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être humain

Les grizzlis communiquent au moyen de leur taille, de leurs postures, de leur gueule, de leurs oreilles et de leurs yeux. Lorsqu'ils se dressent sur leurs pattes de derrière en balançant la tête, ils essaient simplement de mieux voir et de mieux sentir. Un grizzli qui souffle des whoosh est inquiet mais ne représente pas une menace pour l'homme. Par contre, s'il lance des woof tout en restant sur place, il peut être dangereux. Quand il ouvre et ferme ses mâchoires tout en bavant, il est temps de prendre la fuite. S'il baisse la tête vers l'une de ses pattes de devant tout en regardant sur le côté, il vous indique qu'il aimerait s'éloigner paisiblement si vous en faites autant. Si sa tête est tournée vers le côté, vous pouvez encore vous en aller. Si elle est basse, mais bien droite, et que ses oreilles sont rabattues vers l'arrière, il est sur le point de charger. Si, au dernier moment, ses yeux deviennent fixes et froids, vous êtes vraisemblablement dans un beau merdier.(...) C'est certainement l'ultime signal que vous recevrez avant de voir une masse de fourrure fondre sur vous.

Auteur: Peacock Doug

Info: Mes années grizzly

[ animal ] [ communication ]

 

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poème

La grande plaine est blanche, immobile et sans voix.
Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte.
Mais on entend parfois, comme une morne plainte,
Quelque chien sans abri qui hurle au coin d'un bois.

Plus de chansons dans l'air, sous nos pieds plus de chaumes.
L'hiver s'est abattu sur toute floraison ;
Des arbres dépouillés dressent à l'horizon
Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.

La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu'elle a froid dans le grand ciel austère.
De son morne regard elle parcourt la terre,
Et, voyant tout désert, s'empresse à nous quitter.

Et froids tombent sur nous les rayons qu'elle darde,
Fantastiques lueurs qu'elle s'en va semant ;
Et la neige s'éclaire au loin, sinistrement,
Aux étranges reflets de la clarté blafarde.

Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux !
Un vent glacé frissonne et court par les allées ;
Eux, n'ayant plus l'asile ombragé des berceaux,
Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.

Dans les grands arbres nus que couvre le verglas
Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ;
De leur oeil inquiet ils regardent la neige,
Attendant jusqu'au jour la nuit qui ne vient pas.

Auteur: Maupassant Guy de

Info: Nuit de neige,

[ obscurité ]

 

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vérités générales

Je vois l'homme d'autant plus inquiet qu'il a perdu le goût des fables, du fabuleux, des Légendes, inquiet à hurler, qu'il adule, vénère le précis, le prosaïque, le chronomètre, le pondérable. Ça va pas avec sa nature. Il devient fou, il reste aussi con. [...] On l'éberlue de mécanique autant que les moines de mômeries nos pères les crasseux, il fonce le moderne, il charge, du moment qu'on lui cause atomes, réfractions cosmiques ou "quanta", il croit que c'est arrivé dur comme fer. Il est en or pour tous panneaux. Il donne dans le prestige des savants comme autrefois aux astrologues, il s'est pas encore rendu compte que d'additionner des pommes ou de mettre en colonnes des atomes, c'est exactement semblable, c'est pas plus sorcier, c'est pas plus transcendant l'un que l'autre, ça demande pas plus d'intelligence. Tout ça c'est de la vaste escroquerie pour bluffer le bonhomme, l'appauvrir, le dégoûter de son âme, de sa petite chanson, qu'il aye honte, lui couper son plaisir de rêve, l'ensorceler de manigances, dans le genre Mesmer, le tripoter, le conditionner trépied de machine, qu'il renonce à son cœur, à ses goûts, muet d'usine, moment de fabrication, la seule bête au monde qu'ose plus du tout sauter de joie, à son caprice, d'une patte sur l'autre, d'une espièglerie qui lui passe, d'un petit rythme de son espèce, d'une fredaine des ondes.

Auteur: Céline Louis-Ferdinand

Info: Dans "Bagatelles pour un massacre"

[ savoirs uniformisants ] [ esbroufe ] [ sujets supposés savoirs ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

séparation

Père ! dis-je. Chacun suit son destin, mon petit ; les hommes n’y peuvent rien changer. Tes oncles ont étudié. Moi –mais je te l’ai déjà dit : je te l’ai dit, si tu te souviens quand tu es parti pour Conakry…moi, je n’ai pas eu la chance et moins encore la tienne…mais maintenant que cette chance est devant toi, je veux que tu la saisisses ; tu as su saisir la précédente, saisis celle-ci aussi, saisis-la bien ! Il reste dans notre pays tant de choses à faire…Oui, je veux que tu ailles en France ; je le veux aujourd’hui autant que toi-même : on aura besoin ici sous peu d’hommes comme toi…Puisses-tu ne pas nous quitter pour trop longtemps ! Nous demeurâmes un long bout de temps sous la véranda, sans mot dire et à regarder la nuit ; et puis soudain mon père dit d’une voix cassée : promets-moi qu’un jour tu reviendras ? Je reviendrai ! dis-je. Ces pays lointains…dit-il lentement. Il laissa sa phrase inachevée ; il continuait de regarder la nuit. Je le voyais, à la lueur de la lampe-tempête, regarder comme un point dans la nuit, et il fronçait les sourcils comme s’il était mécontent ou inquiet de ce qu’il y découvrait. Que regardes-tu ? dis-je. Garde-toi de jamais tromper personne, dit-il ; sois droit dans ta pensée et dans tes actes ; et Dieu demeurera avec toi. Puis il eut comme un geste de découragement et il cessa de regarder la nuit.

Auteur: Laye Camara

Info: L'enfant noir

[ voyages ] [ afrique ] [ douleur ] [ espoir ] [ dernières paroles ]

 

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homme hypermoderne

Le nouveau Narcisse est hanté, non par la culpabilité mais par l’anxiété. Il ne cherche pas à imposer ses propres certitudes aux autres, il cherche un sens à la vie. Libéré des superstitions du passé, il en arrive à douter de la réalité de sa propre existence. Superficiellement détendu et tolérant, il montre peu de goût pour les dogmes de pureté raciale ou ethnique, mais il se trouve également privé de la sécurité que donne la loyauté du groupe et se sent en compétition avec tout le monde pour l’obtention des faveurs que dispense l’État paternaliste. Sur le plan de la sexualité, il a une attitude ouverte plutôt que puritaine, bien que son émancipation des anciens tabous ne lui apporte pas la paix pour autant dans ce domaine. Il se montre ardemment compétitif quand il réclame approbation et acclamation, mais il se défie de la compétition car il l’associe inconsciemment à une impulsion irrépressible de destruction. Il répudie donc les idéologies fondées sur la rivalité, en honneur à un stade antérieur du capitaliste, et s’en méfie même lorsqu’elles se manifestent de façon limitée dans les sports et les jeux. Il prône la coopération et le travail en équipe tout en nourrissant des impulsions profondément antisociales. Il exalte le respect des règlements, secrètement convaincu qu’ils ne s’appliquent pas à lui. Avide, dans la mesure où ses appétits sont sans limites, il n’accumule pas les biens et la richesse à la manière de l’individu âpre au gain de l’économie politique du XIXe siècle, mais il exige une gratification immédiate, et vit dans un état de désir inquiet et perpétuellement inassouvi.

Auteur: Lasch Christopher

Info: Dans "La culture du narcissisme", trad. Michel L. Landa, éd. Flammarion, Paris, 2018, pages 13-14

[ description psychologique ] [ contradictions ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

animal domestique

Journée particulière. Je pars avec mon chien dans la forêt comme de coutume. Soudain il file comme une flèche à l'intérieur d'un sous-bois de résineux très sombre. Après quelques secondes j'entends des feulements impressionnants. Inquiet (Merlin a parfois des problèmes de bagarre avec d'autres chiens - nous somme en Suisse) je fonce en courant dans le sous-bois. Je suis en pantoufles de gym, il fait moins 2 et il y a 20 cm de neige. J'arrive au sommet d'une forte pente et je vois la tête d'un chevreuil qui se débat dans le petit cours d'eau au fond du ravin, le chien n'est pas visible, caché par le dévers. Je hurle. Merlin surgit et remonte aussitôt vers moi, la tête dans les épaules, genre " j'ai encore fait une connerie."
Je le ramène à la maison pour l'y laisser, mets des chaussures adaptées et repars le long du ruisseau dans le creux très accidenté de la gorge pour découvrir le chevreuil, un jeune adulte magnifique, allongé dans 20 cm d'eau. Mort. Je le prends sur mes épaules et le remonte péniblement à la maison.
5 heures plus tard, grâce à Christian, il ne reste rien. Si ce n'est 7 ou 8 kilos de viande finement découpée dans le congélateur.
C'est en désossant la bête que nous avons pu constater qu'elle a les deux hanches cassées, probablement suite à sa chute dans le ruisseau dans la poursuite-bagarre. J'imagine mal Merlin capable de faire ça tout seul.
J'ai ensuite jeté le reste des abats en pleine nature, dans un endroit reculé, au contraire des indications de Christian qui m'avait conseillé de creuser un trou et d'enterrer le tout.

Auteur: Mg

Info: 28 fév. 2013

[ chasse ] [ boucherie ]

 

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philosophie

L'histoire de la vie d'Emmanuel Kant est difficile à écrire, car il n'eut ni vie ni histoire. Il vécut d'une vie de célibataire, vie mécaniquement réglée et presque abstraite, dans une petite rue écartée de Koenigsberg, vieille ville des frontières nord-est de l'Allemagne. Je ne crois pas que la grande horloge de, la cathédrale ait accompli sa tâche visible avec moins de passion et plus de régularité que son compatriote Emmanuel Kant. Se lever, boire le café, écrire, faire son cours, dîner, aller à la promenade, tout avait son heure fixe, et les voisins savaient exactement qu'il était deux heures et demie quand Emmanuel Kant, vêtu de son habit gris, son jonc d'Espagne à la main, sortait de chez lui et se dirigeait vers la petite allée de tilleuls qu'on nomme encore à présent, en souvenir de lui, l'allée du philosophe. Il la montait et la descendait huit fois le jour, en quelque saison que ce fût, et quand le temps était couvert ou que les nuages noirs annonçaient la pluie, on voyait son domestique, le vieux Lampe, qui le suivait d'un air vigilant et inquiet, le parapluie sous le bras, véritable image de la Providence.
Quel contraste bizarre entre la vie extérieure de cet homme et sa pensée destructive! En vérité, si les bourgeois de Koenigsberg avaient pressenti toute la portée de cette pensée, ils auraient éprouvé devant cet homme un frémissement bien plus horrible qu'à la vue d'un bourreau qui ne tue que des hommes... Mais les bonnes gens ne virent jamais en lui qu'un professeur de philosophie, et quand il passait à l'heure dite, ils le saluaient amicalement et réglaient d'après lui leur montre.

Auteur: Heine Heinrich

Info: De l'Allemagne

[ routine ] [ anecdote ]

 

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crépuscule

C'était souffrir assurément que d'être réduit à passer la nuit dans la rue, et c'est ce qui m'est arrivé plusieurs fois à Lyon. J'aimais mieux employer quelques sous qui me restaient à payer mon pain que mon gîte, parce qu'après tout je risquais moins de mourir de sommeil que de faim. Ce qu'il y a d'étonnant, c'est que, dans ce cruel état, je n'étais ni inquiet ni triste. Je n'avais pas le moindre souci sur l'avenir, et j'attendais les réponses que devait recevoir mademoiselle du Châtelet, couchant à la belle étoile, et dormant étendu par terre ou sur un banc, aussi tranquillement que sur un lit de roses. Je me souviens même d'avoir passé une nuit délicieuse hors de la ville, dans un chemin qui côtoyait le Rhône ou la Saône, car je ne me rappelle pas lequel des deux. Des jardins élevés en terrasse bordaient le chemin du côté opposé. Il avait fait très chaud ce jour-là ; la soirée était charmante ; la rosée humectait l'herbe flétrie ; point de vent, une nuit tranquille ; l'air était frais sans être froid ; le soleil, après son coucher, avait laissé dans le ciel des vapeurs rouges dont la réflexion rendait l'eau couleur de rose ; les arbres des terrasses étaient chargés de rossignols qui se répondaient de l'un à l'autre. Je me promenais dans une sorte d'extase, livrant mes sens et mon coeur à la jouissance de tout cela, et soupirant seulement un peu du regret d'en jouir seul. Absorbé dans ma douce rêverie, je prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade, sans m'apercevoir que j'étais las. Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur de terrasse ; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres ; un rossignol était précisément au-dessus de moi : je m'endormis à son chant ; mon sommeil fut doux, mon réveil le fut davantage. Il était grand jour : mes yeux, en s'ouvrant, virent l'eau, la verdure, un paysage admirable.

Auteur: Rousseau Jean-Jacques

Info: Les Confessions, livre IV.

[ vagabondage ]

 

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science-fiction

Je viens de lire un long article sur l'homme de Neandertal, qui a été supplanté pas nous autres Sapiens sapiens il y a quelque dizaines de milliers d'années. Papier qui explique son plus grand cerveau par rapport au notre, sa culture finalement assez avancée... Et empli de spéculations quant à ses dispositions éventuelles pour le langage symbolique, et donc son intelligence imaginée, différente (supérieure ?) à la notre, etc...
Je m'imagine du coup que Neandertal s'est fait bouffer tout cru par un homo sapiens plus méchant/retors/avide.
Voilà un beau sujet de dissertation avec, sous-jacente, la problématique confrontation, très politique, entre les concepts de survie et d'éthique.
Et puis, l'esprit voletant, me voilà chez les projectionnistes, ces entités pilotes de notre monde, à la manoeuvre en arrière-plan de l'évolution.

Un jour, ils décidèrent de tenter une nouvelle variation d'hominidés terrestres. Le question était : comment faire en sorte que ces bestiaux ne finissent pas par se vautrer et s'abrutir dans le confort de leur condition de dominants ?
- Simple, répondit XRRHGLUGHTR 4367, il suffit de les rendre un peu plus curieux, donc plus conscient de leur mort, donc inquiets.
- Oui mais comment ? enchaîna une entité qui aurait pu s'apparenter au mariage d'un nuage avec le mécanisme d'une boite à vitesse de Tank.
- Simple aussi, rebondit OIUTGäPO 948, (en quelque sorte frère clone de XRRHGLUGHTR 4367 puisqu'ils étaient tous deux issus d'une alliance trans-vibratoire dont l'objectif commun était une fusion bien comprise). Nous allons, comme ce fut le cas en d'autres occurrences, légèrement déséquilibrer la configuration statistique de leurs hémisphères cérébraux. Ce qui instillera un inconfort de base, socle d'une frustration et d'un constant "besoin de comprendre". La peur, donc l'agressivité suivront, qui les feront progresser via les conflits, particulièrement le développement des armes.
- Ah, d'accord... Répondit l'entité brume-machine, il suffira alors, en temps utiles, de ré-équilibrer tout ça.
- Éventuellement. C'était à nouveau OIUTGäPO 948 (dont on imaginait quelques unes des fonctions en train de tripoter on ne sait quoi avec XRRHGLUGHTR 4367 dans une dimension fréquentielle connue d'eux seuls.)
Puis, après un silence :
- Si nous ne sommes pas passés à autre chose.

Auteur: Mg

Info: 19 juin 2020

[ astrale ] [ humour ]

 
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Ajouté à la BD par miguel

races

Pour en revenir à la race blanche, nous pourrions, au risque de nous répéter, la caractériser par les mots "extériorisation" et "contraste" : ce qui s'extériorise tend vers la diversité, vers la richesse, mais aussi vers un certain "déracinement créateur", et cela explique que la race blanche est la seule à avoir donné le jour à plusieurs civilisations profondément différentes, ainsi que nous l'avons fait remarquer plus haut ; du reste, les contrastes qui, chez les Blancs dans leur ensemble, se produisent "dans l'espace", dans la simultanéité, se produisent chez les Occidentaux dans le temps, au cours de l'histoire européenne. Nous ajouterons que, si le Blanc est un "feu" inquiet et dévorant, il peut être aussi - c'est le cas de l'Hindou - une flamme calme et contemplative ; quant au Jaune, s'il est de "l'eau", il peut refléter la lune, mais aussi se déchaîner en ouragans : et si le Noir est de la "terre", il a, à côté de l'innocente massivité de cet élément, la force explosive des volcans. Chacune des trois grandes races - et chacun des grands rameaux intermédiaires - produit la beauté parfaite, donc incomparable et en quelque sorte irremplaçable ; il en est nécessairement ainsi parce que chacun de ces types est un aspect de la norme humaine. Comparées à la beauté blanche, les beautés jaune et noires paraissent beaucoup plus sculpturales que celle-là ; elles sont plus près de la substance et de la féminité que le type blanc, féminité que la race noire exprime en mode tellurien, et la race jaune en mode céleste. La beauté jaune réalise à son sommet une noblesse presque immatérielle, mais souvent adoucie par une simplicité de fleur ; la beauté blanche, elle, est plus personnelle et sans doute moins mystérieuse puisque plus explicite, mais par là même plus expressive et empreinte, parfois, d'une sorte de grandeur mélancolique. Peut-être faudrait-il ajouter que le type négroïde, à son sommet, ne se réduit pas simplement à la "terre", ou plutôt qu'il en rejoint les coagulations précieuses et échappe ainsi à sa lourdeur première : il réalise alors une noblesse de basalte, d'obsidienne ou de jaspe, une sorte de beauté minérale qui transcende le passionnel et évoque l'immuable.

Auteur: Schuon Frithjof

Info: Castes et races

[ continents ] [ ésotérisme ] [ genres ]

 

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