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soldats

Ce sont de simples hommes qu'on a simplifié encore, et dont, par la force des choses, les seuls instincts primordiaux s'accentuent: instinct de la conservation, égoïsme, espoir tenace de survivre toujours, joie de manger, de boire et de dormir.
Ce sont de simples hommes qu'on a simplifiés encore, et dont, par la force des choses, les seuls instincts primordiaux s'accentuent : instinct de la conservation, égoïsme, espoir tenace de survivre toujours, joie de manger, de boire et de dormir.

Auteur: Barbusse Henri

Info: Le Feu (journal d'une escouade), au sujet des Poilus

[ ww1 ] [ populace ] [ prolétaires ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

anthropophage

On aurait pu éviter de manger maintenant poumons pourris ou intestins en putréfaction, mais la moitié des garçons continuaient à le faire à cause du besoin qu'ils avaient de saveurs plus fortes. Manger de la chair humaine avait demandé à ces garçons un héroïque effort de volonté, mais maintenant que le pli était pris, l'appétit leur était venu en mangeant, car l'instinct de conservation était un tyran cruel qui exigeait non seulement qu'ils mangent leurs compagnons, mais qu'ils prennent l'habitude d'agir ainsi.

Auteur: Read Piers Paul

Info: Les survivants

[ survie ]

 

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sagesse

N'est contemporain que le professionnel de l'hérésie, le rejeté par vocation, à la fois vomissure et panique des orthodoxies. [...] Le sage, lui, est hostile au nouveau. Désabusé, il abdique : c'est sa forme de protestation. Orgueilleux qui s'isole dans la norme, il s'affirme en reculant. A quoi tend-il ? A surmonter ou à neutraliser ses contradictions. S'il y réussit, il prouve que les siennes manquaient de vigueur, qu'il les avait dépassées avant de les braver. L'instinct lui faisant défaut, il lui est facile d'être maître de soi, de pontifier dans l'anémie de sa sérénité.

Auteur: Cioran Emil Michel

Info: La Tentation d'exister, Tel Gallimard, 1986, p. 121-122

[ dénigrement ] [ immobile ] [ politiquement correct ] [ conservation ]

 

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biologie

Qu'est ce qu'un seul gène essaie de faire ? Il essaie de se multiplier dans le pool génétique. Au départ, il le fait en aidant à programmer les corps dans lesquels il se trouve pour survivre et se reproduire. Mais à présent, nous insistons sur le fait qu'il "s'agit" d'une population dispersée simultanément chez de nombreux individus. La pierre de touche de ce chapitre réside dans le fait qu'un gène pourrait aider les répliques de lui-même se trouvant dans d'autres corps. S'il en était ainsi, cela aurait l'apparence de l'altruisme individuel, mais induit par l'égoïsme du gène.

Auteur: Dawkins Richard

Info: Le gène égoïste

[ instinct de conservation ] [ propagation ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

honte

Le scandale est l'épreuve la plus salutaire à laquelle puisse être confronté l'être humain. S'humilier de la manière la plus grossière, c'est s'assurer la santé de l'instinct de conservation. Heureusement je suis tombé. Misérablement. Violemment. Sans gloire. Je me suis retrouvé par terre à supplier le scandale de me réduire à néant. Or le scandale ne tue pas sa victime, il n'est pas aussi prévenant. Il te plonge le visage dans la merde et t'envoie le lendemain sur ton lieu de travail à la vue de tous. Et c'est seulement lorsque tu te tiens dans l'embrasure de la porte, tous les yeux braqués sur toi dans un ricanement général, que le scandale a fait son travail et que le renouveau peut s'amorcer.

Auteur: Frobenius Nikolaj

Info: Je vous apprendrai la peur

[ déshonneur ] [ grandir ]

 

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anarchie

L'évolution doit précéder la révolution, laquelle est sa conséquence logique, sa sanction. Des révolutions que nous avons vu se perpétrer aucune n'a eu de résultat réellement émancipateur ; elles consommées, les hommes qui les avaient faites et leurs descendants retournaient aux mêmes errements, l'esclavage changeait seulement de forme. Les révolutions étaient stériles parce que l'évolution n'était pas accomplie chez les individus. L'homme veut toujours conquérir ce qu'il pense être le mieux, le meilleur. Son égoïsme, qui n'est en somme que l'expression individuelle de l'instinct de conservation de l'espèce, le conduit à cela. Mais que peut-il faire, sinon stagner, s'il ne connaît ce mieux et ce meilleur ? C'est précisément parce que son égoïsme a été élevé dans un mauvais sens qu'actuellement il ne se dirige pas d'une façon plus rapide vers la Liberté, source féconde de bonheur. Il ne voit pas ce que, en tant qu'organisation sociale, il peut y avoir de préférable à l'actuelle pour son bien-être. Il souffre, mais il ne connaît pas le remède guérisseur de son, mal. Eduquez-le sérieusement, largement, ouvrez ses yeux à toutes les vérités, à toutes les lumières, son activité aiguillera vers la Liberté. Mais, ne cessons de le répéter, il est indispensable que cette éducation soit commencée dès l'enfance, afin de ne laisser aucune prise à l'esprit autoritaire. C'est par l'éducation libertaire que l'on parviendra à former des individus - hommes et femmes - intelligents, bons, forts et justes, des hommes libres, aptes à faire vivre la Société de libre Justice.

Auteur: Devaldès Manuel

Info: L'Éducation et La Liberté

[ pédagogie ]

 

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programme

Ça pourrait être cela, en fin de compte, le propre de la critique : repérer ce qui tend à rendre le roman impossible. Il y a donc la poétification de la réalité. Et aussi, en vrac : l’interdiction de se moquer ou de caricaturer (tout le monde est respectable) ; la victimocratie ; le primat des larmes et de l’émotion, mélange radioactif de résidus de gauchisme et de puritanisme ; le terrorisme du cœur ; le chantage au moi comme authenticité, comme preuve (et finalement comme œuvre : "Il me suffit d’exhiber mes blessures et d’appeler ça de l’art. reconnaissez mes blessures comme de l’art et taisez-vous !") ; le rôle épurateur des émissions dites littéraires du type "Apostrophes", leur longue mission de nettoyage éthique et de formation de nouvelles générations d’ "auteurs" consensuels ; la confusion organisée des sexes (alors qu’un bon romancier est toujours un très ferme différenciateur des sexes) ; la propagande homophile acceptée lâchement comme style de vie général ("On est tous un peu homos") ; le devenir nursery-monde du monde, l’infantilisation généralisée (devant "l’intérêt de l’enfant", qui oserait ne pas s’agenouiller ?) ; la vitesse médiatique, la sinistre vitesse liquidatrice, en opposition avec la lenteur nécessaire aux arts (à leur profond instinct de conservation) ; le modèle du racisme à toutes les sauces (invention du "sexisme" sur le moule du racisme, fabrication plus récente du "spécisme", crime consistant à voir une distinction entre les espèces) ; le refus des gens eux-mêmes, des simples gens, de n’être que des gens, leur prétention à passer pour le gratin, pour le dessus du panier, pour l’élite, leur désir d’être pris pour des people, comme on dit dans les magazines people justement, donc à perdre toute consistance romanesque […] ; la culture englobant les différentes disciplines dites artistiques et les réorientant vers une finalité résolument touristique, à l’intérieur du nouvel ordre social lui-même touristique (on vient, on paie, on regarde, on photographie, on camescopise, on approuve, on s’évacue) ; le tourisme lui-même, bien sûr, forme ultime et destructrice de la transparence planétaire, avec son choix de sites, ses cadrages, ses ravages et son accompagnement de pâtisseries romanesques luberonnaises ou vénitiennes qui ne renseignent que sur l’endroit où les auteurs ont passé leurs derniers congés payés. Et il faudrait encore ajouter la prévention généralisée, la Sécurité sociale (pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la survie triomphant de la vie), la politique des sondages en lutte contre toute attitude anti-communautaire, contre toute échappée hors des "valeurs" de la classe moyenne, contre toute imprévisibilité (donc contre l’essence du romanesque). Et ainsi de suite.

Auteur: Muray Philippe

Info: Dans "Exorcismes spirituels I - Rejet de greffe", pages 5-6

[ démolition ] [ dissection du discours ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

construction psychologique

[...] si l’on généralise à l’excès la notion de libido, [...] ce faisant, on la neutralise. N’est-il pas évident, de plus, qu’elle n’apporte rien d’essentiel à l’élaboration des faits de la névrose si la libido fonctionne à peu près comme ce que M. Janet appelait la fonction du réel ? La libido prend son sens, au contraire, de se distinguer des rapports réels ou réalisants, de toutes les fonctions qui n’ont rien à faire avec la fonction de désir, de tout ce qui touche aux rapports du moi et du monde extérieur. Elle n’a rien à voir avec d’autres registres instinctuels que le registre sexuel, avec ce qui touche par exemple au domaine de la nutrition, de l’assimilation, de la faim pour autant qu’elle sert à la conservation de l’individu. Si la libido n’est pas isolée des fonctions de conservation de l’individu, elle perd tout sens.

Or, dans la schizophrénie, il se passe quelque chose qui perturbe complètement les relations du sujet au réel, et noie le fond avec la forme. Ce fait pose tout d’un coup la question de savoir si la libido ne va pas beaucoup plus loin que ce qui a été défini en prenant le registre sexuel comme noyau organisateur, central. C’est là que la théorie de la libido commence à faire problème.

[...]

Jung [...] introduit la notion d’introversion qui est pour lui – c’est la critique que lui fait Freud – une notion ohne Unterscheidung, sans aucune distinction. Et il aboutit à la notion vague d’intérêt psychique, qui confond en un seul registre ce qui est de l’ordre de la conservation de l’individu et ce qui est de l’ordre de la polarisation sexuelle de l’individu dans ses objets. Il ne reste plus qu’une certaine relation du sujet à lui-même que Jung dit d’être d’ordre libidinal. Il s’agit pour le sujet de se réaliser en tant qu’individu en possession des fonctions génitales.

La théorie psychanalytique a été depuis lors ouverte à une neutralisation de la libido qui consiste, d’un côté, à affirmer fortement qu’il s’agit de libido, et de l’autre, à dire qu’il s’agit simplement d’une propriété de l’âme, créatrice de son monde. Conception extrêmement difficile à distinguer de la théorie analytique, pour autant que l’idée freudienne d’un autoérotisme primordial à partir de quoi se constitueraient progressivement les objets est presque équivalente dans sa structure à la théorie de Jung.

Voilà pourquoi, dans l’article sur le narcissisme, Freud revient sur la nécessité de distinguer libido égoïste et libido sexuelle. [...]

Le problème est pour lui extrêmement ardu à résoudre. Tout en maintenant la distinction des deux libidos, il tourne [...] autour de la notion de leur équivalence. Comment ces deux termes peuvent-ils être rigoureusement distingués si on conserve la notion de leur équivalence énergétique, qui permet de dire que c’est pour autant que la libido est désinvestie de l’objet qu’elle revient se reporter dans l’ego ? [...] De ce fait, Freud est amené à concevoir le narcissisme comme un processus secondaire. Une unité comparable au moi n’existe pas à l’origine, nicht von Anfang, n’est pas présente depuis le début dans l’individu, et l’Inch a à se développer, entwickeln werden. Les pulsions autoérotiques, au contraire, sont là depuis le début. [...] Dans le développement du psychisme, quelque chose de nouveau apparaît dont la fonction est de donner forme au narcissisme. N’est-ce pas marquer l’origine imaginaire de la fonction du moi ?

Auteur: Lacan Jacques

Info: Dans le "Séminaire, Livre I", "Les écrits techniques de Freud (1953-1954)", éditions du Seuil, 1975, pages 182 à 185

[ historique ] [ déviations ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

métaphysique

- Céline Inmyworld, à Eric Durieux (suite à son poste et ses interrogations sur le suicide)

Bonjour Eric,

Je ne tombe pas souvent sur les publications de ce groupe. Mais la votre est apparue dans mon fil d'actualité. Et je me dis qu'il n'y a pas de hasard et que peut-être, mon expérience pourra vous aider. Alors sait-on jamais, je vous la partage 

J'ai lu quelques commentaires (mais pas tous). Pour certains, je ne comprends pas tout par rapport aux termes "techniques" employés ( liés aux sorties de corps j'imagine). Bref... Tout cela pour dire que je souhaitais vous donner mon avis concernant votre publication.

La plupart des réponses que j'ai pu lire essaient de vous dissuader de potentiellement mettre fin à vos jours. Un peu comme si c'était "sacrilège et damnation" 

J'ai longtemps cru cela également. Surtout de part ma faculté à pouvoir interagir avec les âmes des défunts.

Pour résumer rapidement, depuis petite, j'ai presque toujours ressenti des présences et avec le temps, ces capacités ce sont développées jusqu'à pouvoir les voir mais aussi leur parler. Ces capacités se développent petit à petit, au fil des années.

Au début, je ne "captais" que le bas astral. Les âmes tourmentées, errantes... Les âmes des assassins, violeurs, mais aussi les suicidés. C'était très difficile pour moi. Jusqu'au jour où j'ai compris que je pouvais les aider. Car ces âmes avaient besoin d'amour et de lumière pour se libérer et pouvoir "monter".

Les âmes que je voyais le + étaient les âmes des suicidés ou les âmes qui n'avaient pas pris conscience de leur mort physique. De ce fait, j'ai longtemps cru que toutes les personnes qui se donnaient la mort étaient "bloquées" dans le bas astral.

Car parfois, elles étaient bloquées depuis de très nombreuses années terrestres (j'ai eu une fois, une âme qui était bloquée depuis 400 ans ). Avec le temps, je me suis aperçue que ces âmes n'avaient pas accès à "la lumière" après leur décès. Mais seulement et uniquement au moment où elles auraient dû décéder par rapport à ce que l'âme avait choisi comme décès initialement (et non au moment décidé par la notion de libre-arbitre de l'être incarné).

