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végétal

Le vinaigre fut présenté au Christ sur une touffe d’hysope, plante qui atteint environ cinquante centimètres de haut. C’était de l’hysope aussi qui était trempée dans le sang de l’Agneau pascal ; c’était de l’hysope que l’on avait utilisée pour asperger les linteaux et les montants des portes des Hébreux, en Egypte, afin d’écarter l’ange exterminateur ; c’était encore de l’hysope que l’on trempait dans le sang d’un oiseau pour purifier les lépreux ; enfin, c’est David lui-même qui a dit, après son péché, qu’il devait être aspergé avec l’hysope et rendu pur.

Auteur: Sheen Fulton

Info: Dans "La vie du Christ", trad. Abbé Giraud P.S.S., éditions Dominique Martin Morin, 2012, page 513

[ symbolisme biblique ] [ marjolaine ] [ origan ]

 

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fête juive

Après les plaies, Dieu frappa encore les Egyptiens pour accélérer la libération de Son peuple. C’est alors qu’Il fit mourir le premier-né de chaque famille égyptienne. Les Israélites devaient se préserver de ce fléau en faisant l’offrande d’un agneau, puis en trempant une tige d’hysope dans le sang du sacrifice pour en marquer les linteaux de leurs portes. L’ange de Dieu devait passer sans s’arrêter devant les maisons marquées du sang. L’Agneau était donc le Pesach ou la Pâque (le passage au-delà) de l’ange exterminateur, c’est-à-dire un "passage" qui assurait la sécurité. Dieu ordonna par la suite la continuation de ce rite d’année en année.

Auteur: Sheen Fulton

Info: Dans "La vie du Christ", trad. Abbé Giraud P.S.S., éditions Dominique Martin Morin, 2012, page 369

[ origine ] [ historique ] [ pessa'h ] [ mythologie pascale ]

 

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christianisme

- Qu’entendez-vous par le sacrement de l’eucharistie ?

- J’entends le repas mystérieux, où, sous les espèces ou apparences et accidents du pain et du vin, le corps de Jésus-Christ est donné à manger, et son sang à boire, après la consécration qui a rendu Jésus-Christ réellement présent, dans le même état, sous forme sacramentelle, de victime immolée, qui fut le sien sur le calvaire (q. 73-83).

[...]

- De quels noms s’appelle ce sacrement ?

- Eu égard à la passion de Jésus-Christ réalisée autrefois sur le calvaire, qui fut le sacrifice par excellence, et dont ce sacrement est le mémorial, on l’appelle du nom de sacrifice. Eu égard à l’unité de l’Église, corps mystique de Jésus-Christ, qu’il réalise présentement, on l’appelle du nom de communion. Eu égard à la gloire du bonheur futur qu’il préfigure, on l’appelle du nom de viatique. Et on l’appelle purement et simplement du nom d’eucharistie ou de bonne grâce, parce qu’il contient Jésus-Christ lui-même, qui est l’auteur de toute grâce sur la terre et au ciel (q. 73, a. 4).

- Quand est-ce que ce sacrement a été institué ?

- Ce sacrement a été institué le soir du Jeudi Saint, à la veille de la passion, pour dédommager et consoler les hommes du départ de Jésus-Christ, qui ne devait plus vivre de notre vie de la terre après la passion ; pour marquer le rapport de ce sacrement à la passion de Jésus-Christ, source unique de notre salut ; pour qu’en raison de ces circonstances si émouvantes, le culte de ce sacrement fût toujours exceptionnellement vivant parmi les hommes (q. 73, a. 5).

- Ce sacrement avait-il été spécialement figuré dans l’ancienne loi ?

- Oui ; car sous sa raison de pur signe extérieur, il avait été figuré par le pain et le vin qu’offrait Melchisédech. Sous sa raison de sacrement contenant le vrai corps de Jésus-Christ immolé, il avait été figuré par tous les sacrifices de l’ancien Testament, et surtout par le sacrifice d’expiation, qui était le plus solennel. Et sous sa raison d’aliment spirituel nourrissant nos âmes du pain le plus suave, il avait été figuré par la manne, qui avait en elle toute saveur et toute suavité. Mais, sous toutes ces raisons ensemble, il avait été figuré, à un titre exceptionnel, par l’agneau pascal, que l’on mangeait avec du pain azyme, après qu’il avait été immolé, et dont le sang détournait l’ange exterminateur (q. 73, a. 6).

Auteur: Pègues Thomas

Info: Dans le "Catéchisme de la Somme théologique de Saint Thomas d’Aquin en forme de catéchisme pour tous les fidèles", 1918

[ défini ] [ synonymes ] [ historique ] [ correspondances symboliques ]

 
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