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vacherie

Si la vie était juste, Pascal Couchepin devrait la gagner en demandant: "Vous voulez du ketchup ou de la mayonnaise avec ça?"

Auteur: Mg

Info: fév. 2009

[ Helvétie ] [ politique ]

 

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phonétique

Jew : Et chaque année, elle fait un ketchup
Leaf452 : un "ketchup" ? Oo
Jew : Ouais, un bilan de santé
Leaf452 : ah, un check-up
Jew : Voilà

Auteur: Internet

Info:

[ vérification ] [ médecine ] [ approximation ] [ dialogue-web ]

 

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blague

- C'est quoi, cette tache ?
- C'est du sang, Papa. J'ai assassiné une serveuse pendant que tu parlais à Barbara, et j'ai enfoncé sa tête dans la cuvette des toilettes. ... En fait, c'est du ketchup. Désolé. Je ne suis pas doué pour l'humour.

Auteur: Snyder Scott

Info:

[ gore ]

 

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nourriture

Merlot entama son cheese avec une mine d'aventurier explorateur. Il découvrait les terres vierges de la malbouffe et mordit gaillardement le pain mou. Un flot de ketchup s'échappa à l'arrière du hamburger. Tel un surfeur vacillant, le cornichon en rondelles glissa sur la sauce et vint s'échouer sur la cravate déjà maculée du capitaine.

Auteur: Hénaff Sophie

Info: Poulets grillés

[ dégoulinante ] [ salir ]

 

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suspicion

Au bout d'un moment, l'officier de police a dû finir par me croire parce qu'il m'a dit que je pouvais rentrer chez moi. Sauf que ce n'était pas chez moi. C'était une bâtisse que je ne reconnaissais pas avec une famille qui me semblait être un groupe d'étrangers. Ma chambre n'était pas ma chambre et mon lit n'était pas mon lit, parce que ce n'était pas moi. J'étais quelqu?'un d'autre, une étrangère que mes parents ne connaissaient pas. Une tricheuse. Une menteuse. Une tueuse.

Auteur: Pitcher Annabel

Info: Couleur ketchup

[ rejet ] [ parano ] [ méfiance ]

 

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horreur

Écoute-moi, Rafael, il faut que tu me comprennes bien : tout ce que je te dis c'est des trucs réels. Ça n'a rien à voir avec tout ce que tu connais. Il n'y a pas d'effets spéciaux, genre ketchup pour le sang. Nous filmons exactement ce qui se passe exactement.
(...)
Ce que nous sommes en train de faire, ce sont peut-être bien les plus grands films de l'histoire, parce qu'ils sont la vérité pure, Rafael, c'est pas du chiqué, on montre comment des personnes réelles souffrent et meurent réellement, et ça reste de l'art, de l'art et de l'ironie, et toi, Rafael, tu seras dans un de ces films, tu montreras au monde entier quel genre d'homme tu es vraiment.

Auteur: Mcdonald Gregory

Info: Rafael, derniers jours

[ snuff movie ]

 

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enquête

- C'est vrai aussi ce qui se racontait sur la salle d'interrogatoire B ?
- Qu'est ce qu'elle avait de si particulier ?
- Des taches brunes et rouges sur les murs et par terre ? Une odeur d'urine rance? Des mots comme "au secours" gravés dans la table?
Rebus ne put que sourire à ce souvenir .
- Les taches nous étaient fournies gracieusement par la baraque à frites locale: sauce brune et ketchup. Et c'est nous qui avions gravé ces mots nous-mêmes.
- Afin que les suspects puissent disposer d'un peu de lecture quand ils marinaient dans leur jus ?
- ça les mettaient un peu mal à l'aise, je dirais.[...] Pareil pour la chaise. Quelqu'un avait scié un bon centimètre à un pied . Impossible de se décontracter une fois assis là-dessus.

Auteur: Rankin Ian

Info: On ne réveille pas un chien endormi

[ commissariat ] [ police ] [ astuces ]

 

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nourriture

Une autre stratégie fut de cibler les enfants. " Le petit humain vient au monde sans savoir ce qui est comestible ou pas", écrit le psychologue Paul Rozin, qui a étudié le dégoût pendant de nombreuses années à l'Université de Pennsylvanie. Jusqu'à ce que les enfants aient environ deux ans, vous pouvez leur faire essayer à peu près n'importe quoi, et Rozin l'a fait. Dans une étude mémorable, il a recensé le pourcentage d'enfants âgés de seize à vingt-neuf mois qui ont mangé ou goûté les aliments suivants, présentés sur,assiette : œufs de poisson (60 %), savon à vaisselle (79 %), biscuits garnis de ketchup (94 %), sauterelle morte (30 %) et beurre de cacahuètes artisanalement enrobé de fromage Limburger et présenté comme "dog-doo" (55 %). L'élément le moins bien classé, avec un taux d'acceptation de 15 %, le cheveu humain.* Une fois atteint leur dix ans, les enfants avaient généralement rejoint les mêmes habitudes alimentaire que leur entourage.

Auteur: Roach Mary

Info: Gulp: Adventures on the Alimentary Canal

[ bébés ] [ expérience ] [ répulsion ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

musique

Tomatoes (Tomato rungisia vulgaris) were thrown by an automatic tomatothrower (Wait & See, 1972) monitored by an all-purpose laboratory computer (DID/92/85/P/331) operated on-line. Repetitive throwing allowed up to 9 projections per sec, thus mimicking the physiological conditions encountered by Sopranoes and other Singers on stage (Tebaldi, 1953). Care was taken to avoid missed projections on upper and/or lower limbs, trunk & buttocks. Only tomatoes affecting faces and necks were taken into account. Control experiments were made with other projectiles, as apple cores, cabbage runts, hats, roses, pumpkins, bullets, and ketchup (Heinz, 1952).

Les tomates (Tomato rungisia vulgaris) étaient lancées par un automate (Wait & See, 1972) contrôlé par un ordinateur de laboratoire polyvalent (DID/92/85/P/331) fonctionnant en ligne. Les jets répétitifs permettaient jusqu'à 9 projections par seconde, imitant ainsi les conditions physiologiques rencontrées par les sopranos et autres chanteurs sur scène (Tebaldi, 1953). On prenait soin d'éviter les projections manquées sur les membres supérieurs et/ou inférieurs, le tronc et les fesses. Seules les tomates affectant le visage et le cou étaient prises en compte. Des expériences de contrôle furent effectuées avec d'autres projectiles, comme des trognons de pomme, pousses de chou, chapeaux, roses, citrouilles, diverses munitions et du ketchup (Heinz, 1952).

Auteur: Perec Georges

Info: Cantatrix sopranica

[ objectivité ] [ ironie ]

 
Mis dans la chaine
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Ajouté à la BD par Plouin

écriture

Bien que Gould s'efforce de donner l'impression d'être un tire-au-flanc philosophe, il a abattu un travail énorme au cours de sa carrière de bohème. Tous les jours, même lorsqu'il a une épouvantable gueule de bois ou que la faim le laisse épuisé et affaibli, il passe au moins deux ou trois heures à travailler sur un livre sans forme passablement mystérieux qu'il intitule "Une histoire orale de notre temps". Il a commencé ce livre il y a de cela vingt-six ans et il est loin d'être fini. Cette préoccupation semble pour l'essentiel être à l'origine de son mode de vie ; tout emploi stable empiéterait sur sa réflexion.

Selon le temps, il écrit dans les parcs, sous les porches, dans les halls d'hôtel, dans les cafétérias, sur les bancs des quais du métro aérien, dans les rames ou dans les bibliothèques municipales. Quand il se sent d'humeur, il écrit jusqu'à l'épuisement et cette humeur lui vient dans des moments particuliers. Il décrit comment, un soir, il a passé six ou sept heures dans un bar grill-room de 3rd Avenue à écouter une vieille Hongroise éméchée, ancienne tenancière de bordel, ancienne revendeuse de drogues et désormais aide-cuisinière dans un hôpital de la ville, lui raconter l'histoire de sa vie. Trois jours plus tard, aux alentours de quatre heures du matin, sur un lit de camp de l'hôtel Defender, au 300, Bowery, il a été réveillé par les cornes de brume des remorqueurs de l'East River et n'a pas réussi à se rendormir car, en cet instant précis, il se sentait exactement d'humeur à intégrer la biographie de la vieille aide-cuisinière à son récit. Il a une mémoire phénoménale ; s'il a été marqué par une conversation, même interminable et dénuée de sens, il est capable de s'en souvenir plusieurs jours d'affilée, et ce, en grande partie mot pour mot. (...)

Il a écrit dans le hall de quatre heures et quart à midi. Puis il a quitté le Defender, a pris un café dans un bistrot de Bowery et s'est rendu à la bibliothèque municipale. Il a bûché à une table de la salle de généalogie, où il se réfugie souvent les jours de pluie (...) , jusqu'à ce qu'elle ferme, à six heures. Puis il est allé s'installer dans la grande salle, où il est resté, en levant à peine le nez de ses écrits, jusqu'à la clôture de la bibliothèque, à dix heures du soir. Il a avalé deux sandwichs aux oeufs et sa dose de ketchup dans une cafétéria de Times Square. Sur ce, trop fauché pour s'offrir un hôtel et trop absorbé dans ses pensées pour chercher refuge au Village, il a foncé dans le métro de West Side pour passer le reste de la nuit à voyager en griffonnant inlassablement, tandis que sa rame parcourait trois fois la boucle, de la station New Lots Avenue, à Brooklyn, à celle de Van Cortland, dans le Bronx, un des trajets les plus longs du réseau new-yorkais. Il a posé la serviette sur ses genoux et s'en est servi comme d'une écritoire. Il a l'endurance des possédés.

Auteur: Mitchell Joseph

Info: Le secret de Joe Gould, pages 18-19

[ passion ] [ thérapie ] [ refuge ]

 

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