Donc cette constatation (qui ne concerne que moi, évidemment) a fait ma croyance de nombreuses années. De ce fait, je prônais, comme beaucoup, l'importance de VIVRE quoiqu'il en coûte cette incarnation, pour ne pas errer de l'autre côté du miroir.

Cette errance n'est néanmoins pas "irrémédiable". Car une âme incarnée peut vous ouvrir ce passage vers "la Lumière" et les différents plans élevés (désolée si mes termes ne sont pas les mêmes que les vôtres ).

Puis, avec le temps, au fils de mes consultations, j'ai pu m'apercevoir que certains défunts (âmes) étaient dans "la Lumière", parfois sur des plans très élevés alors qu'ils s'étaient donnés la mort (parfois dans des circonstances atroces). Mais cela reste encore extrêmement rare.

C'est là, que j'en viens au fait.

Alors j'ai commencé à questionner ces âmes lorsque j'avais la chance de pouvoir le faire.

Comment pouvaient elles être si haut et autant en paix malgré leur suicide ?

Et bien jusqu'à présent (car je découvre toujours de nouvelles choses au fil de mes expériences) il y a 2 cas de figure :

- au moment du décès, l'âme est partie RÉELLEMENT en PAIX. C'est à dire que le suicide n'a pas été pour "fuir" une situation: Comme par exemple pour rejoindre un être aimé, ou pour stopper une vie trop difficile. Mais uniquement parce qu'elle sent, au plus profond d'elle, qu'elle a terminé ce qu'elle avait à faire ici, que ce soit pour elle-même ET pour les autres.

Et c'est là qu'on en vient au 2ème cas de figure...

- Lorsque dans la famille, plusieurs âmes ont déjà quitté leur corps physique par le suicide.

Car dans certaines "familles d'âmes" le choix a été fait de partir de ce monde de cette manière. Un peu comme si c'était une façon "normale" de quitter son corps. Comme certains qui partent de vieillesse et d'autres par la maladie ou encore par accident.

Donc tout cela pour vous dire que dans mes croyances, liées à mon expérience, et qui n'engagent que moi, ce qui importe le +, c'est de partir en paix. Donc en total accord avec vous-même. Et non pour telle ou telle raison ou "à défaut de..."

Car chaque tourment, qu'il soit conscient ou inconscient, bloque l'âme dans son élévation (que ce soit de notre vivant ou après la mort de notre corps physique).

Alors si c'est une libération que vous cherchez, sachez qu'il y a de grandes chances que vous la cherchiez aussi une fois débarrassé de votre corps physique 



- Eric Durieux à Céline Inmyworld 

Bonjour chère Céline et merci également pour toute cette contribution. Vos constatations et vos recherches précieuses au cours de toutes ces années confirment finalement la théorie de plus en plus probable que finalement, on crée notre réalité de l'autre côté également. C'est probablement pour ça qu'il y a des familles de suicidés pour qui il s'agit d'un départ normal, car ces gens ont intégré culturellement et inconsciemment le fait que c'était possible et accepté, donc créent au delà une réalité qui accepte ce chemin. Là où certains tourmentés qui fuient effectivement une situation en espérant le néant, se voient prisonnier de celui-ci puisque c'est précisément ce qu'ils cherchaient. Comme d'autres sont prisonniers de regrets éternels s'ils constatent que c'était une erreur. Je crois que la règle est la même pour tout acte que nous posons, pas seulement celui de se donner la mort. L'important est d'être sûr de son choix, d'être en paix et en harmonie avec celui-ci, et de ne pas en regretter les conséquences prévisibles. Merci en tout cas, ma réflexion est loin d'être finie.



- Céline Inmyworld à Eric Durieux 

Oui exactement !!! 

Tout comme j'ai pu voir qu'il existait une infinité de "paradis" liés aux croyances de chacun.

Et d'ailleurs, concernant les âmes errantes, cela a souvent été car elles n'osaient pas aller dans "la lumière" même lorsqu'elles la voyaient, par peur du fameux jugement. C'est si triste... Nous sommes tellement conditionnés... Tout est pourtant si simple !



- Jean Levington  : Très intéressant votre réflexion, je ressens un peu la même chose. C'est le philosophe Marc-Aurèle qui disait ... "examiner la vie humaine quarante ans ou dix mille ans, c'est la même chose. Que verrait-on de plus" ? J'ai le sentiment d'en avoir fait le tour moi aussi, alors je voyage quand je peu, ça me change les idées (avec ou sans mon corps lol). Effectivement, je pense que l'instinct de conservation fait qu'on est un peu empêché de se barrer ailleurs. L'instinct primaire de la peur de mourir qui est toujours présent même quand on a fait des dizaines de sorties hors du corps.

Auteur: Internet

Info: Sur le fils FB de Marc Auburn, 29 juin 2023 et jours suivants

[ autodestruction ] [ malédiction ] [ transmigration ] [ auto-stop autorisé ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste