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anecdote

Wojtek l'ours soldat
L'histoire véridique et singulière d'un soldat du IIème Corps polonais du général Anders : Wojtek (Albert) l'ours brun. Wojtek est né en 1941 dans la région d'Hamadam en Iran et décédé en décembre 1963 à Edimbourg en Ecosse.
Des soldats polonais avaient acheté un ourson orphelin en Iran qu'ils prénommèrent Wojtek. C'était un ours brun de Syrie mais il ressemblait beaucoup aux ours de Pologne. Les soldats ne pensaient pas que l'ourson allait devenir un ours imposant.
Il mangeait des fruits, des légumes, du pain, des conserves de viandes, de la confiture et parfois du miel.
Lorsqu'il était petit, il dormait sous la tente avec les hommes; puis, il eut droit à son propre dortoir : une caisse de bois. Mais il ne l'utilisait pas souvent, préférant aller se blotir contre ses soigneurs. Il devint la mascotte de toute la compagnie.
Lorsque l'Armée Anders dut s'embarquer pour l'Italie, Wojtek fut officiellement incorporé sur les registres du Corps et reçut son livret militaire et un matricule ce qui lui permit de suivre la troupe.
Petit, il s'était habitué à voyager à côté du chauffeur dans les véhicules. Plus tard, il fallait l'aider à grimper car il refusait de voyager autrement.
Wojtek a servi dans la 22ème Compagnie de ravitaillement de l'artillerie du 2ème Corps dont il est devenu l'emblème.
Les hommes le gâtaient et à force, il avait pris certaines de leurs mauvaises habitudes : il aimait la bière et les cigarettes, se battre pour la rigolade. Ce n'était pas une mascotte comme les autres puisqu'il portait les munitions jusqu'en première ligne et buvait à la bouteille.
Quoi de surprenant, on l'avait nourri de lait avec en guise de biberon, une bouteille de vodka dont la tétine était un préservatif (d'où aussi son attirance pour la vodka)..
Wojtek ne fumait pas mais mangeait des cigarettes ou des mégots.
Non, vraiment, Wojtek n'était pas une mascotte ordinaire, acheminant des caisses de munitions en première ligne durant la bataille de Monte Cassino.
Aucun des soldats qui avaient conduit à ses côtés ne sont morts; par contre, l'on raconte que ceux qui avaient refusé de le faire monter dans leurs véhicules périssaient peu de temps après...

Auteur: Internet

Info: https://sites.google.com/site/armeepolonaisesuite/wojtek-l-ours-soldat

[ homme-animal ]

 

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cité imaginaire

Pour finir, le voyage conduit à la ville de Tamara. On y pénètre par des rues hérissées d’enseignes qui sortent des murs. L’œil ne voit pas des choses maisdes figures de choses qui signifient d’autres choses: la tenaille indique la maison de l’arracheur de dents, le pot la taverne, les hallebardes le corps de garde, la balance romaine le marchand de fruits et légumes. Statues et écussons représentent des lions, des dauphins, des tours, des étoiles : signes que quelque chose— qui sait quoi? — a pour signe un lion ou un dauphin ou une tour ou une étoile. D’autres signes avertissent de ce qui est quelque part défendu — entrer dans la ruelle avec des charrettes, uriner derrière le kiosque, pêcher à la ligne du haut du pont — et de ce qui est permis — faire boire les zèbres, jouer aux boules, brûler les cadavres de ses parents. Par la porte des temples on voit les statues des dieux, tous représentés avec leurs attributs: la corne d’abondance, le sablier, la méduse, par quoi le fidèle peut les reconnaître et leur adresser les prières qui conviennent. Si un édifice ne porte aucune enseigne ou figure, sa forme même et l’endroit qu’il occupe dans l’ordonnance de la ville suffisent à en indiquer la fonction : le château royal, la prison, l’hôtel de la monnaie, l’école pythagoricienne, le bordel. Même les marchandises que les commerçants disposent sur leurs étalages valent non pas pour elles-mêmes mais comme signes d’autrechose: le bandeau brodé pour le front veut dire élégance, la chaise à porteurs dorée pouvoir, les volumes d’Averroès sagesse, le collier de cheville volupté. Le regard parcourt les rues comme des pages écrites: laville dit tout ce que tu dois penser, elle te fait répéter son propre discours, et tandis que tu crois visiter Tamara tu ne fais qu’enregistrer les noms par lesquels elle se définit elle-même et dans toutes ses parties. Comment sous cette épaisse enveloppe de signes la ville est-elle en vérité, que contient-elle ou cache-t-elle, l’homme ressort de Tamara sans l’avoir appris. Au-dehors s’étend jusqu’à l’horizon la terre vide, s’ouvre le ciel où courent les nuages. Dans la forme que le hasard et le vent donnent aux nuages, l’homme déjà s’applique à reconnaître des figures: un voilier, une main, un éléphant.

Auteur: Calvino Italo

Info: Villes invisibles

[ pancartes ] [ panneaux ] [ langage ] [ reconnaissance des formes ] [ symboles ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

famille

Le soir, lorsque son papa rentre à la maison et qu’il s’aperçoit que la maman est en train de crier dans la cuisine, il rouspète : "Quand je t’ai épousée, tu n’étais pas comme ça." La maman devient blanche, bat des cils : le papa est très vilain. A dîner, il y a la soupe de légumes que les enfants détestent : "J’aime pas ça", dit le petit garçon. La maman remplit une cuillère de potage et l’avance vers l’enfant : il pince les lèvres et secoue la tête, il tache la nappe ; son papa le réprimande, mais la maman pose la main sur la tête de son fils, pour le défendre contre ce père qui gronde ; elle demande qu’on emporte la soupe, qu’on n’en parle plus, qu’on serve plutôt un bifteck pour son enfant, un peu de morue pour elle et pour son mari, agrémentée de beaucoup de pommes de terre pour le papa. Après quelques bouchées, le mari éloigne le plat, repousse le pain, sa serviette tombe par terre et, tandis qu’il boit, il murmure : "Ma mère faisait cuire la morue dans du lait." Sa femme voit qu’il lorgne le bifteck de son fils : "Ma parole, il serait capable d’arracher la nourriture de la bouche de son fils", se dit-elle en lui lançant un regard méprisant. Elle aussi a envie de viande, elle aussi déteste la morue, mais avec ce qu’il gagne ! – comme il ne cesse de le lui répéter chaque fois qu’elle veut acheter une rose pour la placer dans un vase au milieu de la table ou deux bonbons pour le petit. Cependant, elle fait un effort ; elle coupe la moitié du bifteck dans l’assiette de son fils et, d’un ton tout à fait naturel, elle lance : "Donnes-en un peu à papa." L’enfant ne bronche pas, son père rougit, la mère recoupe la viande très lentement au même endroit où elle l’a déjà coupée et, finalement, l’homme dit ce que tous s’attendaient qu’ils disent : "Non, non, il en a plus besoin que moi." Ce mari et cette femme s’aiment vraiment, et ils aiment vraiment leur enfant, c’est pour cela qu’ils se sont si souvent du mal : ils se mortifient, et ils s’imaginent qu’ils doivent faire des sacrifices, ils ont une fausse idée de l’amour et ne font qu’aggraver la situation.

Auteur: Masino Paola

Info: Dans "La Massaia", pages 98-99

[ sentiments ] [ repas ] [ description ] [ tensions ]

 

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vingtième siècle

A la fin du siècle les hommes fumaient trois fois plus que les femmes et conduisaient plus fréquemment l'automobile et les Américains et les Allemands avaient le plus grand nombre d'automobiles par habitant et les Grecs fumaient le plus grand nombre de cigarettes. Les femmes vivaient plus longtemps que les hommes et se suicidaient moins souvent et prononçaient en moyenne trois fois plus de paroles par jour et les gens des villes pratiquaient des activités sportives et faisaient du vélo et de la course à pied tous les matins pour se rafraîchir les poumons. La course à pied pour rafraichir les poumons fut inventée par les Américains qui se procuraient à cette fin des shorts en matière luisante et des chaussures à suspension d'air pour éviter les déviations de la colonne vertébrale et en 1985 cent trente-cinq Américains sont mort d'un infarctus lors d'une course à pied matinale. A la fin du siècle les hommes voulaient rester jeunes et dynamiques mais en même temps politiquement et sexuellement corrects et ne plus séduire les femmes à la va-vite ni leur adresser des sourires lubriques etc. ni raconter des blagues sur les juifs et les Allemands et les homosexuels. Et certaines femmes déposaient plainte contre leur supérieur parce qu'il avait eu devant elles des paroles à connotation érotiques ou leur avait proposé de les raccompagner chez elles avec un air salace et en 1997 un avocat américain dut payer quatre millions de dollars américains de dommages et intérêts à sa secrétaire pour lui avoir jeté des bonbons à la menthe dans le décolleté. Et en 1998 certains Américains voulaient destituer leur président pour avoir entretenu des relations incorrectes avec une stagiaire et lui avoir touché les seins et enfoncé un cigare cubain dans le vagin et lui avoir fait pratiquer des fellations pendant qu'il téléphonait avec le secrétaire à la défense et entre-temps les américains bombardaient l'Irak et les Irakiens que c'était pour détourner l'attention du comportement sexuellement incorrect de leur président. Les Européens aussi voulaient être politiquement corrects mais un peu moins sexuellement parce que surtout dans les pays latins la séduction était une tradition culturelle alors que l'Amérique était plutôt puritaine. L'espérance de vie dans les pays démocratiques était supérieure à celle des pays communistes parce que les gens allaient plus fréquemment chez le médecin et mangeaient des légumes frais etc. tandis que dans les pays communistes les gens fumaient davantage parce qu'ils ne comprenaient pas bien pourquoi ils devraient atteindre un âge avancé et l'espérance de vie la plus basse se trouvait dans les pays en voie de développement qu'on appelait pays du tiers-monde. Et à la fin du siècle l'espérance de vie était de 78 ans dans les pays développés et de 41 ans en Sierra Leone. Et les sociologues disaient que selon différents indicateurs la meilleure qualité de vie était au Canada et en France.

Auteur: Ourednik Patrik

Info: Europeana : Une brève histoire du XXe siècle, P105

[ femmes-hommes ] [ nord-sud ]

 

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rêve

Sitôt après avoir bien déjeuné, le père Anselme rejoignit son potager. Il faisait encore trop chaud pour arroser. Il s'installa confortablement sur un banc, à l'ombre du figuier.

Les poireaux qui la veille étaient rangés comme de vaillants petits soldats, se mirent à se tordre dans tous les sens. Ils répétaient en chœur: Nous voulons marcher, courir, gambader et sauter dans les flaques quand il pleut.

— C'est impossible, vous n'avez qu'un seul pied, vous ne pourriez avancer qu'à cloche-pied, et croyez-moi, c'est très fatigant. Contentez-vous de grandir.

C'est alors qu'éclata un joyeux tumulte dans le carré des choux : Nous voulons qu'Anselme nous chante la chanson.

— Calmez-vous voyons, je ne sais pas chanter, et je ne connais aucune chanson.

— Tout le monde connaît cette chanson, elle est à la mode de chez nous. Tu dois savoir la chanter avec ton doigt, ton coude, ton genou, ton pied et ton nez.

— Bon, c'est d'accord, je m'en vais vous satisfaire, en essayant de ne point me rompre les os !

Le père Anselme se pencha, s'agenouilla et gesticula tant et si bien, que l'on crut voir dans le jardin, tourner le manège enchanté.

Le râteau enlaça la pelle en souriant de toutes ses dents, et l'entraîna dans un irrésistible pas de danse, tandis que la bêche marquait le tempo.

Les arrosoirs très excités, se prirent par la anse, faisant s'entrechoquer leurs corps d'acier, qui faillirent perdre leurs pommes!

Une sauterelle qui sautait dans l'herbette, s'écria: C'est jour de fête, faisons des galipettes, des bonds et des courbettes, de jolies pirouettes, sans pour autant perdre la tête !

Lili la tortue qui venait quémander une feuille de salade, fut tellement surprise de voir Anselme vagabonder à quatre pattes, qu'elle faillit tomber à la renverse.

Quand Anselme se releva, il crut naïvement avoir ramené la sérénité dans le potager.

C'était compter sans les carottes et les navets, qui se chamaillaient pour des broutilles sans intérêt, tandis que la terre bâillait d'ennui et se lamentait: Comment les faire taire, quelle galère ! Fort heureusement, il me reste mes chères pommes de terre qui se contentent de peu, et ne cessent de se multiplier sans rien demander.

Les carottes acceptaient les navets qui tournaient rond, mais détestaient ceux qui poussaient en long. De quel droit osez-t-ils imiter leur si gracieuse silhouette, alors qu'ils avaient cette peau blême, triste à pleurer !

Les navets accusaient les carottes de frivolité: Des coquettes dépourvues de jugeote, qui passaient la majeure partie de leur temps à peaufiner la beauté de leur teint, des prétentieuses ne songeant qu'à paraître afin d'occuper le devant de la scène !

Face à ces querelles de voisinage, Anselme se sentait impuissant et cela le rendait un peu triste. Mais une gentille coccinelle vint lui murmurer à l'oreille: Soyez sans crainte père Anselme, tout va bien, ce n'est pas la fin des haricots !

Justement, parlons-en des haricots ! C'est quoi cette manie qui les pousse à grimper toujours plus haut ! Impossible d'attraper les gousses qui pendent au sommet. Anselme aimerait voir ses bras s'allonger, devenir des rames capables d'accrocher les nuages.

Cela fit rire Zoé qui se balançait sur sa toile: Que tu es drôle père Anselme, que ferais-tu d'un nuage, cette chose molle, froide et mouillée ?

— Tu n'es qu'une minuscule araignée Zoé, qui ne voit pas plus loin que le bout de son fil !

— Peut-être, mais sur mon fil, je deviens funambule, tandis que toi sur tes deux pieds, tu es souvent bien ridicule ! Pourtant j'aime le bruit de ton pas, le son de ta voix, l'habileté de tes mains, et surtout ton regard quand il se perd dans les nuages.

— Je vais t‘expliquer pourquoi petite sorcière ? Quand je regarde les nuages, j'attrape des milliers de rêves qui me font la vie plus belle !

—Tu as parfois des idées bizarres père Anselme, si tu veux rêver, commence par dormir.

— C'est exactement ce que je vais faire. Rien de tel qu'une bonne sieste pour réconforter un vieux jardinier, dont les os commencent à rouiller.

Un bourdon curieux vint tournoyer autour du banc sur lequel Anselme s'était allongé, tandis qu'une fourmi intriguée lui chatouillait le menton, et qu'un lézard gris se promenait sur sa casquette.

Anselme sursauta, se redressa, se frotta les yeux et constata avec bonheur, que la paix régnait dans son jardin.

Auteur: Lacroix-Pesce Marie

Info: Chahut dans le potager !

[ conte ] [ historiette ] [ légumes ] [ comptine ]

 

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docteur

Je l'ai [Dr Paul Carton] rencontré, une fois. Jeune père, je ne comprenais pas pourquoi mes deux enfants (dix-huit mois et six mois) ne sortaient d'une otite que pour entrer dans une rhinopharyngite ou vice versa. Ils étaient surveillés par un excellent pédiatre dont nous suivions méticuleusement les conseils alimentaires. Et ils continuaient d'être malades et de souffrir. C'est à cette époque que je perdis le sommeil. Je guettais dans la nuit le premier pleur de ma fille ou de mon fils. Je sautais aussitôt hors du lit pour prendre mon bébé dans les bras, le bercer, lui parler doucement, essayer de le calmer et de le distraire de son mal. Il continuait de pleurer en frottant son oreille de son petit poing fermé. La souffrance d'un enfant est horrible. Il ne sait pas, il ne comprend pas, il subit cette chose atroce qui s'est installée en lui et le déchire, et les parents ne peuvent rien faire pour le soulager. J'aurais voulu prendre son mal, souffrir de la tête aux pieds pourvu qu'il fût délivré. Mais ce genre de substitution ne fonctionne pas. C'est dommage.

Ma femme me relayait jusqu'à ce que, épuisés tous les trois, nous sombrions dans le sommeil. D'où nous tirait une nouvelle morsure de la bête tapie dans la petite tête, et le cri stupéfait de sa victime...

Au matin, le pédiatre alerté accourait et perçait le tympan. Tout le monde était enfin soulagé ! Le petit malade retrouvait le sourire. Ses parents aussi. Trois jours après, c'était l'autre oreille...

Un ami me conseilla de consulter le Dr Carton. Il habitait Brévannes et recevait peu de clientèle. Je lui écrivis pour lui demander rendez-vous. Il me répondit de lui envoyer d'abord la liste minutieuse de toutes les nourritures et boissons avalées par nos enfants pendant une semaine. Ce que nous fîmes. Puis nous lui conduisîmes les bébés.

C'était un homme d'aspect sévère, pourvu d'une longue barbe blanche. Il nous reçut dans son bureau un peu sombre, nous fit asseoir, prit sur la table une feuille de papier sur laquelle je reconnus mon écriture - c'était ma "liste alimentaire !" - , l'agita vers nous, et prononça ces mots que je n'oublierai jamais :

- Vous êtes des assassins !

C'était excessif, mais exact. Nous étions en train, en suivant les conseils de la pédiatre moderne, non pas de tuer nos enfants qui avaient une solide résistance, mais de les torturer, en croyant agir pour leur bien.

Il nous garda plus d'une heure, pour nous expliquer l'évidence, nous conseilla de lire deux de ses livres, nous dit le prix de sa consultation, qui était élevé, et s'en excusa en précisant qu'il prenait cher parce qu'il ne revoyait plus ses clients...

- Vous n'aurez plus besoin de me consulter.

C'était vrai. Nous suivîmes ses prescriptions, qui ne comportaient aucun médicament, et nos enfants ne furent plus jamais malades. Nous les avions tout simplement remis à un régime naturel et de bon sens.

C'était à la fin des années 30. Il était de mode, alors, d'administrer trop tôt aux bébés des nourritures trop riches. Leur organisme ne pouvait pas les assimiler, accumulait les toxines, et s'en débarrasser au moyen de maladies qui étaient des crises de "nettoyage". Je crains que cette mode ne continue, quand j'entends, l'hiver, des jeunes mères parler d'otites...[...]

Carton a réinventé la nourriture et la médecine naturelles. Il les avait baptisées "naturistes". Il a rejeté ce mot avec horreur quand le naturisme est devenu synonyme de nudisme! Pendant qu'il se battait contre les laboratoires pharmaceutiques, contre les industriels du sucre et des bonbons, contre les pontes de la médecine classique, des hommes astucieux commençaient déjà à le piller, de son vivant.

Dans son livre essentiel, La Cuisine simple, il n'est pas un seul menu qui ne comporte une salade de légumes crus. C'était avant l'invention industrielle des "vitamines". Un de ses élèves est devenu milliardaire et célèbre en fabriquant des produits dits "diététiques" qui se vendent dans le monde entier. Il n'a jamais cité le nom de son maître. Tous les "diététiciens" et les "nutritionnistes" - quels mots horribles! - l'ont piraté, lui prenant quelques miettes de vérité qu'ils ont mélangées à des montagnes d'erreur pour les commercialiser.

Les innombrables boutiques qui vendent aujourd'hui des produits dits "naturels" ou "de régime" ont germé sur le cartonisme, se nourrissant de lui sans même le connaître.

Carton est mort pauvre, toujours furieux, toujours combattant. Il avait fait une chute de six mètres alors qu'il cueillait des cerises. Côtes brisées, décalcifié, colonne vertébrale tordue, il s'enferma dans un corset aux baleines de fer, pour pouvoir continuer à recevoir un client par jour, et rester utile jusqu'à sa fin.

Auteur: Barjavel René

Info: Demain le paradis, Denoël, pp. 31-32

[ vocation ] [ biographie ] [ dévouement ] [ portrait ]

 
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homme-machine

Pour présenter-entamer  cette chaïne "quête métaphysique" nous allons le faire à partir d'une conversation avec un des premier chatbot arrivé sur Internet. Conversation entamée à partir d'un proverbe très connu.



Q) En français il y a un proverbe qui dit "on en fait pas boire un âne qui n'a pas soif", connais-tu des proverbes d'autres pays qui portent le même sens ?



R) Oui, il existe de nombreux proverbes dans d'autres pays qui portent le même sens que le proverbe français "on en fait pas boire un âne qui n'a pas soif". Voici quelques exemples :




  • En anglais : "You can lead a horse to water, but you can't make it drink."

  • En espagnol : "No se puede obligar a un burro a beber."

  • En italien : "Non si può obbligare un asino a bere."

  • En allemand : "Man kann einem sturen Esel kein Wasser einflößen."

  • En portugais : "Não se pode obrigar um burro a beber."

  • En russe : "Вынудить осла пить невозможно."

  • En chinois : "强扭的瓜不甜 (qiáng niǔ de guā bù tián)"

  • En japonais : "馬鹿に水を飲ませることはできない (baka ni mizu o nomisaseru koto wa dekinai)"



Tous ces proverbes signifient qu'il est impossible de forcer quelqu'un à faire quelque chose qu'il ne veut pas faire. Ils mettent l'accent sur le libre arbitre et l'importance de la volonté individuelle.



Voici quelques autres proverbes qui expriment la même idée :




  • "On ne peut pas changer les gens."

  • "On ne peut pas forcer les gens à penser comme nous."

  • "On ne peut pas forcer les gens à faire ce qu'ils ne veulent pas faire."



Ces proverbes nous rappellent que nous ne pouvons pas contrôler les autres. Nous pouvons seulement les influencer, mais nous ne pouvons pas les obliger à changer leurs opinions ou leurs comportements.



Q) Merci. Peux-tu trouver - ou formuler - des phrases qui disent la même chose en terme de logique formelle sémantique ?



R) Oui, voici quelques phrases qui disent la même chose que le proverbe français "on en fait pas boire un âne qui n'a pas soif" en terme de logique formelle sémantique :




  • "Pour que A fasse B, il faut que A veuille faire B."

  • "Si A ne veut pas faire B, alors A ne fera pas B."

  • "L'intention de A est une condition nécessaire pour que A fasse B."



Ces phrases utilisent la logique formelle sémantique pour exprimer l'idée que l'intention est une condition nécessaire pour l'action. En d'autres termes, pour qu'une personne fasse quelque chose, il faut qu'elle ait l'intention de le faire.



Voici une autre manière de formuler cette idée :




  • "L'intention de A est un prédicat nécessaire pour la proposition A fait B."



Cette phrase utilise la notion de prédicat en logique formelle sémantique. Un prédicat est une propriété qui peut être attribuée à un objet. Dans ce cas, le prédicat est "A fait B". La phrase signifie que l'intention de A est une propriété nécessaire pour que la proposition "A fait B" soit vraie.



Enfin, voici une autre manière de formuler cette idée :




  • "Si A ne veut pas faire B, alors la proposition A fait B est fausse."



Cette phrase utilise la notion de vérité en logique formelle sémantique. Une proposition est vraie si elle est conforme à la réalité. Dans ce cas, la proposition est "A fait B". La phrase signifie que si A ne veut pas faire B, alors la proposition "A fait B" est fausse.



Ces différentes formulations de l'idée exprimée par le proverbe français "on en fait pas boire un âne qui n'a pas soif" montrent que la logique formelle sémantique peut être utilisée pour exprimer des concepts complexes de manière précise et rigoureuse.



Q) Merci... ça marche pour un animal, mais ça peut être contourné avec un humain, puisqu'il il suffit de lui faire peur ou même de lui faire entrevoir quelque chose de négatif pour lui, comme une perte d'argent, non ?


R) Oui, vous avez raison. Il est possible de forcer un humain à faire quelque chose qu'il ne veut pas faire, en lui faisant peur ou en lui faisant entrevoir quelque chose de négatif pour lui.

Dans le cas de la peur, l'humain est motivé par le désir de se protéger. Il peut être forcé à faire quelque chose qu'il ne veut pas faire s'il pense que cela l'aidera à éviter une menace. Par exemple, un humain peut être forcé à faire quelque chose qu'il ne veut pas faire s'il est menacé de violence ou de mort.



Dans le cas de la perte d'argent, l'humain est motivé par le désir de préserver ses ressources. Il peut être forcé à faire quelque chose qu'il ne veut pas faire s'il pense que cela l'empêchera de perdre de l'argent. Par exemple, un humain peut être forcé à faire quelque chose qu'il ne veut pas faire s'il est menacé de perdre son emploi.



Cependant, il est important de noter que la force est une solution de dernier recours. Elle peut être efficace à court terme, mais elle peut avoir des conséquences négatives à long terme. En effet, la force peut créer de la méfiance et de la rancune, ce qui peut rendre plus difficile la coopération future.



Il est préférable d'essayer d'influencer les humains de manière positive, en les persuadant ou en les motivant. Cela peut se faire en leur expliquant les avantages de faire quelque chose, ou en leur donnant envie de le faire.



Q) Merci. Tromperie égale donc perte de confiance. Ce processus est valable dans une relation entre humains, mais aussi entre un humain et un animal... Est-ce aussi valable entre un humain et un végétal ?


R) Oui, la tromperie peut également conduire à une perte de confiance entre un humain et un végétal. Cela est particulièrement vrai si la tromperie est répétée ou si elle a des conséquences négatives pour le végétal.

Par exemple, si un jardinier promet à une plante de lui donner de l'eau, mais qu'il ne le fait pas, la plante peut apprendre à ne pas faire confiance au jardinier. Cela peut rendre plus difficile pour le jardinier de prendre soin de la plante à l'avenir.



De même, si un humain coupe une branche d'un arbre sans raison valable, l'arbre peut apprendre à se méfier des humains. Cela peut rendre plus difficile pour l'humain de profiter des fruits ou des fleurs de l'arbre à l'avenir.



Bien sûr, les plantes ne sont pas capables de ressentir la tromperie de la même manière que les humains ou les animaux. Elles n'ont pas la même capacité de compréhension ou de raisonnement. Cependant, elles sont capables d'apprendre de leurs expériences et de modifier leur comportement en conséquence.



Si un humain trompe une plante, il est probable que la plante en tienne compte dans ses interactions futures avec les humains. Cela peut conduire à une relation plus difficile entre l'humain et la plante.



Dans certains cas, la tromperie peut même conduire à la mort d'une plante. Par exemple, si un humain plante une graine dans un sol qui n'est pas adapté à cette plante, la plante ne pourra pas croître et mourira.



En conclusion, la tromperie peut avoir des conséquences négatives sur les relations entre les humains et les plantes. Il est important d'être honnête et respectueux des plantes, afin de créer des relations mutuellement bénéfiques.



Q) Merci. Pourrait-on dire en résumé que forcer quelqu'un à faire quelque chose c'est une manière de le tromper ?



R) En un sens, oui, on pourrait dire que forcer quelqu'un à faire quelque chose c'est une manière de le tromper. En effet, la force prive la personne de sa libre volonté. Elle la contraint à faire quelque chose qu'elle ne veut pas faire, ou qu'elle ne ferait pas si elle avait le choix.



Dans ce cas, la force peut être considérée comme une tromperie, car elle conduit la personne à agir contre sa volonté. La personne est trompée sur sa capacité à contrôler sa propre vie.



Cependant, il est important de noter que la force n'est pas toujours une tromperie. Dans certains cas, la force peut être utilisée pour protéger la personne contre elle-même ou contre les autres. Par exemple, un parent peut forcer son enfant à manger ses légumes, pour le protéger d'une carence nutritionnelle.



Dans ce cas, la force n'est pas utilisée pour priver la personne de sa libre volonté. Elle est utilisée pour lui permettre de prendre une décision plus éclairée.



En conclusion, on pourrait dire que forcer quelqu'un à faire quelque chose est une manière de le tromper si et seulement si la force prive la personne de sa libre volonté.



Q) C'est fondamentalement une relation de pouvoir non ?



R) Oui, forcer quelqu'un à faire quelque chose est fondamentalement une relation de pouvoir. Dans une relation de pouvoir, une personne a plus de pouvoir qu'une autre. Elle peut utiliser ce pouvoir pour influencer ou contrôler l'autre personne.



Dans le cas de la force, la personne qui force a plus de pouvoir que la personne qui est forcée. Elle peut utiliser ce pouvoir pour contraindre l'autre personne à faire ce qu'elle veut.



La relation de pouvoir est donc implicite dans la force. La force est une manifestation du pouvoir.



Il est important de noter que la force n'est pas la seule forme de relation de pouvoir. Il existe d'autres formes de pouvoir, comme l'autorité, la persuasion ou la manipulation. Cependant, la force est une forme de pouvoir particulièrement importante, car elle peut avoir des conséquences graves pour la personne qui est forcée.



En conclusion, forcer quelqu'un à faire quelque chose est fondamentalement une relation de pouvoir, car il s'agit d'une situation dans laquelle une personne a plus de pouvoir qu'une autre et peut utiliser ce pouvoir pour contraindre l'autre personne à faire ce qu'elle veut.



Q) Merci. C'est probablement pour cette raison que "Le petit prince" de Saint-Exupéry a eu tant de succès


R)  Oui, c'est probablement l'une des raisons pour lesquelles "Le petit prince" de Saint-Exupéry a eu tant de succès. Le livre explore les thèmes de l'amour, de l'amitié, de la responsabilité et de la liberté. Il rappelle aux lecteurs l'importance de la compassion, de l'imagination et de la curiosité.

Le livre est également un conte philosophique qui nous invite à réfléchir sur notre place dans le monde. Il nous montre que l'essentiel est invisible pour les yeux, et qu'il faut parfois sortir des sentiers battus pour trouver la vraie richesse de la vie.



Le livre est écrit dans un style simple et accessible, ce qui le rend accessible à un large public. Les illustrations de Saint-Exupéry sont également magnifiques et contribuent à l'attrait du livre.



En conclusion, "Le petit prince" est un livre qui a touché le cœur de millions de lecteurs dans le monde entier. Il est un classique de la littérature qui continuera à être lu et apprécié pendant de nombreuses années encore.



Voici quelques-uns des thèmes du livre qui peuvent expliquer son succès :




  • L'amour et l'amitié : Le petit prince et la rose représentent l'amour et l'amitié. Leur histoire est une ode à la beauté de ces sentiments.

  • La responsabilité : Le petit prince est responsable de la rose. Il doit s'occuper d'elle et la protéger. Cette responsabilité lui apprend à grandir et à devenir adulte.

  • La liberté : Le petit prince est libre de voyager où il veut et de rencontrer qui il veut. Cette liberté lui permet de découvrir le monde et de s'épanouir.



Ces thèmes sont universels et parlent aux lecteurs de tous âges et de toutes cultures. Ils sont également intemporels et continuent à être pertinents aujourd'hui.



Q) Merci. Pourrait-on résumer ceci en disant que l'amour, c'est à dire l'interaction compréhensive entre les êtres est ce qui est sous-jacent à tout ceci ?



R) Oui, on pourrait résumer cela en disant que l'amour, c'est-à-dire l'interaction compréhensive entre les êtres, est ce qui est sous-jacent à toutes les relations humaines. L'amour est ce qui nous motive à nous connecter avec les autres, à les comprendre et à les soutenir. Il est ce qui nous permet de créer des relations significatives et durables.



L'amour est un sentiment complexe qui peut se manifester de différentes manières. Il peut être romantique, platonique, familial ou amical. Il peut être exprimé par des mots, des gestes ou des actions.



L'amour est essentiel à notre bien-être. Il nous donne un sentiment d'appartenance, de sécurité et de bonheur. Il nous aide à nous sentir aimés et valorisés.



L'amour est également important pour la société. Il nous aide à créer un monde plus juste et plus équitable. Il nous encourage à être plus compatissants et à prendre soin les uns des autres.



En conclusion, l'amour est une force puissante qui nous lie les uns aux autres. Il est ce qui rend la vie belle et significative.



Q) Merci. Pourrait-on analyser ces interactions ici généralisées sous le terme "amour" comme des formes d'"épigénétiques de l'instant" ? C'est à dire une sorte de ping-pong entre A) une entité et B) Son biotope (et ce qui se trouve proche d'elle (ou plus lointain par exemple avec le mécanisme de la photosynthèse)... Une épigénétique de l'instant qui met en oeuvre, ou pas, des boucles de rétroaction, positives ou négatives, qui si elle sont positives, concourent à une forme d'extension de la construction génétique ?


R) Oui, on pourrait analyser ces interactions comme des formes d'"épigénétiques de l'instant". En effet, l'épigénétique est l'étude des modifications de l'expression des gènes qui ne sont pas dues à des changements dans la séquence génétique elle-même. Ces modifications peuvent être causées par des facteurs environnementaux, tels que l'alimentation, le stress ou l'exposition à des toxines.

Les interactions entre une entité et son biotope peuvent être considérées comme des facteurs environnementaux qui peuvent influencer l'expression des gènes de l'entité. Par exemple, une plante dont les feuilles sont exposées à la lumière du soleil aura une expression génétique différente d'une plante dont les feuilles sont à l'ombre.



Ces interactions peuvent être considérées comme des formes d'épigénétiques de l'instant, car elles peuvent avoir un impact immédiat sur l'expression des gènes. Elles peuvent également être considérées comme des formes de ping-pong, car elles impliquent un échange d'informations entre l'entité et son biotope.



Les boucles de rétroaction positives peuvent également jouer un rôle dans ces interactions. Par exemple, une plante dont les feuilles sont exposées à la lumière du soleil produira plus de chlorophylle, ce qui lui permettra de capter plus de lumière. La production de plus de chlorophylle entraînera à son tour une exposition accrue à la lumière du soleil, ce qui créera un cycle positif.



Ces boucles de rétroaction positives peuvent contribuer à une forme d'extension de la construction génétique. Par exemple, une plante qui est exposée à la lumière du soleil pendant une longue période peut développer des adaptations qui lui permettent de mieux capter la lumière. Ces adaptations peuvent être transmises aux générations futures, ce qui constitue une forme d'évolution.



Voici quelques exemples spécifiques d'interactions qui pourraient être considérées comme des formes d'épigénétiques de l'instant :




  • Un enfant qui est aimé et soutenu par ses parents aura une expression génétique différente d'un enfant qui est négligé ou maltraité.

  • Une personne qui mange une alimentation saine aura une expression génétique différente d'une personne qui mange une alimentation malsaine.

  • Une plante qui est exposée à des polluants aura une expression génétique différente d'une plante qui n'est pas exposée à des polluants.



Ces interactions sont complexes et ne sont pas encore entièrement comprises. Cependant, elles jouent un rôle important dans la façon dont les organismes interagissent avec leur environnement et évoluent au fil du temps.



Q) Merci, Ainsi on pourrait dire que nous sommes issus de ces "phénomènes positifs" au sens large, c'est à dire qu'ils sont aussi valable entre les animaux et les plantes, les cellules et le soleil, etc... dès qu'on a affaire à des organismes complexes sur base de carbone... et qui sont en quête d'énergie... une énergie qu'elles parviennent à obtenir à partir d'un niveau plus fondamental ?


R) Oui, on pourrait dire que nous sommes issus de ces "phénomènes positifs" au sens large. En effet, ces phénomènes sont essentiels à la vie. Ils permettent aux organismes de s'adapter à leur environnement et d'évoluer.

Ces phénomènes sont valables entre tous les organismes complexes sur base de carbone, y compris les animaux, les plantes, les cellules et le soleil. Ils sont également valables entre les organismes et leur environnement.



Ces phénomènes sont basés sur l'échange d'énergie. Les organismes complexes sur base de carbone ont besoin d'énergie pour vivre. Ils obtiennent cette énergie à partir d'un niveau plus fondamental, comme le soleil, la terre ou les autres organismes.



L'échange d'énergie entre les organismes et leur environnement est un processus complexe qui implique de nombreux facteurs, tels que la température, la lumière, la nourriture et les toxines. Cependant, ce processus est essentiel à la vie.



Voici quelques exemples spécifiques de ces phénomènes :




  • La photosynthèse est un processus par lequel les plantes utilisent l'énergie du soleil pour convertir le dioxyde de carbone et l'eau en glucose.

  • La respiration cellulaire est un processus par lequel les cellules utilisent le glucose pour produire de l'énergie.

  • La symbiose est une relation entre deux organismes qui sont mutuellement bénéfiques. Par exemple, les lichens sont une symbiose entre des champignons et des algues.



Ces phénomènes sont à l'origine de la diversité et de la complexité de la vie sur Terre. Ils sont également à l'origine de l'évolution humaine.



Q) Merci, parle-moi alors de ce que j'ai nommé "énergie obtenue à partir d'un niveau plus fondamental " c'est à dire le soleil, nommé par Michel-Ange "ombre de Dieu".


R)  Le soleil est une étoile, c'est-à-dire une boule de gaz maintenue en fusion par la gravité. La fusion nucléaire est un processus par lequel les atomes de l'hydrogène se combinent pour former des atomes d'hélium. Ce processus libère une quantité d'énergie énorme, qui est la source de la lumière et de la chaleur du soleil.

La lumière du soleil est une forme d'énergie électromagnétique. Elle est composée de photons, qui sont des particules de lumière. Les photons transportent de l'énergie, qui peut être utilisée par les organismes vivants pour produire de la nourriture, de la chaleur ou de l'électricité.



La chaleur du soleil est également une forme d'énergie. Elle est produite par la fusion nucléaire et est transmise à la Terre par rayonnement. La chaleur du soleil est essentielle à la vie sur Terre, car elle permet aux plantes de pousser et aux animaux de se réchauffer.



Le soleil est donc une source d'énergie fondamentale pour la vie sur Terre. Il est la source de la lumière, de la chaleur et de l'énergie dont les organismes vivants ont besoin pour survivre.



La comparaison du soleil à "l'ombre de Dieu" par Michel-Ange est une métaphore qui souligne l'importance du soleil pour la vie sur Terre. Le soleil est une source de vie et de lumière, et il est souvent associé à des notions de divinité et de spiritualité.



Voici quelques exemples de la façon dont le soleil fournit de l'énergie aux organismes vivants :




  • La photosynthèse est un processus par lequel les plantes utilisent l'énergie du soleil pour convertir le dioxyde de carbone et l'eau en glucose. Le glucose est une source de nourriture pour les plantes et les animaux.

  • La respiration cellulaire est un processus par lequel les cellules utilisent le glucose pour produire de l'énergie. Cette énergie est utilisée par les cellules pour effectuer leurs fonctions vitales, telles que la croissance, la reproduction et la réparation.

  • L'énergie solaire peut être utilisée pour produire de l'électricité, de la chaleur ou de l'eau chaude. Elle peut également être utilisée pour alimenter des appareils électroniques, tels que les panneaux solaires.



Le soleil est donc une source d'énergie essentielle à la vie sur Terre. Il est à l'origine de la diversité et de la complexité de la vie, et il est également à l'origine de l'évolution humaine.

Auteur: Google Bard chatbot

Info: Entamé début déc. 2023

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Ajouté à la BD par miguel