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apaisement

[L’existence du symptôme] peut faire taire une demande du surmoi, ou […] repousser une exigence du monde extérieur. Voilà donc le symptôme chargé peu à peu de représenter d’importants intérêts ; il prend une valeur dans l’affirmation de soi, tend à ne plus faire qu’un avec le moi et il lui devient de plus en plus indispensable. […] Le moi est tout disposé à faire la paix et voudrait s’incorporer le symptôme, en faire une partie de lui-même […].

Auteur: Freud Sigmund

Info: Inhibition, symptôme et angoisse, pages 15-16

[ bénéfice secondaire ] [ pulsion de mort ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

retour à la nature

Quand nous nous retirons du bruit de la vie moderne, nous ne  découvrons pas simplement un monde intérieur, mais aussi une conscience plus profonde des instincts que nous avons perdus. Nous mettre à leur diapason exige du temps et du silence. Etre présent avec tous nos sens nous permet d'imaginer et d'habiter le monde autrement. Cette intuition réside en chacun de nous. Se connecter à nous-mêmes nous permet de nous enfoncer dans nos instincts plus sauvages et dans notre moi plus profond, sans inhibitions.

Auteur: Calidas Tamsin

Info: Je suis une île

[ décrochement social ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

paralysie intellectuelle

L’investigation a pris la place de l’action, de la création. Qui a commencé à pressentir la magnificence de l’univers organisé et ses nécessités perd facilement son petit moi personnel. Plongé dans l’admiration, devenu véritablement humble, on oublie trop facilement qu’on est soi-même une partie de ces forces agissantes et qu’on est en droit de tenter, dans la mesure de sa force personnelle, de modifier une partie de ce cours nécessaire de l’univers, cet univers dans lequel ce qui est petit n’est certes pas moins admirable et significatif que ce qui est grand. 

Auteur: Freud Sigmund

Info: Un souvenir d’enfance de Léonard de Vinci, chapitre I, page 77

[ dévalorisation de soi ] [ inhibition ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

meurtrier

Tous les instincts que l'on trouve chez un homme se retrouvent chez tous les hommes. La force de l'émotion n'est peut-être pas aussi puissante, les barrières contre la possession pas aussi insurmontables, l'envie de satisfaire le désir moins vive. Chez certains, les inhibitions et les pulsions peuvent être neutralisées par d'autres tendances. Mais chez tout être, les émotions primaires sont là. Tous les hommes ressentent l'émotion de tuer ; lorsqu'ils n'aiment pas du tout quelqu'un, ils souhaitent involontairement sa mort. Je n'ai jamais tué personne, mais j'ai lu certains avis de décès avec une grande satisfaction.

Auteur: Darrow Clarence

Info: L'histoire de ma vie

[ potentiel ]

 

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écrivain-sur-écrivain

Il aura assisté à des cérémonies monstres. Il se sera senti insulté dans son humanité souffrante par la pompe romaine incendiée de draperies. L'un des traits du ressentiment n'est-il pas d'ailleurs l'impuissance à admirer ? Une inhibition intestinale devant le Beau ? Un engorgement vengeur ? Sans doute, sans doute, nous dit Zola devant toutes ces merveilles, sans doute peut-on trouver cela magnifique. Mais que de sang ! Que d'obscurantisme ! Que d'âges de ténèbres ! Bref, il est incapable de jouir de ce qu'on appelle l'art et qui dévalorise même l'injustice et la misère. Il y a beaucoup trop à faire.

Auteur: Muray Philippe

Info: Exorcismes spirituels, tome I : Rejet de greffe. Zola, "Rome", l'abbé Froment au Vatican, p. 168

[ questions ] [ esthétisme ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

angoisse

Le mal-être, le déséquilibre, voire la maladie ne s'installent que lorsqu'il y a excès de stress, quand l'individu ne peut plus faire face à ses propres émotions (peurs, désirs, inhibition ...) Car, de manière parfaitement naturelle et équilibrée, le stress est positif : il est le moteur de vie qui nous anime ; il nous permet de nous adapter aux diverses sollicitations extérieures pour évoluer, et de répondre aux motivations qui nous incitent à agir pour nous dépasser.
Sans stress, homo sapiens n'aurait jamais pu survivre au froid, à la faim, au danger ... et n'aurait jamais su appréhender le monde, l'apprivoiser et s'y faire "une place au soleil".

Auteur: Gérault Guillaume

Info: Vaincre le stress

[ thérapie ] [ tension ]

 

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grandir

La propension à modifier son environnement interne et la faculté d'influencer positivement l'environnement externe indiquent la capacité d'une personne à se développer. En règle générale, ces facteurs sont concommitant avec une excitabilité psychique accrue, avec des dépressions, une insatisfaction de soi, des sentiments d'infériorité et de culpabilité, états d'anxiété... à des inhibitions et des ambivalences... autant de symptômes que le psychiatre aura tendance à qualifier de psychonévrotiques. Si on définit la santé mentale comme un épanouissement de la personnalité, on peut dire que l'individu qui présente un tel développement actif en direction d'un niveau supérieur de personnalité - y compris la plupart des patients psychonévrotiques - est en bonne santé mentale.

Auteur: Dabrowski Kazimierz

Info: Désintégration positive 1964, p. 112

[ épreuves ] [ dépassement ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

écriture

[...] on ne voit pas que la graphomanie formidable qui envahit la société est la conséquence de la disparition de quelques vestiges de la vie historique, et notamment de la littérature du passé en tant que contrainte, intimidation, inhibition. Il faudrait distinguer la littérature d’empêchement et la littérature d’encouragement. Balzac, c’est de la littérature d’empêchement. Angot [...], c’est de la littérature d’encouragement : c’est-à-dire que n’importe qui, devant un paragraphe d’Angot, se sent immédiatement capable d’être aussi stupide, fou, obsédé, pas drôle, etc. : il suffit de s’asseoir devant son écran et d’imiter les chimpanzés dactylographes de la légende, ce n’est pas plus difficile que cela. Les néo-auteurs, pas le moins du monde intimidés, exercent leur droit à écrire comme s’il s’agissait d’un droit de l’homme.

Auteur: Muray Philippe

Info: Dans "Exorcismes spirituels, tome 4", Les Belles Lettres, Paris, 2010, page 1463

[ non-démocratique ] [ réserve ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

céphalée

Prenons comme exemple l’une des manifestations psychosomatiques les plus répandues : le mal de tête. Dans la vie quotidienne, il sert très couramment de prétexte à se retirer, mais – sauf dans le cas d’un menteur invétéré -, il y a effectivement une expérience physique authentique, où le corps dit en substance, dans le langage qui est le sien : "Cette situation me donne la migraine", ou bien : "Tu me rends malade". Les maux de tête sont des mécanismes d’interruption du contact. Pour faire face à une situation donnée, l’organisme crée une excitation qu’il transforme ensuite en émotion, puis en action. Mais si l’excitation est retournée contre soi-même, l’action qui aurait dû permettre d’accomplir un objectif se transforme en une inhibition susceptible de créer une simple manifestation ou même un véritable symptôme psychosomatique.

Auteur: Perls Frederick "Fritz"

Info: Manuel de Gestalt-thérapie : La Gestalt : un nouveau regard sur l'homme

[ somatopsychique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

concurrence

Finalement, dans la compétition, on est toujours en inhibition de l’action parce que quand on obtient un palier dans l’échelle hiérarchique, on veut en obtenir un autre, il faut donc absolument ne pas suivre les carottes qu’on vous tend, inventer un moyen d’utiliser cette société pour ne pas qu’elle vous ennuie trop, ne pas trop l’ennuyer parce que les autres sont plus nombreux que vous et ils vous auront à tous les coups. Ca c’est de la créativité, c’est d’imaginer votre quotidien de façon à ne pas mourir et ne pas vieillir prématurément, pas faire trop de mal autour de vous. C’est la seule façon qu’il y ait tant que la planète, tous les hommes de cette planète, ne seront pas renseignés sur ce qu’ils sont, ce que sont les autres et que les rapports sociaux aient complètement été transformés.

Auteur: Laborit Henri

Info: Internet, Laborit au Québec part 3/3 à 1’27 à 2’20

[ hiérarchisation carcan ]

 
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Ajouté à la BD par miguel