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appartenance

L'humanité est une famille entière et indivisible. Je ne peux me désolidariser même de l'âme la plus noire.

Auteur: Gandhi Mahatma

Info:

[ indéfectible ] [ race ]

 

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fanfaron

Certains voyaient en lui le type même de l'original et du raté, heureux malgré tout, puisqu'il ne paraissait pas remarquer les torts qu'il subissait, racontant ses nombreuses déveines avec un humour indéfectible.

Auteur: Kharitonov Mark

Info: Prokhor Menchoutine

[ hableur ]

 

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espérance

Ce n'est pas l'amour qui permet au coeur de battre, ce sont des cellules musculaires, mais c'est la poésie, l'immortelle poésie, l'indéfectible poésie, l'inaltérable et légère poésie du monde qui a fait de l'amour le moteur du cœur des hommes.

Auteur: Beaulieu Baptiste

Info: La mort est une garce

[ romantisme ]

 

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portrait

Comme disait Muray, il faut jeter les Bobos avec l'eau du Bien.

Les bobos sont toujours les zélés propagateurs de l’idéologie, ses vecteurs indéfectibles, de l’écologisme culpabilisateur aux outrances de la bio-politique (GPA, PMA...) en passant par le scientisme le plus effréné, ils sont toujours les premiers soutiens du discours dominant en substituant systématiquement à la rigueur de la logique les arguments de la souffrance et leurs prétendus "bons sentiments", favorisant ainsi la croissance du nihilisme postmoderne.

Auteur: Dubuis Santini Christian

Info: Sur Facebook, 07.11.18

[ béni-oui-oui ] [ distanciation ] [ porte-parole ] [ décadence ]

 
Mis dans la chaine

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Ajouté à la BD par Coli Masson

responsabilité

Je suis indéfectiblement convaincu qu'il n'est rien de plus difficile que d'être parent. Toutes les autres relations ont une issue de secours. On peut quitter un partenaire, c'est arrivé à la plupart, quand l'amour s'épuise, quand on s'éloigne l'un de l'autre, ou quand le cœur n'y est plus. On peut laisser des amis ou des connaissances sur le bord du chemin, des membres de sa famille, même ses frères et sœurs ou ses parents. On peut les laisser et continuer sa route, s'en sortir quand même. Mais son enfant, on ne peut jamais l'abandonner.
(...)
N'être pas là pour son enfant. Il n'y a pas pire trahison.

Auteur: Edvardsson M.T.

Info: Une famille presque normale

[ devoir ] [ procréation ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

éloge

Une femme qui, jusqu'à sa dernière heure, se refusa de vivre et de hurler avec la meute des loups régents.
Qui ne céda jamais à l'accouplement effroyable du conformisme et de la terreur qui sévissaient alors dans sa Russie natale.
Et qui décida d'en finir lorsque la misère ajoutée à la déréliction et à une politique meurtrière étranglèrent définitivement sa parole poétique, indéfectiblement liée à sa capacité d'aimer.
Elle s'appelait Marina Tsvetaeva, et la poésie, disaient ses proches, sourdait d'elle et jaillissait comme l'eau vive des fontaines.
(...) Comment supporter une voix si farouchement libre qu'elle révélait sans coup férir la comédie de ceux qui n'habitaient pas véritablement leur parole.

Auteur: Salvayre Lydie

Info: 7 femmes

[ femmes-par-femmes ] [ littérature ]

 

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libération

Là où je pense que l’enseignement du Bouddha, tel que préservé dans la tradition Theravada, surpasse toutes les autres tentatives pour résoudre les dilemmes spirituels de l’humanité, c’est dans son refus persistant de sacrifier la réalité pour l’unité. Le Dhamma du Bouddha ne nous dirige pas vers un absolu global dans lequel les tensions de l’existence quotidienne se dissolvent dans une unité métaphysique ou un vide insondable. Il nous dirige plutôt vers la réalité comme dernière sphère de compréhension, vers les choses telles qu’elles sont réellement (yathabhuta). Par-dessus tout, il nous indique les Quatre Nobles Vérités de la souffrance, de son origine, de sa cessation, et du chemin conduisant à sa cessation comme la proclamation libératrice des choses telles qu’elles sont. Ces quatre vérités, déclare le Bouddha, sont des nobles vérités, et ce qui en fait la noblesse est précisément qu’elles sont réelles, indéfectibles et invariables (tatha, avitatha, anannatha). C’est l’incapacité à faire face à la réalité de ces vérités qui nous a fait errer pendant si longtemps dans le long cours du samsara. C’est en pénétrant ces vérités telles qu’elles sont que l’on peut parvenir à la véritable réalisation de la quête spirituelle : mettre fin à la souffrance.

