Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 90
Temps de recherche: 0.0563s

musique

J'ai fait plusieurs show avec Jimi Hendrix, j'ai fini par le connaître mieux. Je l'ai rencontré quand il jouait avec Little Richard... et il était du genre de tranquille, timide, il ne l'ouvrait pas. Mais il y avait des questions que nous nous demandions tous."comment tu fais ceci" et "pourquoi tu fais cela..." Nous avions eu de très courts échanges sur des choses comme ça. Et il était très poli, je l'ai trouvé très gentil...

Auteur: B. B. King Riley

Info:

[ guitare ] [ rock ] [ blues ]

 

Commentaires: 0

musique

Le pianiste chinois Kung Chi Lung fut emprisonné durant sept ans pendant la révolution culturelle, pendant tout ce temps il n'eut aucun accès à un piano. Quand il revint donner des concerts après sa libération, il jouait mieux que jamais. On lui demanda comment c'était possible puisqu'il n'avait pas pratiqué pendant tout ce temps et il répondit : "j'ai pratiqué chaque jour. J'ai préparé chaque morceau que j'avais déja joué, note par la note, dans mon esprit."

Auteur: Zilbergeld Bernie

Info:

[ prison ] [ évasion ]

 

Commentaires: 0

question

Rebus imagina un renversement des rôles, avec les cages remplies de gamins que zieutaient des animaux en promenade, et qui gambadaient et piaillaient, ravis d'attirer l'attention. Sauf que les animaux ne partageaient pas la curiosité des hommes. Toute manifestation d'agilité ou de tendresse les laisserait indifférents, ils ne remarqueraient pas qu'ici on jouait et que, là, quelqu'un s'était égratigné le genou. Les animaux ne construiraient pas de zoos, car ils n'en auraient pas l'usage. Rebus se demanda pourquoi les humains en avaient besoin.

Auteur: Rankin Ian

Info: La mort dans l'âme

[ homme-animal ]

 

Commentaires: 0

femmes-hommes

Quand j'étais flic, les femmes qui faisaient ce métier m'impressionnaient énormément. Nous, on jouait aux cow-boys, on roulait des mécaniques en se prenant pour des super-héros mais psychologiquement elles étaient les plus fortes. Elles n'avaient pas besoin de se noyer dans l'alcool, elles étaient très sereines dans leurs vies alors que les hommes étaient ravagés. La plupart étaient lucides et déterminées alors que les hommes partaient en morceaux. D'ailleurs, il n'y a pas, il n'y a jamais eu de femmes ripoux dans la police.

Auteur: Marchal Olivier

Info:

[ femmes-par-hommes ] [ incorruptible ]

 

Commentaires: 0

sexe

La seule façon que j'ai de décrire ce phénomène, c'est de dire que, quand elle était en chaleur et que ça la tracassait, Evelyne, elle, jouait les ventriloques avec son con.
Au moment précis ou on allait l'enfiler, voilà-t-il pas que cette espèce de mannequin qu'elle avait entre les jambes éclatait de fou rire.
En même temps, il venait a à votre rencontre, amicalement, et vous serrait la pince. Il savait chanter aussi, ce mannequin de con. En fait il avait tout de l'otarie savante.

Auteur: Miller Henry

Info: Tropique du Capricorne

[ vagin ] [ littérature ]

 

Commentaires: 0

musique

Un jour, alors que le saxophoniste Frank Foster jouait dans la rue avec les jazzmobiles de Harlem, il annonça et lança un blues en Si b. Arriva bientôt un jeune sax ténor qui d'entrée développa un solo complètement "out", improvisant des choses sans relation ni avec la progression harmonique ni avec le rythme. 

Foster l'arrêta :

- Qu'est-ce que tu fais, là ?

- Ben je joue ce que je ressens

- Ah !... Eh bien ressens des trucs en Si b... Putain

Auteur: Foster Frank

Info: Rapporté par Wynton Marsalis

[ anecdote ] [ tonalité ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

création

Rimbaud jouait plus serré. Il voulait plus fort que Verlaine être la poésie personnellement, c'est-à-dire à l'exclusion de tout autre : car à cette condition seulement il pouvait espérer qu'il apaiserait la vieille dans le puits intérieur, permettrait qu'elle prenne un peu de repos, les doigts noirs enfin abandonnés, la main ouverte, ne trafiquant point, caressante comme l'est toujours la chair qui dort. La vieille au dedans pour se consoler, s'endormir, avait besoin que le fils fût le meilleur, autant dire le seul, et n'eût point de maîtres.

Auteur: Michon Pierre

Info: Rimbaud le fils

[ motivation ]

 

Commentaires: 0

sciences

La beauté est indissociable du regard de celui qui voit. Certains sont attirés par l'esthétique visuelle de la géométrie; pour d'autres, la beauté s'incarne dans le monde abstrait des symboles. Dans la physique quantique moderne, le sentiment esthétique est conceptuel, contrairement à une époque où la capacité du physicien à visualiser le monde de la nature jouait un rôle important. Les images ont cédé la place à des symétries mathématiques: le monde quantique des particules élémentaires s'organise selon des principes de symétrie à la fois complexes et merveilleux.

Auteur: Pagels Heinz

Info: L'Univers Quantique, InterÉditions, p.334

[ équilibre ] [ nombres ] [ pancalisme ] [ dualités ]

 

Commentaires: 0

musique

Maman jouait le deuxième concerto de Field - son professeur. Je sommeillais à demi et, dans mon imagination, glissaient des souvenirs légers, lumineux et transparents. Elle commença à jouer la sonate pathétique de Beethoven, et je me rappelai quelque chose de triste, de pénible, et de sombre. Maman jouait souvent ces deux morceaux, c'est pourquoi je me rappelle très bien les sensations même qu'ils éveillaient en moi. Ces sensations ressemblaient à des souvenirs, mais souvenirs de quoi ? Il semble qu'on se rappelle des choses qui n'ont jamais existé.

Auteur: Tolstoï Léon

Info: Enfance

[ réminiscences ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

nocturne

C'était la pleine lune lorsque je me trouvai à Takaunga, et la beauté des nuits étincelantes et scintillantes était si parfaite que le coeur en était submergé. On dormait avec les portes ouvertes sur la mer argentée. La brise chaude jouait, sifflait et soufflait un peu de sable sur les dalles du sol. Une nuit, nous vîmes passer toute une flotille de dhows arabes. Ils naviguaient près de la côte, portés sans bruit par la mousson, comme une succession de voiles en ombres chinoises qui se détachaient sous la lune.

Auteur: Blixen Karen

Info:

[ kenya ] [ océan ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel