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confort

Une nouvelle génération d’actifs s’installe dans les bureaux : Millenials, Y, Z… remplacent progressivement les précédentes au bureau. Et pour cause : 50% des actifs auront moins de 30 ans en 2020, ils seront donc plus nombreux que les boomers au bureau. Leur nouvelle vision du travail implique une rupture avec les besoins et les exigences d’aujourd’hui. Les millenials seraient prêts à renoncer à 6 500 € de salaire annuel en moyenne pour travailler dans un meilleur environnement.

93% des jeunes actifs ne veulent plus d’un bureau classique. Il est donc nécessaire de joindre leurs attentes aux dynamiques de l’environnement de travail qu’ils cultivent : non hiérarchique, fluide, innovant, en mouvement, avec des interactions dynamiques au sein du groupe.

Il n’y a pas qu’un seul espace de travail idéal qui génère de la productivité : c’est un modèle en transformation qui s’adapte aux actions des individus dans l’entreprise. Mais d’autres facteurs exercent une pression sur cette mutation, comme l’augmentation du télétravail ou le recours aux travailleurs freelance. À l’heure où les tiers-lieux sont en plein essor, les millennials souhaitent évoluer dans un environnement motivant avec une émulation collective. Aujourd’hui, on veut travailler comme à la maison, sans être à la maison, avec un lieu de travail pensé en fonction des usages et avec les codes de l’hôtellerie.

Auteur: Paugam Nicolas

Info: https://www.forbes.fr/entrepreneurs/le-bureau-traditionnel-la-hantise-des-millennials/#

[ bien-être ] [ changement ] [ poste de travail ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

prolétariat

Plus les salaires sont bas, plus les conditions sont abusives. Les travailleurs des secteurs de l’alimentation et de l’hôtellerie, de l’agriculture, de la construction, des services domestiques, des centres d’appels, de l’industrie du vêtement, des entrepôts, de la vente au détail, des services de pelouse, des prisons, de la santé et d’aide à la personne sont les plus touchés. Walmart, par exemple, qui emploie près de 1 % de la main-d’œuvre américaine (1,4 million de travailleurs), interdit les conversations de couloir qu’il qualifie de "vol de temps". Le géant de l’industrie alimentaire Tyson empêche ses travailleurs de prendre des pauses toilette, ce qui les oblige à uriner sur eux-mêmes ; en conséquence, certains travailleurs doivent porter des couches. Les travailleurs plus âgés et intérimaires qu’Amazon emploie souvent sont soumis à des cadences exténuantes de 12 heures d’affilé au cours desquelles les moindres faits et gestes de l’employé sont scrutés électroniquement en vue de maintenir la productivité horaire. Certains travailleurs d’Amazon marchent des kilomètres sur un sol en béton et doivent souvent s’agenouiller pour faire leur travail. Ils souffrent souvent de blessures handicapantes suite à cela. Les employés blessés signent des décharges (indiquant que les blessures constatées ne sont pas liées au travail) avant de se faire licencier. Deux tiers des travailleurs des secteurs à bas salaires sont victimes de vols de salaires, perdant un montant estimé à 50 milliards de dollars par an. De 4 à 14 millions de travailleurs américains, sous la menace de réductions salariales, de fermetures d’usines ou de licenciements, ont subi des pressions de la part de leurs employeurs pour soutenir des candidats et des causes politiques favorables aux entreprises.

Auteur: Hedges Christopher Lynn

Info:

[ oppression ] [ néolibéralisme ] [ profit ] [ rationalisation ]

 
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