Auteur: Bhikkhu Bodhi

Info: Dans “Dhamma et non-dualité”, traduit par Alain Durel, https://linactuelle.fr/index.php/2019/12/30/bhikkhu-bhodi-bouddhisme-theravada-dualite/

[ bouddhisme ] [ anti-métaphysique ] [ acceptation ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

rédemption

C'est le péché partout présent dans les cœurs qui rend la guerre nécessaire, en appelant sur la masse des hommes un juste châtiment. Mais Dieu ne consent à cette violence qu'à regret : condition de la régénération morale des peuples, la guerre châtie et sauve en même temps les créatures peccamineuses qui tombent sous le coup de cette fureur sacrée. Elle ne se justifie que dans la perspective eschatologique d'une "extinction du mal", d'une "mort de la mort" qui marquera aussi sa propre disparition de la surface du globe.
C'est pourquoi, dans la perspective paradoxale que Maistre adopte volontiers, la guerre, comme tout châtiment, est effectivement juste et miséricordieuse. Il faut y voir un "trait particulier" de la bonté divine, car si Dieu consent à la souffrance des hommes en ce monde, c'est pour ne pas avoir à les "châtier beaucoup plus sévèrement dans l'autre", en les jetant en Enfer. Ainsi, la vie terrestre est une sorte de purgatoire [...].
[...] Du fait des audacieuses conversion que leur réflexion opère, les interlocuteurs des Soirées font parfois penser à des alchimistes. Le plomb de la barbarie humaine, expression d'un mal fondamental, se métamorphose au fil de leurs propos en or providentiel. Maistre, par la voix de ses personnages, entend manifester ainsi son indéfectible attachement à l'espérance chrétienne.

Auteur: Glaudes Pierre

Info: Introduction aux "Soirées de Saint Petersbourg" dans les Oeuvres de Joseph de Maistre, édition établie par Pierre Glaudes, page 420

[ point de vue religieux ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

élitisme

La certitude d’être un destin implique d’être pour l’éternité. C’est-à-dire de souffrir dans l’étroitesse de l’instant présent. Elle installe dans le devenir et rend périlleuse la fixité des moments actuels. Sûr de son fait, il (Arnold) écrit à Rufer, en 1921 : "J’ai fait une découverte qui assurera la suprématie de la musique allemande pour les cent ans à venir." À savoir la composition à l’aide des douze sons. Nietzsche détruit le platonisme, l’enjambe et promeut son esthétique vitaliste ; Schönberg pulvérise la tonalité, la dépasse et fonde le dodécaphonisme. Fort de ces certitudes, le musicien, tout comme le philosophe, débouchent sur une éthique solaire et solitaire, radieuse et radicalement aristocratique. D'où une croyance indéfectible aux droits de la plus petite des minorités qui va avec une certaine morgue à l’endroit du plus grand nombre et des troupeaux attardés.

Formulant cette éthique qui assume ouvertement ce que Nietzsche appelait "le pathos de la distance", le compositeur écrit : "Si c’est de l’art, ce n’est pas pour les masses ; si c’est pour les masses, ce n’est pas de l’art." Il n’en démordra pas. Et peut-on lui donner tort ? Les régimes totalitaires, sous toutes leurs formes, pourvu qu’ils aspirent à l’homme unidimentionnel visent la musique populaire, pour les masses et pour des consommations qui ont moins à voir avec l’esthétique qu’avec l’idéologie ― de la révolution prolétarienne au grand Reich antisémite en passant par le marché généralisé.

Auteur: Onfray Michel

Info: Journal hédoniste : Tome 1, Le désir d'être un volcan. Arnold et Frédéric pp 370-371

[ beaux-arts ] [ dodécaphonisme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel