait-il, même si les sources indiquent - par exemple - que notre niveau vibratoire pris à son plus haut point possible reste comme situé au fond d'un abime très difficilement accessible (trop bas) pour un ange. 

Bref tout ceci est bien amusant, et permet de tenter, humblement et sémantiquement, de tatouiller des limites qui semblent bien être celles de nos perceptions... et puis, de nos langages.

Auteur: Mg

Info: 26 août 2020

[ extrapolations ] [ prospectives ] [ anticipation ] [ moi miroir ] [ point de singularité ]

 
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santé

Le cuivre, l’ennemi numéro 1 des microbes
En mars dernier, des recherches ont montré que le coronavirus SARS-CoV-2 (Covid-19), responsable de la pandémie de Covid-19, peut survivre jusqu’à quatre heures sur du cuivre, jusqu’à 24 heures sur du carton, et jusqu’à trois jours sur du plastique et de l’acier inoxydable (bien que la charge virale soit, après 72 heures, considérablement réduite). À la publication de cette étude, la seule chose qui surprit Bill Keevil était que l’agent pathogène avait survécu aussi longtemps sur le cuivre.

Ce spécialiste en microbiologie à l’Université de Southampton (Royaume-Uni) est en effet habitué à voir “tomber” les microbes au contact du métal. Dans son laboratoire, qu’il s’agisse de Legionella pneumophila, la bactérie responsable de la maladie du légionnaire, du Staphylococcus aureus, résistant à la méthicilline (SARM), du coronavirus responsable du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), ou encore de H1N1, le virus responsable de la pandémie de grippe porcine de 2009, tous, au contact du cuivre, succombent en quelques minutes.

Les propriétés antimicrobiennes du cuivre ne sont pas nouvelles pour les humains. L’une des premières utilisations enregistrées de cet élément comme agent désinfectant provient du papyrus Ebers, l’un des plus anciens traités médicaux connus, daté du XVIe siècle av. J.-C., pendant le règne d’Amenhotep Ier.

Plus tard, dès 1600 avant J.-C, nous savons que les Chinois utilisaient également des pièces de cuivre pour traiter les douleurs cardiaques et gastriques, ou encore les troubles de la vessie. Autre exemple avec les phéniciens qui, en mer, inséraient parfois des morceaux de leurs épées en bronze (un alliage du cuivre) dans leur blessures pour prévenir les infections. Très tôt également, les femmes ont pris conscience que leurs enfants souffraient beaucoup moins souvent de diarrhées lorsqu’ils buvaient dans des récipients en cuivre. Ce savoir se transmit alors de génération en génération.

Comment expliquer les pouvoirs antimicrobiens du cuivre ?
"Les métaux lourds, dont l’or et l’argent, sont antibactériens, mais la composition atomique spécifique du cuivre lui confère un pouvoir de destruction supplémentaire, explique Bill Keevil. Le cuivre a un électron libre dans sa coquille orbitale externe d’électrons qui participe facilement aux réactions d’oxydoréduction (ce qui fait également du métal un bon conducteur)". C’est cet électron qui, en quelque sorte, vient oxyder les molécules de l’agent pathogène. "L’argent et l’or n’ont pas d’électron libre, poursuit le chercheur. C’est pourquoi ils sont moins réactifs".

Mais le cuivre a également d’autres cordes à son arc. Lorsqu’un microbe atterrit dessus, ses ions vont littéralement faire exploser la membrane cellulaire de l’agent pathogène qui, de ce fait, se retrouve à nu. Les ions s’attaquent ensuite librement à l’ADN ou l’ARN de la victime, empêchant sa réplication.

Bien conscient de toutes ces propriétés, Michael G. Schmidt, professeur de microbiologie à l’Université médicale de Caroline du Sud (États-Unis), focalise depuis plusieurs années ses recherches sur les pouvoirs du cuivre en milieu hospitalier.

Au terme d’une étude menée sur 43 mois, concentrée sur trois hôpitaux proposant des alliages de cuivre sur les rails de chevet, les supports d’administration intraveineuse ou encore sur les accoudoirs de chaises, il avait été constaté une réduction de 58% des infections nosocomiales comparé aux résultats d’établissements plus “classiques”.

Dans le cadre d’une autre étude menée sur deux ans, publiée plus tôt cette année, le chercheur a cette fois comparé les lits d’une unité de soins intensifs proposant des surfaces en plastique et ceux proposant du cuivre. Il est finalement ressorti que les premiers dépassaient les normes de risque acceptées dans près de 90% des échantillons, tandis que les seconds ne dépassaient ces normes que sur 9%.

Depuis plusieurs années, des centres hospitaliers, compte tenu de toutes ces vertus antimicrobiennes, ont évidemment fait le choix du cuivre. Que ce soit dans la robinetterie, les poignées de portes et autres éléments de mobilier. C’est notamment le cas aux États-Unis, en France, en Pologne, ou encore au Pérou et au Chili. Il y a deux ans, des chercheurs britanniques ont également mis au point des blouses imprégnées de nanoparticules de cuivre, toujours dans l’idée de limiter les infections nosocomiales.

Malgré tout, le retour du cuivre se fait encore assez timide, principalement pour des raisons budgétaires. L’actualité sanitaire, en revanche, pourrait pousser d’autres centres hospitaliers à se pencher sur la question. De leur côté, les entrepreneurs pourraient être amenés à proposer des solutions plus abordables.

Auteur: Internet

Info: https://sciencepost.fr, Brice Louvet 21 avril 2020

[ antiseptique ] [ antiputtride ]

 

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